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Créé à l'initiative du Conseil général de la Somme, ce site est dédié à la filière des éco-activités. A travers ce portail, vous pourrez : -identifier les acteurs clés et les outils correspondant à votre projet (accompagnement à la création, au développement, à l’implantation, à la diversification), -améliorer votre connaissance du secteur des éco-activités dans le département de la Somme, -renforcer votre visibilité sur les marchés grâce à l’annuaire des professionnels investis dans cette filière dans le département, accéder à l’actualité des nombreux acteurs qui interviennent dans les éco-activités ( manifestations, appels à projets…), -échanger vos expériences et renforcer vos réseaux en construction durable ( éco-construction, performance énergétique, éco-matériaux…) ou en énergies renouvelables ( éolien, géothermie, solaire, biomasse…) -identifier les prestataires pour réaliser votre projet, à travers les annuaires des éco-entreprises de la construction durable, des énergies renouvelables et des autres éco-activités. -vous former sur les nouvelles technologies liées aux éco-activité grâce à l'annuaire des formations dédiées...
Via Somme éco-activités
Une étude d'Accenture et CDP estime que le basculement dans un système d'énergie bas carbone pourrait créer de 245 à 380 milliards d'euros par an de valeur nouvelle pour les opérateurs d'ici 2030. Détails des leviers et transformations nécessaires.
Un décret publié le 11 décembre au Journal officiel crée le label « transition énergétique et écologique pour le climat » afin de faire participer les sociétés de gestion de portefeuille et les fonds d’investissement à la transition énergétique pour la croissance verte. Une labélisation basée sur le volontariat Les sociétés de gestion de portefeuille et les fonds d’investissements qui peuvent prendre la forme d’organismes de placement collectifs ou de fonds d’investissement alternatifs pourront être labélisés comme contribuant de manière « directe ou indirecte au financement de la transition énergétique et écologique et à la qualité et la transparence de leurs caractéristiques environnementales ». Il est précisé que pour les fonds d’investissement les critères sélectionnés peuvent différer selon leur catégorie et leur thématique. Créations d’organismes de certification Hormis le projet de référentiel qui avait été mis en ligne par le ministère de l’Ecologie, les modalités de contrôle des fonds d’investissement seront établies dans un « plan de contrôle et de surveillance cadre du label » dont le contenu sera prochainement détaillé par un arrêté qui définira « les principes applicables aux procédures de certification (…), le rôle des organismes des organismes de certification, et les procédures de contrôle et de suivi des fonds ». En ce qui concerne les sociétés de gestion de portefeuille qui souhaitent bénéficier dudit label, elles pourront choisir un organisme de certification qui validera leur démarche et leur remettra une fiche de renseignements indiquant, par exemple, la manière dont elles devront répondre « aux exigences du référentiel et le processus de contrôle interne associé ». Un label délivré pour une durée d’un an Jusqu’au 30 septembre 2016, le ministère de l’Ecologie sélectionnera les organismes de certification qui recevront à partir du 1er octobre 2016 leur accréditation. Ces organismes pourront demander aux sociétés de gestion de portefeuille de mettre en place un plan d’actions qui proposera des mesures correctives « ainsi qu’un délai de mise en œuvre de ces actions ». Par un audit de suivi qui pourra prendre la forme d’ « un contrôle sur pièces ou sur places », les organismes vérifieront la mise en place des actions et pourront suspendre ou retirer la décision de labellisation délivrée pour une durée d’un an. Il est précisé que du fait du secret des affaires les organismes de certification ne pourront « rendre publiques les informations confidentielles et nominatives dont ils pourraient avoir connaissance à l’occasion de leurs activités ». Enfin, un comité du label sera également créé. Parmi ses missions, il aura la faculté de proposer des modifications au référentiel du label et au plan de contrôle et de surveillance. Il sera présidé par la commissaire générale au développement durable et composé notamment de représentants étatiques, d’investisseurs professionnels ou non professionnels et de la société civile. Pour en savoir plus : Décret n° 2015-1615 du 10 décembre 2015 relatif au label « transition énergétique et écologique pour le climat » Ancienne consultation publique ayant eu lieu du 22/09/2015 au 11/10/2015 relatif au projet de label « transition énergétique et climat »
Energie, bâtiment, industrie automobile… La transition énergétique conduira plus à une évolution des contenus des postes existants qu'à une création de nouveaux métiers de cadres, selon une étude de l'Apec.
