35 paysans du Grand-Est se sont regroupés pour acheter un supermarché et ainsi vendre leurs produits directement aux consommateurs. Retour sur cette initiative à l'occasion du Salon de l'agriculture. Le Salon de l'agriculture qui débute ce samedi fait la part belle aux circuits courts. De fait, les initiatives pour «court-circuiter» la grande distribution se multiplient. A l'image des 35 agriculteurs du Grand-Est qui se sont regroupés pour racheter une grande surface et y vendre leurs produits directement du producteur au consommateur.
De plus en plus de villes tâchent de produire sur leur territoire de quoi nourrir leur population. Pourquoi ? Comment ? Réponses avec l’expérience d’Ungersheim.
Plus d'autonomie alimentaire pour des communes de toutes tailles, c'est un des concepts des Villes en Transition, lancé en 2006 à Totnes dans le Devon au Royaume Uni.
c'est bien de faire das l'artivle de donner la source ad (1) villes et territoires en transition: www.transitionfrance.fr, et les transaitionneurs seront bienvenue le 25, 26 et 27 sept
Cagettes de poires, glacières de yaourts, sacs de pains de campagne… Un jeudi sur deux, un restaurant-traiteur de Vincennes prend des allures de marché campagnard.
Local, circuit court : de plus en plus de consommateurs achètent des produits du terroir directement auprès des producteurs, soit par internet soit en se rendant directement à la ferme. Même les enseignes de supermarchés s’y mettent, notamment pour la viande. La restauration collective n’y échappe pas non plus : de plus en plus d’initiatives régionales voient le jour afin de mettre en relation les producteurs locaux et les gestionnaires de cantines.
Dernièrement, on note une envie croissante de la population à consommer local, à privilégier lescircuits courts et à s’approvisionner en réduisant les distances. Dans son sillage, émerge une volonté – utopique ? – de développer des villes autosuffisantes. Alors, est-il vraiment possible pour une ville d’être auto-suffisante, voire en autarcie ? N’est-il pas vain de croire que l’on peut y arriver ? Enquête sur ces villes qui tendent vers l’autosuffisance.
Il est encore temps de finaliser ses préparatifs pour les repas de Noël et du jour de l'an. Mais au-delà des 1001 idées recettes bio pour les fêtes, comment assurer avec d'authentiques produits locaux ? Réponse avec Manuel Dagens, co-fondateur du restaurant locavore Belle Campagne à Bordeaux.
Avec le développement des circuits courts, même un citadin n’ayant jamais vu une ferme de sa vie peut manger local. Ces formes plébiscitées de commercialisation n’ont pas toutes la même cible, elles sont plus ou moins écolos et doivent avant tout être rentables pour les producteurs. Rue89Lyon s’est intéressé aux popositions faites dans l’agglo lyonnaise, et ouvre une série de reportages.
Rue89Lyon poursuit sa série de reportages sur ces nouveaux modes de consommation. Pour ce troisième volet, nous nous sommes intéressés aux systèmes de paniers portés par des entreprises ou des associations.
Qui a dit que consommer bio et local était trop contraignant ? Depuis plusieurs années de nouvelles initiatives se multiplient dans le secteur de l’alimentation durable. Revenir à des valeurs délaissée par l’industrialisation, oui, mais tout en restant modernes ! Quelques fermiers en France ont décidé de sauter le pas et de s’équiper de distributeurs automatiques bio.
A l’heure où de plus en plus de personnes prônent un retour à l’alimentation issue des exploitations locales, il apparait comme essentiel de garder un regard avisé sur les caractéristiques de ceux-ci. Quelques éléments de réflexion pour s’encourager à consommer durable, tout en restant responsable.
Terre de Liens Normandie lance "Le Convertisseur alimentaire" : ce calculateur permet d’évaluer le nombre possible de nouveaux paysans si l’on passait à une politique d’alimentation produite localement.
Sous la pression de l’idéologie dominante, le commerce international est devenu une machine sans visage qui vise la maximisation du profit et dans laquelle, producteurs et consommateurs ne sont plus que des pions. Ce type de commerce a comme conséquences l’exploitation et l’anonymat, la baisse de la qualité des produits au nom du profit et la disparition des relations humaines. Face à cette réalité, de nouvelles pratiques sont apparues en Grèce chez des personnes qui connaissent les règles du marché mais qui croient aussi et encore aux relations humaines et ne sont pas prêtes à les sacrifier.
Outre le principe de circuit-court, Alter-Conso a créé son propre modèle. Ainsi, le fonctionnement de la coopérative ne fonctionne pas sur la seule bonne volonté des bénévoles, comme c’est le cas pour les AMAP.
