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L’environnement sera l’un des thèmes phares du salon du mouton qui se déroulera les 6 et 7 septembre 2023 à Bellac, en Haute-Vienne.
L’eau est un enjeu majeur dans de nombreuses régions du monde du fait de besoins en forte croissance, mais aussi de la rareté et de la dégradation des ressources disponibles. L’agriculture étant le premier usager de la ressource en eau, la durabilité de la gestion de l’eau en milieu rural est cruciale. Elle nécessite de dépasser les approches sectorielles, encore largement en cours malgré divers courants appelant à une gestion intégrée, territoriale ou adaptative de la ressource. Prenant acte que la mise en œuvre des concepts proposés par ces différents courants est rarement effective et qu’il est plus pragmatique de rechercher la meilleure coordination possible entre les parties prenantes de la gestion de l’eau, cet ouvrage collectif analyse les enjeux, outils et démarches permettant de faciliter et d’accompagner cette coordination. En effet, une coordination effective et acceptée nécessite des méthodes et outils pour informer sur l’état de la ressource et des usages, rendre visible l’importance des enjeux, évaluer les effets et les expliquer, structurer les échanges, et élaborer et discuter des actions de gestion. L’ouvrage aborde la gestion de l’eau en milieu rural en termes d’objectifs et de démarche, puis fait un panorama large des outils, des méthodes et des données actuellement disponibles. Enfin, il décrit des exemples de mises en œuvre dans différents cas d’étude. Cet ouvrage de synthèse s’adresse à un public large allant des chercheurs, étudiants et enseignants en gestion de l’eau aux professionnels concernés par sa mise en œuvre.
Via Cellule prospective
La 6e extinction massive qui menace la diversité animale et végétale invite les pouvoirs publics, la société civile et les citoyens à agir à tous les niveaux. En France, à l’heure actuelle, 26 % des espèces évaluées sont considérées comme éteintes ou menacées et seulement 22 % des habitats d’intérêt communautaire sont dans un état de conservation favorable. Le Service de la donnée et des études statistiques (SDES) et l’Agence française pour la biodiversité (AFB) s’inscrivent dans cette démarche en informant et sensibilisant régulièrement l’ensemble des acteurs à la biodiversité par le biais d’indicateurs publiés sur le site de l’Observatoire national de la biodiversité (ONB). À partir d’une sélection de 27 indicateurs clés commentés, issus de cet observatoire, ce recueil s’attache à présenter, à un large public, l’état et l’évolution des écosystèmes, des habitats et des espèces françaises, ainsi que les pressions majeures que les activités humaines font peser sur la biodiversité. Il présente, par ailleurs, l’implication de la société pour répondre aux enjeux de préservation de ce patrimoine naturel.
L’activité d’élevage sous-tend de nombreuses activités dans les territoires fragiles de montagne. Si les contraintes liées à cet environnement sont réelles (conditions climatiques, durée de la période hivernale, isolement géographique), les atouts et les opportunités de l’élevage à l’herbe dans ces territoires sont aussi nombreux : qualités de l’aliment herbe, services liés aux prairies d’élevage, capacité de stockage du carbone, qualités des produits, complémentarité des territoires, durabilité ... Autant de sujets d’actualité pour lesquels le Centre Inra ARA est un centre de recherches de référence.
Les réglementations européenne et française imposent des mesures strictes visant à garantir la qualité du lait, la santé et le bien-être des animaux, ainsi que la protection de l’environnement. Pour s’y conformer et aller plus loin encore que les obligations réglementaires, les éleveurs disposent d’appuis et d’outils variés, individuels ou collectifs. Leurs buts : être au …
La FAO a réuni plusieurs pays et organisations internationales pour travailler autour des réponses à apporter au phénomène de sécheresse. Elle prône plus de résilience dans le monde rural pour éviter que le manque d’eau ne se transforme en catastrophe.
Rendus possibles par la loi d'avenir pour l'agriculture, l'alimentation et la forêt fin 2014, les Groupements d'intérêt économique et environnemental (GIEE) permettent d'accompagner et de valoriser les dynamiques de terrain portées par des agriculteurs qui s'engagent collectivement dans l'amélioration des performances économiques, environnementales et sociales de leurs exploitations. Il
Directive européenne. Jusqu’alors épargnés, les élevages bovins vont devoir participer à l’effort national de réduction des émissions d’ammoniac. La gestion des épandages d’effluents en sera un poin
Entre bénéfices et répercussions, les systèmes d’élevage européens font débats. Pour y répondre, une expertise collective de l’Inra, avec la participation d’un chercheur Irstea, propose un état des savoirs sur leurs rôles, impacts et services. 11 leviers d’action sont ainsi proposés aux éleveurs, décideurs publics et acteurs locaux des territoires d’Europe.
Via Cedric
La haie champêtre a bon nombre de services à rendre à l’agriculteur : améliorer les rendements, éliminer les nitrates, protéger les troupeaux, etc.
Via Topics de Christophe Barbot
L’élevage de ruminants (bovins, ovins et caprins) participe au maintien de la biodiversité ordinaire de nos campagnes. Les prairies bocagères qu’il entretient pour nourrir les animaux des troupeaux, riches d’éléments agro-écologiques comme les haies, talus ou mares, procurent habitats et ressources alimentaires pour nombre d’animaux et insectes. Dessinant une mosaïque paysagère unique appréciée par tous, les prairies préservent la qualité des sols et l’eau, faisant d’elles un acteur majeur pour l’équilibre de nos territoires.
