Argent et Economie "AutreMent"

Paris, Londres, Francfort et surtout Athènes ont ouvert sur des pertes brutales. Les valeurs bancaires chutent. Sarkozy et Merkel vont reprendre leur conversation.

Les Bourses européennes dégringolaient mardi matin, plombées notamment par le plongeon des valeurs bancaires, les investisseurs étant à nouveau inquiets pour la zone euro après la décision de la Grèce d’organiser un referendum sur le plan d’aide décidé à Bruxelles.

A l’ouverture, la Bourse de Paris affichait un recul de 1,89%, Francfort de 3,37%, Londres de 1,71%. La Bourse de Madrid chutait de son côté de 2% et Milan de 3% (-5% en fin de matinée). Deux heure après le début de la séance, toutes ces places financières accentuaient leur pertes, notamment Paris (-4 %). La Bourse d’Athènes était la plus touchée s’effondrant de 6,24% vers 10 heures...

[Traduction google du Guardian] L'enthousiasme pour la monnaie unique se fane au fur et à mesure que croîent les besoins de  renflouement de la dette grec.

La réponse n'est pas celle que vous auriez prévu il y a quelques années par une jeune personne en Allemagne. C'est le pays où l'enthousiasme européen a été plus facile à trouver et où, depuis la guerre, les intérêts européens ont pris le pas sur les intérêtes nationalistes. Mais, selon M. Schreiber, les Allemands se sentent plus en plus déchiré sur l'Europe.

"Nous avons toujours su au cœur de notre cœur que l'euro ne serait jamais aussi solides que nos deutschemark, mais nous avons renoncé à notre devise bien-aimé, qui a été effectivement au cœur de notre identité, parce que nous croyions dans le projet européen avec tant de ferveur », dit-elle.

Maintenant, on parle, quoique fondé sur des ragots de blog et un désir tabloïd d'un retour du deutschmark. Certains affirment même que la monnaie défunte serait à nouveau en cours d'impression dans des lieux souterrains tenus secrets...