Terminées les poubelles qui débordent tous les deux jours : produire moins de cinq kilos de déchets par an, soit cent fois moins que la plupart des Français, est tout à fait possible. Et même avec des enfants. Une famille de la région nantaise réalise cette prouesse depuis quelques années. Sans frustrations et en mangeant bien. Leur secret ? Refuser l’inutile, réduire la quantité de ce que l’on possède et achète, réutiliser, recycler, composter, et quelques bons réflexes lors des courses. Récit de l’intérieur.
Structurer une filière de l’alimentation locale et biologique, depuis la transformation jusqu’à la distribution des aliments. C’est tout l’enjeu du Groupement régional alimentaire de proximité (Grap), une coopérative lyonnaise autour de laquelle gravitent des épiceries, des magasin de producteurs, des restaurants, des boulangers… Ensemble, ils mutualisent des moyens, s’entraident, se forment, le tout dans un état d’esprit d’économie solidaire. Et lancent de nouveaux projets avec la volonté que la consommation responsable change d’échelle.
"Pour encourager cette tendance, l’administration Obama a lancé le 9 juin l’initiative « Local Food, Local Places » visant à apporter aux collectivités rurales l’expertise de spécialistes en agriculture, en transport, en environnement et en économie locale."
Une des facettes de la nouvelle consommation, outre sa dimension collaborative ou respectueuse de l’environnement, est son tropisme local. De plus en plus de consommateurs sont attentifs à l’origine des produits et en France, la tendance se confirme nettement : la consommation locale s’installe durablement.
Un hypermarché comme un lieu de vie, parfaitement intégré dans son environnement et porté par une dynamique locale, beaucoup en rêve, d'autres agissent. Aux USA la chaine Whole Foods s'impose dans le paysage. Connue pour son offre de nourriture bio, sa distribution en vrac et ses corner avec des producteurs locaux. Aujourd'hui, l'enseigne va plus loin et crée sa propre ferme urbaine pour son installation sur Brooklyn, le quartier en vue de New York; Particularité, ce potager de légumes bio est installé sur le toit du bâtiment, dans une serre hydroponique de 1850 m⊃2; bénéficiant d'un dispositif d'irrigation très économe en eau (20 fois moins qu'une serre classique). La structure du parking est également équipée de panneaux photovoltaïques assurant 20 % de la production d'électricité du magasin et les clients peuvent recharger les voitures à l'énergie solaire le temps des courses.
Si c'est hydroponique.... c'est pas bio... bizarre ! Les engrais solubles utilisés viennent de l'industrie pétrochimique. À moins qu'il soit possible de démontrer le contraire.
4ème édition des Grands Prix de la finance solidaire 2013 : Finansol et Le Monde récompensent 5 projets exceptionnels !
Après le vote en ligne des internautes, voici le Lauréat du prix "Coup de cœur du public", une nouveauté cette année !
Le Court-Circuit : ce café-restaurant situé dans le 7ème arrondissement de Lyon propose des plats "faits maison" préparés à partir d'ingrédients issus de la filière bio provenant de producteurs et d'éleveurs de la région.
Comment nourrir la population tout en favorisant la production locale et, surtout, en créant des emplois? Voilà un modèle économique qui fonctionne, celui de la micro-ferme.
Qui produit bio près de chez moi ? Où se fournit mon restaurant préféré ? Pour répondre à ces questions, une nouvelle plateforme met en contact direct producteurs, restaurateurs et consommateurs, afin d’éclairer nos choix en matière d’alimentation.
Ces derniers temps la crise a fortement modifié nos comportements de consommateurs, un pouvoir d’achat en berne et un moral très affecté, nous limitent dans nos dépenses.
Sans oublier une actualité très sombre laissant les consommateurs dans des positions de méfiance, entre les scandales alimentaires de viande de cheval (plus d’autres) et les trahisons de nos politiques (l’affaire Cahuzac n’en est qu’à ses débuts). Un esprit de scepticisme et un manque de sécurité envers les grandes entreprises et les gouvernances se font fortement ressentir.
L’engouement pour les produits agroalimentaires locaux est en partie lié à l’attente de moindres impacts environnementaux de ces formes de commercialisation, et en particulier d’un bilan carbone plus favorable du fait d’une distance parcourue par les produits moins importante. Or, c'est la phase de production qui pèse le plus sur les impacts environnementaux des produits agroalimentaires et notamment sur leur bilan carbone. Ainsi, les moindres distances généralement parcourues par les produits locaux ne suffisent pas à affirmer leur qualité environnementale.
Les avantages de la commercialisation locale consistent davantage en des atouts socioéconomiques : réancrage territorial de l’activité agricole, meilleure valorisation des produits par le producteur, rapprochement entre l’agriculteur et le consommateur, et plus grande implication des acteurs publics et des habitants dans l’agriculture, comme des consommateurs dans leurs choix alimentaires.
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