Can you imagine a world in which most jobs are obsolete?
If not, you are most likely in for a rude awakening in the coming decades of radical shifts in employment. This is particularly true for new parents propelling the next generation of workers into an adulthood that many economists and futurists predict to be the first ever “post-work” society.
Though the idea of a jobless world may seem radical, the prediction is based on the natural trajectory of ‘creative destruction’ — that classic economic principle by which established industries are decimated when made irrelevant by new technologies.
Du 20 juin au 18 octobre, COAL présente « Open Source », seconde exposition de sa trilogie Think global, Act local au Centre Européen d’Actions Artistiques Contemporaines de Strasbourg.
Tendance contestataire pragmatique et éparse, le développement de l’open source dont témoignent et qu’accompagnent les artistes ici présentés, critique la modernité qui a porté aux nues l’individu et survalorisé l’idée au détriment de sa réalisation. Cette posture est aujourd’hui largement remise en cause par les tenants d’un autre modèle de société, plus collaboratif, qui ont choisi d’élaborer une forme de démocratie participative en se libérant du copyright et en favorisant la réappropriation des ressources, des connaissances et des savoir-faire par tout un chacun.
Je me souviens clairement d’une discussion que j’ai eue avec un producteur de films qui soutenait que les licences libres ne pouvaient réellement fonctionner que dans le domaine des logiciels et dans celui des encyclopédies en ligne. En dehors des logiciels libres et de Wikipédia, la création culturelle, qu’il s’agisse de livres, de films, de musique ou de jeux vidéo, présentait selon lui de trop fortes spécificités pour autoriser la mise en place de modèles économiques viables, capables d’assurer une diffusion de l’oeuvre au public et de rémunérer les créateurs.
Le mécénat artistique est le domaine réservé des personnes aisées. Le web 2.0 permet de le démocratiser. Ce dernier nous offre la possibilité de soutenir directement les artistes que nous aimons, notamment grâce au financement participatif « classique » (KickStarter, MyMajorCompany, etc.). Mécène au lieu de consommateur: un rôle que j’adopte bien volontiers et grâce à l’un de mes artistes préférés, c’est devenu encore plus facile.
Privilégier la création tout en sensibilisant au tri.
Le concours art-récup organisé par l'Office municipal de la culture constitue l'un des pôles d'attraction de la fête du printemps qui se tient fin mai à la vallée de l'Eure. Mais pour participer, cela demande une longue préparation qui débute dès aujourd'hui notamment pour les écoles et associations qui désirent concourir.
Dans le Nord, l’association Et vous trouvez ça drôle !!! est devenue un véritable Centre régional des arts du cirque. Un lieu abracadabrant !
Imaginez, au cœur d’un parc urbain du Nord, une forteresse moyenâgeuse. Entre les deux tours, une porte toujours ouverte donne sur une allée pavée bordée de maisons à colombages. Le tout semble droit sorti d’une fiction, et pour cause : le Centre régional des arts du cirque a planté ses 5 chapiteaux entre les murs d’un parc d’attractions à l’abandon.
Ils sont plasticiens, comédiens, chanteurs, stylistes, graphistes…mais aussi entrepreneurs et salariés ! Les membres de la coopérative alsacienne Artenréel ont trouvé le plan idéal pour créer librement tout en structurant leur projet professionnel.
Fini le cliché de l’artiste maudit sans statut et sans revenus, condamné à l’isolement ! Chez Artenréel, chacun « crée son propre emploi au sein de la coopérative » comme l’explique le directeur adjoint, Joël Beyler.
Philippe Brousseau, ancien créateur de masques de carnaval s’inspire des statues des temples d’Angkor et les sculpte sur du papier mâché. Regardez le résultat, vous serez bluffé.
Le « Off » de Marseille 2013 est une première dans l’histoire des capitales européennes de la culture. Malgré des moyens plus limités que l’association Marseille Provence 2013, le Off n’a pas laissé les questions d’environnement de côté.
« Même si, comme tous les organisateurs, nous pensons d’abord à la proposition artistique, on ne peut plus ignorer l’aspect environnemental, juge Stéphane Sarpaux, directeur du Off. Dans les conventions avec les porteurs de projet, nous avons par exemple inséré des clauses développement durable, même si nous n’avons pas les moyens de tout contrôler derrière« .
Nouvelle facétie du street-artiste italien Fra.Biancoshock : l’activisme ménager. Lassé d’être confronté à l’insalubrité intolérable des rues italiennes, il a décidé de passer à l’action dans les rues de sa ville, Milan.
La gestion des déchets est un véritable problème en Italie. En effet, parmi les 30 villes les plus polluées d’Europe, 15 se trouvent en Italie. Cette crise des ordures dure depuis plus de 20 ans, touchant plus particulièrement la région de Naples. En se promenant dans la ville, il n’est pas rare de croiser des dizaines de poubelles abandonnées à même le sol, décharges sauvages et à ciel ouvert. « Contrairement à l’évolution observée dans beaucoup d’autres pays de l’OCDE, la production de déchets municipaux en Italie a augmenté plus vite que le PIB. », écrivait l’OCDE dans un rapport daté du 8 mars dernier.
Avec un nom comme ça, (COAL, charbon en anglais), on s’attendrait à un groupe de Rock Métal ou à une association de sidérurgistes. On est très loin, puisque le projet COAL vise à faire se rencontrer les mondes de l’art, de la recherche et du développement durable. Créée en France en 2008, COAL est une association qui rassemble des professionnels de l’art contemporain, du développement durable et de la recherche et qui remet un prix tous les ans.
Le Turner Prize, prestigieux prix d’art contemporain britannique, nous a plutôt habitués à l’art le plus expérimental et conceptuel. Parmi les quatre finalistes 2015 figure un collectif d’architectes pour leur projet social Granby Four Streets, à Liverpool.