En septembre 2015, l'association Ashoka et la Fondation Schneider Electric ont lancé un appel à projets intitulé "Innovation sociale pour lutter contre la précarité énergétique" en Europe. Elles révèlent aujourd'hui les 14 projets retenus, sur les 200 dossiers reçus. C'est la France qui concentre le plus de projets retenus (5), suivie de la Grande Bretagne (4), la Belgique (2), l'Italie (1), la Pologne (1) et la République tchèque (1).
C'est un accord "ambitieux et équilibré" qu'a présenté ce matin Laurent Fabius aux 196 délégations présentes au Bourget. Un texte salué par de nombreux observateurs présents sur le site de la COP21. Que faut-il retenir de ce projet d'accord en matière d'ambitions, de financements et de mécanismes de suivi ? Analyse d'un texte qui pourrait être historique s'il était adopté en fin de soirée, ce samedi 12 décembre.
En pleine COP 21, si un sujet fait consensus, c’est bien le rôle déterminant des territoires et des collectivités locales pour lutter contre le réchauffement climatique. Elles ont la capacité de mobiliser les acteurs locaux, citoyens et entreprises. Et leurs agents possèdent les compétences pour agir concrètement pour le climat, en développant les politiques publiques. Retour sur 9 métiers qui contribuent à la lutte contre le réchauffement climatique, à travers les portraits vidéos de territoriaux rencontrés par la Gazette depuis 2 ans.
es pratiques professionnelles adaptées à la transition écologique sont de plus en plus identifiées comme un important enjeu économique par le monde de l’entreprise, d’où la prise de conscience par les acteurs de l’emploi et de la formation de l’impératif de faire évoluer les compétences. Pour accompagner l’intégration de la dimension environnementale dans le corpus des compétences métier, le commissariat général au développement durable anime les réseaux des professionnels et des acteurs de l’emploi et de la formation afin de mieux capitaliser sur leurs travaux et analyses, et consolider leur atout compétitif à l’échelle internationale. Alors que l’adéquation entre activités environnementales et compétences des travailleurs fait partie des préoccupations des organisations internationales, la France joue ainsi un rôle important en tant que pays précurseur en termes d’intégration réciproque entre les politiques environnementales et celles de développement des compétences.
Business France a publié fin novembre son 5e tableau de bord de l’attractivité. Face aux nombreux classements publiés chaque année par divers organismes (CNUCED, EY…), l’objectif affiché est de démontrer que l’attractivité ne se résume pas à un indicateur mais est multifactorielle. Le tableau de bord de l’attractivité prend ainsi en compte la taille des marchés, le capital humain, la recherche et l’innovation, les infrastructures, l’environnement administratif et financier, le coût du capital et du travail, ou encore la qualité de vie. Pour chacun de ces indicateurs, la France a été comparée à 13 pays de l’OCDE. 5 grands atouts de la France ont été identifiés : le marché et son positionnement géographique ; un environnement favorable aux activités de R&D ; l’efficience et la qualité de la main d’œuvre, la dynamique entrepreneuriale la qualité et l’efficience du mix énergétique. Des faiblesses sont néanmoins pointées en matière d’environnement réglementaire, de coût du travail et de fiscalité. Côté investissements étrangers, la France est au 7e rang mondial en termes de stock, et au 19e rang mondial en termes de flux. Le document complet peut être téléchargé sur le site de Business France.
Lancés en juin 2015 par l’ADEME, le C3D, le Crédit Coopératif, ORÉE, Solutions COP21, The Shift Project et World Efficiency, les «Trophées Solutions Climat» ont pour objectif de récompenser les meilleures solutions en matière d’atténuation et/ou d’adaptation aux dérèglements climatiques.
A l'occasion de l'ouverture de la COP 21, François Hollande, Barack Obama et Bill Gates ont lancé une "Mission Innovation" pour accroître les financements en faveur des énergies bas-carbone. Ils ont été rejoints par 17 autres pays qui se sont engagés à doubler, sur cinq ans, le budget alloué à la recherche publique dans l'efficacité énergétique, les technologies bas-carbone et les énergies renouvelables. Au total, les pays partenaires représentent 75% des émissions de CO2 mondiales issues de la production d'électricité, et 80% de la R&D actuelle en faveur des énergies propres, détaille la Maison blanche.