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En Haute-Saône, un groupement d’agriculteurs travaille avec les acteurs du territoire pour exploiter les différents services que les haies apportent : écologique, économique, bien-être animal. En Haute-Saône, un groupement d’agriculteurs travaille avec les acteurs du territoire pour exploiter les différents services que les haies apportent : écologique, économique, bien-être animal.
Le bien-être animal : un terme qu'on retrouve partout, notamment dans la bouche des consommateurs. Mais qu'est-ce qu'on met derrière ça ? Interbev a travaillé sur une liste d'indicateurs pour évaluer et améliorer le bien-être en élevage. Alimentation, bâtiments entravés, pâturage... : la future charte des bonnes pratiques intégrera des nouveaux indicateurs.
Christophe Bellet, délégué au développement du biométhane chez GRDF, intervient sur le plateau de la Space WebTV pour expliquer aux porteurs de projets comment l'entreprise peut les aider. Réseau à proximité, coût du raccordement, financement, mise en service, acceptabilité sociale... l'opérateur connaît bien le territoire et en spécialiste transversal de la filière biogaz, accompagne les éleveurs pour révolutionner le marché du gaz et atteindre l'autonomie d'ici 2050.
Les deux organismes de recherche en agriculture, alimentation et environnement, l'Inra et l'Irstea, devraient fusionner début 2020, selon un rapport remis mercredi aux ministres de la Recherche et de l'Agriculture par les présidents des deux instituts.
L’élevage de ruminants est souvent accusé de porter atteinte à l’environnement (climat, eau, etc.). Savez-vous que l'élevage a des effets bénéfiques pour vous et votre environnement ? Venez décrypter le vrai du faux lors de ce Théma.
Ce site proposé en libre accès a été conçu et préparé par des scientifiques sous le parrainage de l’Université Grenoble Alpes (UGA) et la Communauté d’Universités et Établissements Grenoble Alpes (ComUE). Il s’adresse à tout lecteur intéressé par les problématiques environnementales. Il s'appuie sur de nombreux articles (ayant fait l’objet d’une expertise par un comité éditorial) richement illustrés et signés par leurs auteurs. Un formulaire de contact permet aux internautes de joindre les rédacteurs et de commenter leurs articles.
Via AgroParisTech DOC IST
Certaines de nos activités émettent de grandes quantités d’azote oxydées (NOx) ou réduites (NHx) susceptibles de perturber le fonctionnement des milieux naturels. Dans les prairies subalpines1 des Pyrénées, cela se traduit par un apport excessif d’éléments azotés. Pour la première fois, des chercheurs du Laboratoire Évolution et Diversité Biologique de Toulouse (EDB, CNRS / Université Toulouse III - Paul Sabatier / ENSFEA / IRD), du Centre d'Etudes Spatiales de la BIOsphère (CESBIO, CNRS / CNES / Université Toulouse III - Paul Sabatier / IRD) du laboratoire Biodiversité Gènes et Communautés (BIOGECO, INRA / Université de Bordeaux) et de l’Instituto Pirenaico de Ecología (Espagne) ont pu analyser les conséquences à long terme des dépôts azotés sur la biodiversité végétale de ces écosystèmes2.Alors que les scientifiques s’attendaient à une diminution du nombre d’espèces avec l’accroissement des dépôts azotés, ils ont au contraire constaté son augmentation. Dans ces zones d’alpage très pâturées, la consommation par les herbivores des plantes qui bénéficient de l’enrichissement du sol en azote semble expliquer cette contradiction. L’étude, qui s’est également intéressée à l’impact du réchauffement climatique sur ces milieux naturels, a été publiée en février dernier dans Journal of Ecology.
Cette brochure rassemble les méthodes et références nécessaires pour le calcul des capacités de stockage des effluents d’élevage ruminant, équin, porcin, avicole et cunicole.
Les tenants d'un régime alimentaire composé à 100% de végétaux considèrent les productions animales comme une aberration environnementale. Ce n'est pas tout à fait vrai.
Les bovins convertissent les fourrages en protéines : Une partie des protéines végétales consommées par les animaux d’élevage ne sont en fait pas consommables directement par l’homme. Ainsi les ruminants sont capables de convertir des matières cellulosiques et protéines des fourrages indigestibles pour nous, en protéines de haute valeur nutritionnelle. Ces fourrages représentent 70 % ou plus de leur ration, le reste étant composé d’aliments concentrés supplémentaires, dont des protéines végétales qui pourraient être destinées à l’alimentation humaine.
Via Cedric
A la demande des ministères en charge de l’environnement et de l’agriculture et de l’ADEME, l’Inra a mené, pendant 2 ans, une expertise scientifique collective sur les rôles, impacts et services environnementaux, économiques et sociaux issus des élevages européens et de leurs produits. Un colloque de restitution des résultats de cette expertise s’est tenu le 30 novembre 2016 à Paris.
Via AgroParisTech DOC IST
SelfCO2® est un outil d'auto-évaluation et d'appui technique développé par l'Institut de l'Elevage, pour permettre aux éleveurs de mieux appréhender les interactions entre un élevage laitier et l'environnement et d'engager des démarches de progrès.
Via les documentalistes des Chambres d'agriculture
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