Youphil.com a sélectionné des projets d’artistes réalisés à partir d’objets usagés ou de déchets.
Papier brouillon, carton, bouteille plastique, détritus de tout genre… le recyclage ne fait pas forcément rêver. Pourtant, il peut être esthétique et artistique. Youphil.com a sélectionné des initiatives qui auraient très bien pu se retrouver dans les allées de la Foire internationale de l’art contemporain du 24 au 27 octobre.
Qu’ils aient une démarche engagée ou pas, les artistes qui font du recyclage un art sensibilisent à la question des déchets dans nos sociétés de consommation. Et ils le font depuis des décennies, à l’image des peintres, sculpteurs et autres plasticiens du mouvement appelé "l’arte povera", ou l’art pauvre. Une sorte d’art de la décroissance.
Le monde de l’art contemporain rencontre celui du système D. Dans la lignée du mouvement Do it Yourself, des dizaines de sites web recensent ces avatars de l’art du recyclage et prodiguent des conseils et autres modes d’emplois. On recycle pour faire des bijoux, des objets décoratifs, des meubles… Le nouvel objet obtenu a ainsi une valeur ajoutée. C’est ce que l’on appelle l'upcycling.
« Mon objectif, c’est de colorer les murs de Montreuil ». C’est en octobre 2013, à l’occasion de la journée portes ouvertes des atelier d’artistes, organisée par sa ville, que Joachim, 20 ans, a l’idée de créer son association, la Graffiterie.
2013 marque une année record pour le braconnage. "En Afrique du Sud, plus d'un millier de Rhinocéros ont été tués (1004 exactement, l'équivalent de 3 animaux par jour)" rappelle le WWF dans un communiqué en date du 17 janvier 2014. En décembre 2013, la France s'est mobilisée pour renforcer les sanctions financières encourues par les trafiquants d’espèces protégées.
Alors que certaines ONG utilisent lutte armée, drones et techniques militaires pour venir à bout de ces méfaits, un artiste a imaginé des animaux-robots de combat pouvant en faciliter le travail.
A Paris, l’association art-exprim propose des cours de pratiques artistiques aux habitants de son quartier. Say Yess a testé pour vous l’atelier d’arts plastiques...
Comme tous les jeudi soirs à 20 heures dans le XVIIIe arrondissement de Paris, le 87 rue Marcadet s’anime. L’atelier de l’association art-exprim (loué à la mairie) accueille des artistes en herbe, habitants du quartier pour la plupart, autour de Yoann Paounoff, plasticien de 29 ans qui dispense un cours de peinture. Le thème ce soir là : « se casser la figure » ! Autrement dit, « se lancer, prendre des risques, ne pas avoir peur de la rature ou de la composition bancale », précise Yoann.
La poubelle des uns fait désormais le bonheur des autres. La Réserve des arts et Art Terre ont ceci en commun qu’elles transforment les déchets en art.
Tout est parti de l’arbre de Noël 2012 qui ornait la place de la mairie. Le président de l’association Esprit de Familles, Malik Benmazouz, ainsi qu’un groupe de Gignacais tous animés d’un même esprit de solidarité, décident de décorer l’arbre de Noël pour le « seul plaisir de faire plaisir aux Gignacais« , explique Saïda de Vita, l’artiste du groupe. Ce n’était qu’un début.
Donner une seconde vie à vos ordures, voilà ce que propose la plasticienne Anne-Dominique Gaté fondatrice de l’association Déchets d’arts, en banlieue parisienne.
L’artiste a tout de suite senti le potentiel de la Seine Saint-Denis : « Il y a tous les pays du monde : beaucoup de migrants courageux, qui pensent et vivent différemment. » En 2006, elle crée l’association et choisit de travailler avec les habitants sur le thème du recyclage des déchets. L’organisme anime des ateliers artistiques, des installations éphémères, des expositions ouvertes au public et des évènements de sensibilisation au recyclage. La matière première de ces créations sont des déchets. L’objectif sur le long terme est la commercialisation de petites séries d’objets et la rémunération des créateurs.
L’association Aux captifs, la libération et ses partenaires organisent depuis treize ans le Festival de la Rue. Pendant près d’une semaine, sur le parvis de Notre-Dame, les parisiens et touristes ont pu découvrir les talents artistiques de ceux qui vivent dans la rue ou de la rue. Humain, artistique, social et éthique, le festival s’est déroulé du 22 au 26 mai dernier, sous la pluie mais dans la joie et la bonne humeur !
L’association COAL, passerelle entre les univers de l’art et de l’écologie depuis 2008, lance le site www.ressource0.com avec le soutien du Ministère de l’Écologie, du Développement durable et de l’Énergie.
À la fois média, centre de ressources, et espace collaboratif, www.ressource0.com est consacré à un nouveau champ situé à la croisée de la culture et de l’écologie.
Son objectif est double : promouvoir et accompagner les artistes contemporains et les structures culturelles qui investissent l’écologie et favoriser les collaborations des acteurs de l’écologie et du développement durable avec les artistes.
Accessibilité, tel est le maître mot du festival solidaire Balonolas, qui aura lieu à Wroclaw en mai 2013. Accessibilité à l’art, la culture, et l’environnement, autant de domaines que souhaite déployer un jeune collectif d’artistes et d’acteurs culturels franco-polonais au cœur d’un quartier défavorisé de la ville.
To get content containing either thought or leadership enter:
To get content containing both thought and leadership enter:
To get content containing the expression thought leadership enter:
You can enter several keywords and you can refine them whenever you want. Our suggestion engine uses more signals but entering a few keywords here will rapidly give you great content to curate.
Your new post is loading...