Forts des résultats d'une étude sur le secteur du biogaz en France, les professionnels de la filière souhaitent poursuivre leur structuration et le développement de cette énergie renouvelable. Ensemble, ils constatent une montée en compétence, une meilleure adaptation des matériels et une optimisation des charges d'exploitation qui rendent les projets plus intéressants. Détails.
“Participez au développement de mon salon en m'aidant à financer son déménagement en centre ville. ”
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Le dispositif de reporting en matière de finance carbone issu de la loi sur la transition énergétique est en ordre de marche. Les investisseurs concernés ont trois ans pour s'y mettre avant la mise en place de cibles de référence.
La plateforme digitale de travail Qapa.fr, s'est penchée sur les emplois liés au développement durable, à la gestion des ressources naturelles et à l'écologie : les métiers les plus demandés, les mieux payés, les régions les plus actives dans ces secteurs et les différences hommes/femmes.
Le projet de recherche Powerstep, lancé en juillet pour une durée de trois ans, testera différentes solutions pour rendre les stations d'épuration (step) productrices d'énergie. Au niveau européen, le potentiel est de 87.500 GWh/an.
Les automates désherbeurs de la start-up toulousaine Naïo Technologies viennent de faire craquer trois investisseurs : Emertec, Cap Agro et l’entreprise Syselec, auxquels il faut ajouter Bpifrance, deux banquiers et le Conseil régional. Ces supporters misent au total 3 M€ en equity et prêts sur cette entreprise qui fabrique d’ores et déjà le petit robot électrique Oz, lequel a quelque chose de Wall-E, cher au
La loi sur la transition énergétique adoptée mi-août fixe des objectifs ambitieux en matière de développement des énergies renouvelables. Ces dernières devront représenter 32 % de la consommation énergétique française d’ici à 2030, le double d’aujourd’hui. Les installations d’éoliennes, de panneaux solaires et autres centrales de biomasse devraient donc se multiplier au cours des prochaines années avec, à la clé, des dizaines de milliers de créations d’emplois, selon le Syndicat des énergies renouvelables. Problème : certaines entreprises ont déjà du mal à trouver les compétences adaptées
L'efficacité énergétique est au cœur de nouveaux engagements pris pendant la COP. Les collectivités, entreprises et ONG veulent impulser un nouvel élan à une problématique souvent délaissée malgré ses avantages économiques et écologiques.
La Fondation Nicolas Hulot a souhaité saluer tous ceux qui ont osé et continuent d’agir pour le climat. C’est au cours d’une soirée festive le lundi 7 décembre qu’ont été félicités les lauréats de la campagne de mobilisation « My Positive Impact ».
Parmi les 10 solutions lauréates, Bruno Lechevin, Président de l’ADEME a remis le prix au projet Bardzour de AKUO Energy.
Bardzour, c’est une centrale solaire unique au monde déployant l’innovante technologie de stockage mais aussi un programme sur-mesure intégrant la protection de l’environnement et la problématique de la réinsertion sociale. Ce projet comprend l’implantation d’une centrale photovoltaïque d’une capacité de 9 MWh au sol sur le No Man’s Land du Centre de détention de Port à la Réunion, mais aussi la plantation d’une arboretum de plantes endémiques, des formations des détenus à l’apiculture et l’agriculture raisonnée et le financement de la rénovation de l’Insectarium de la Réunion.
Le projet « Bardzour » emprunte son nom à un mot réunionnais qui signifie « aube naissante ». Ce terme chargé de sens et porteur de promesses a été choisi collégialement par les différents partenaires engagés dans ce projet
Industriels, politiques, banquiers… tous n'ont qu'un mot à la bouche : la transition énergétique. Mais les porteurs de solutions sobres en carbone parviennent-ils à se développer ? C'est la question à laquelle les invités du 3e plateau-TV d'Actu-Environnement répondent aujourd'hui.
L'agence régionale de l'énergie et de l'environnement en Rhône-Alpes (Raee) a publié une brochure sur le montage de projet de méthanisation dans les territoires. Elle s'appuie sur l'accompagnement de 40 porteurs de projets depuis 2008 pour déterminer cinq recommandations. Elle s'adresse aux collectivités ainsi qu'aux porteurs de projets agricoles. Il s'agit de : poser les bases du projet - et notamment être sûr de son choix pour la méthanisation -, adapter le process aux besoins – sans surdimensionner l'installation et en déléguant aux plus compétents -, choisir la typologie et l'orientation du projet – en raisonnant au cas par cas et en analysant toutes les voies de valorisation du biogaz -, savoir s'entourer, comprendre le jeu des acteurs et communiquer, et dernier point, anticiper les risques et se rassurer, notamment en terme de financement et de couverture contractuelle. Chaque sous-partie est illustrée par plusieurs retours d'expériences.
