La Responsabilité Sociétale des Entreprises (RSE) s’impose comme un enjeu stratégique mondial. Selon la dernière étude EcoVadis, la France consolide sa position parmi les leaders, confirmant une troisième place sur le podium international.

Cette performance s’inscrit dans une dynamique amorcée depuis 2020. Les entreprises françaises, qu’il s’agisse de grands groupes, d’ETI ou de PME, témoignent d’une montée en puissance de leurs engagements.

« Cette étude confirme une fois de plus les excellentes performances RSE enregistrées par les entreprises françaises, qui comptent parmi les plus élevées au monde », observe Pierre Pelouzet, Médiateur des entreprises.

La 6e édition de l’étude conjointe EcoVadis et Médiateur des entreprises confirme la troisième place mondiale de la France en matière de RSE avec un score global de 60,4 sur 100 en 2024. Les achats responsables progressent fortement et deviennent un levier compétitif à transformer en avantage à l’export.

Les sociétés françaises font partie des bonnes élèves en matière de responsabilité sociétale des entreprises (RSE) selon une étude publiée mardi, alors que ces thématiques font face à un retour en arrière au niveau mondial. Selon la 6e édition de cette étude, publiée par EcoVadis - cabinet d'audit spécialisé sur le sujet - et le Médiateur des entreprises, la France se positionne au troisième rang mondial dans ce domaine, derrière la Finlande et la Suède. Les performances de 89 000 entreprises (dont 10 000 françaises) ont été analysées autour de 24 critères incluant des normes internationales sur l'environnement ou les droits humains.

Selon une étude publiée mardi 30 septembre 2025 par le Médiateur des entreprises et EcoVadis, les entreprises françaises se positionnent sur le podium mondial en matière de performances RSE. Avec un score de 60,4 sur 100, les entreprises françaises arrivent derrière les sociétés finlandaises, suédoises mais devancent les norvégiennes. 

Troisième derrière la Finlande et la Suède, la France reste un leader en matière de performance RSE, porté notamment par un cadre normatif particulièrement avancé sur le sujet. Une performance RSE “qui fait du bien aux entreprises françaises” et renforce leur compétitivité et leur attractivité.

La France occupe désormais la troisième place mondiale en matière de responsabilité sociétale des entreprises (RSE) selon la dernière étude du Médiateur des entreprises et d’EcoVadis. L’Hexagone se place dans le peloton de tête, juste derrière la Finlande et la Suède. Une performance qui confirme le rôle de locomotive de l’Hexagone sur la scène internationale.

Selon la 6e édition de l'étude annuelle publiée par EcoVadis et le Médiateur des entreprises, la France se positionne au troisième rang mondial dans ce domaine, derrière la Finlande et la Suède.

Pas de backlash pour la RSE en France. Les progrès des entreprises en matière d’environnement, de droits sociaux ou d’éthique placent la France dans le peloton de tête des pays les plus performants, affirme EcoVadis dans une nouvelle étude publiée ce mardi 30 septembre.

Frédéric Trinel, entrepreneur en série (EcoVadis est sa cinquième création) et Pierre-François Thaler, alors salarié d'un éditeur américain de logiciels, ont créé en 2007 cette pépite française, pour convertir le monde des affaires au développement durable. « On compte 4 à 5 millions d'entreprises dans le monde qui travaillent en BtoB, avec parfois des centaines, des milliers de fournisseurs…

EcoVadis complète sa palette pour évaluer les performances RSE des entreprises. En effet, la licorne française annonce l'acquisition de la startup canadienne Ulula, à l'origine d'une plateforme spécialisée dans l'application et le respect des droits de l'Homme dans les entreprise. Les modalités financières de ce rachat n'ont pas été dévoilées. Dans le cadre de cette opération, Antoine Heuty va devenir vice-président en charge des droits de l'Homme chez EcoVadis, tandis que les 40 collaborateurs d'Ulula vont être conservés au sein de l'entreprise tricolore.

Les entreprises françaises figurent désormais sur le podium mondial de la responsabilité sociétale des entreprises (RSE). Selon le dernier baromètre EcoVadis – Médiation des entreprises, elles se classent à la troisième place derrière la Finlande et la Suède. Une performance qui témoigne de leur résilience et de leur compétitivité, même si leur potentiel reste encore trop peu exploité, notamment à l’international.