C’est le 2 décembre que le Conseil National de Protection de la Nature observe, au stade de l’avis intermédiaire, l’avant-projet de Charte du Parc naturel régional Baie de Somme Picardie Maritime. Si l’avis rendu est favorable, il sera suivi d’un avis final, qui pourrait consacrer la labellisation du Parc naturel régional sur lequel la réflexion est engagée depuis 2004. Le deuxième en Picardie, avec le PNR Oise Pays de France
Le président de la République, François Hollande et le secrétaire général de l'ONU Ban Ki-Moon ont ouvert aujourd’hui la 21e Conférence de l'ONU sur les changements climatiques (COP21) sur le site du Bourget, au nord de Paris. Cet événement mondial va accueillir plus de 150 dirigeants étrangers. Les différentes délégations étatiques doivent trouver un accord compatible avec l’objectif qui a été formulé clairement lors de la COP de Copenhague en 2009 : limiter le réchauffement climatique à 2°C. Cet objectif a ensuite été adopté à l’unanimité lors de la COP de Cancun en 2010. Pour y parvenir, les Etats doivent en premier lieu trouver un accord international de réduction des gaz à effet de serre, qui entrera en vigueur en 2020. Tout au long de l’année, différents pays ont annoncé quelles pouvaient être leurs contributions de réduction des gaz à effet de serre et leurs stratégies pour y parvenir. Les annonces d'entreprises se sont aussi multipliées cette année, qu’il s’agisse de s’alimenter en électricité 100 % renouvelable ou d’améliorer leur efficacité énergétique. Leur besoin est clair, il faut donner un prix au carbone pour orienter les investissements vers des technologies bas-carbone. Investir et développer les énergies renouvelables, s’équiper en procédés plus propres, intégrer les procédés entre eux, sur le modèle de l’économie circulaire, pour maximiser l’efficacité énergétique, capter les gaz à effet de serre avant qu’ils n’aillent dans l’atmosphère et valoriser ceux-ci, sont autant d’enjeux auxquels les entreprises doivent répondre. Découvrez ou redécouvrez les articles d'Industrie & Technologies sur les innovations de la COP21.
Selon la troisième vague de l’Observatoire des consommations émergentes de l’ObSoCo, huit Français sur 10 affirment que l’usage d’un bien est plus important que sa propriété. Pourtant, seuls 20 % déclarent avoir loué au moins un bien en 2014 (hors automobile, pour laquelle ils sont 9 %) [1]. Dans la grande majorité des cas, la propriété des biens reste la norme pour les consommateurs, tant que le coût d’achat (et de stockage) est considéré comme inférieur aux contraintes que suppose la location de courte durée. Entre propriété exclusive et location ponctuelle, il existe un intermédiaire, la location de longue durée (LOA), ou leasing. Elle consiste pour un consommateur à louer un bien pour une durée donnée, au terme de laquelle il dispose de trois options : acheter le bien, le rendre, renouveler la location pour ce bien ou un autre équivalent. En échange d’un forfait mensuel, il peut ainsi devenir propriétaire du bien, ou a minima en disposer exclusivement, sans payer l’équivalent de son prix d’achat au départ (le prix payé au total en cas d’achat étant néanmoins supérieur). La LOA est utilisée depuis longtemps pour les automobiles, notamment pour les entreprises. Pour les particuliers, le marché était jusqu’à présent relativement stable, mais il connaît aujourd’hui une croissance inédite. Selon les données de l’ASF (Association française des sociétés financières), entre les premiers semestres 2014 et 2015, les opérations de location avec option d’achat pour des automobiles neuves à des particuliers ont augmenté de 34,6 % [2]. En conséquence, au cours des trois premiers mois de l’année, le montant des crédits accordés pour la LOA a dépassé celui des crédits classiques pour l’achat de véhicules par des particuliers.
Ce pôle met en adéquation les besoins des industriels et les outils de formation. Pionnier français dans la labellisation des formations, le pôle IAR poursuit ses efforts d’identification et d’actualisation des compétences et des parcours de formation de Niveau 1 à 5. Elle permet de développer de nouvelles collaborations entre les organismes de formation, les entreprises et les structures de recherche et de transfert. Lien pour télécharger le livret des formations
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