Le Crédit-Agricole Centre-Est a présenté son deuxième baromètre de la transition énergétique des entreprises, ce mercredi 1er  octobre, en partenariat avec l’Institut CSA. Avec 500 entreprises interrogées dans le Rhône, l’Ain ou Bourgogne-Franche-Comté, il en ressort que les sujets énergétiques et environnementaux sont jugés « un peu moins prioritaires », avec un score déclaré de 6,6/10, en baisse par rapport à 2024 (6,9/10). Même si ce sujet n’en demeure pas moins...

Contre toute attente, les entreprises françaises performent au niveau mondial quant à leurs engagements environnementaux et sociaux. Le cabinet de conseil EcoVadis et le Médiateur des entreprises dressent un panorama encourageant en matière de RSE et qui mériterait d'être mieux reconnu pour son attrait compétitif.

En matière de responsabilité sociétale des entreprises (RSE), la France affiche des résultats solides depuis plusieurs années déjà, qui la placent parmi les pays les plus engagés du monde. En 2024, l’hexagone confirme la dynamique des entreprises françaises. C’est ce que révèle la 6e édition de l’étude menée par EcoVadis et le Médiateur des Entreprises, publiée le 30 septembre 2025. Créée en 2007, EcoVadis est la première plate-forme collaborative de notation de RSE.

Les groupes tricolores occupent le troisième rang mondial en la matière selon une étude conjointe d’EcoVadis et du médiateur des entreprises. Un argument pour l’export encore sous-exploité.

Les sociétés françaises font partie des bonnes élèves en matière de responsabilité sociétale des entreprises (RSE) selon une étude publiée mardi, alors que ces thématiques font face à un retour en arrière au niveau mondial. Selon la 6e édition de cette étude, publiée par EcoVadis - cabinet d'audit spécialisé sur le sujet - et le Médiateur des entreprises, la France se positionne au troisième rang mondial dans ce domaine, derrière la Finlande et la Suède. Les performances de 89.000 entreprises (dont 10.000 françaises) ont été analysées autour de 24 critères incluant des normes internationales sur l'environnement ou les droits humains.

Les sociétés françaises font partie des bonnes élèves en matière de responsabilité sociétale des entreprises (RSE) selon une étude publiée mardi, alors que ces thématiques font face à un retour en arrière au niveau mondial. Selon la 6e édition de cette étude, publiée par EcoVadis - cabinet d'audit spécialisé sur le sujet - et le Médiateur des entreprises, la France se positionne au troisième rang mondial dans ce domaine, derrière la Finlande et la Suède. Les performances de 89.000 entreprises (dont 10.000 françaises) ont été analysées autour de 24 critères incluant des normes internationales sur l'environnement ou les droits humains.

Une étude permet de comparer les actions de responsabilité sociétale (RSE) des entreprises françaises avec celles de leurs homologues européennes et mondiales. Elles paraissent plus ambitieuses : une situation qui s’explique notamment par les normes en vigueur, selon Ecovadis et le Médiateur des entreprises, qui ont réalisé l’étude.

EcoVadis, leader mondial de l'évaluation et de l'amélioration des performances RSE des entreprises, annonce l'acquisition d'Ulula, spécialisée dans les technologies d'analyse des pratiques relatives au respect des droits de l’homme dans l’entreprise, avec pour mission l'amélioration des conditions de travail dans les chaînes d'approvisionnement mondiales et la fin du travail forcé.

« Mon moteur en tant que RH, c’est d’accompagner les transformations d’entreprise et d’avoir de l’impact auprès des collaborateurs : je crois à la puissance des projets qu’on réalise ensemble. Ecovadis rassemble plus de 1 800 collaborateurs, de plus de 70 nationalités différentes, travaillant dans 16 pays. Cette diversité fait la force de notre culture d’entreprise et n’est pas qu’un sujet privé. Plus le monde évolue, plus la passerelle se fait entre vie professionnelle et vie personnelle, et c’est encore plus vrai pour les jeunes générations. Au début de ma carrière, j’étais étonnée quand certaines personnes me disaient : « C’est juste un boulot ! » ou trouvaient normal de rester toute la journée dans un bureau sans parler d’eux à leurs collègues. On passe beaucoup de temps au travail, c’est important de pouvoir s’y sentir bien, de pouvoir y être soi-même. Car c’est alors qu’on peut aller encore plus loin dans la performance. »