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Bernard Tapie, Iskandar Safa et Étienne Mougeotte, Gérald de Roquemaurel ou Jean-Noël Guérini se bousculent pour la reprise du Groupe Hersant Média. 
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Les journaux du pôle Sud de Groupe Hersant Média (GHM) ne sont pas encore officiellement à vendre, et déjà une demi-douzaine d'investisseurs sont sur les rangs. Parmi les candidats les plus sérieux figurent le milliardaire franco-libanais Iskandar Sefa, conseillé par Etienne Mougeotte. La dette totale de GHM s'élève à 200 millions d'euros, et la valeur des journaux du pôle Sud se situerait entre 60 et 70 millions d'euros.
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Le démantèlement de Groupe Hersant Média (GHM) continue. Après la vente du pôle Champagne-Ardenne-Picardie au groupe Rossel, c'est maintenant au tour du pôle Sud d'être mis sur le marché. La banque BNP Paribas, principal créancier de GHM, est à la manoeuvre et s'apprête à choisir une banque conseil, qui devra trouver des repreneurs pour trois quotidiens: La Provence, à Marseille, Nice-matin et Corse-matin.
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Leur offre, qui prévoit la suppression de 85 emplois sur 357, concerne l'ensemble de la Société normande de presse d'édition et d'impression, filiale du Groupe Hersant Médias.
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Le tribunal se prononce vendredi sur la seule offre de reprise du quotidien régional déposée par le duo formé par Xavier Ellie et Denis Huertas. Le plan de la dernière chance pour le quotidien régional prévoit 85 suppressions de postes sur un total de 365 salariés
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Xavier Ellie et Denis Huertas, deux anciens dirigeants du groupe Hersant, présentent un projet qui prévoit la suppression de 83 emplois sur 352. Le tribunal de commerce du Havre rendra sa décision le 5 juillet.
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Faute d'accord sur le plan de restructuration, voulu comme préalable au rapprochement avec le groupe de presse français par le belge Rossel, ce dernier envisage de se retirer du projet.
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Des salariés non syndiqués ont constitué un collectif pour demander la reprise des négociations. Ils vont organiser un référendum sur le plan proposé par Rossel.
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L'offre commune se porte à hauteur de 50 millions d'euros pour reprendre les activités restantes du groupe de presse régionale lourdement endetté. Plusieurs repreneurs potentiels sont sur les rangs pour reprendre le pôle sud du groupe, qui inclut les quotidiens La Provence, Nice-Matin, Var-Matin et Corse-Matin.
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Étienne Mougeotte et l'industriel franco-libanais Iskandar Safa vont faire une offre de rachat au groupe Hersant Média (GHM) pour l'ensemble Nice-Matin, Var-Matin et Corse-Matin. Aucun investisseur ne s'est manifesté pour reprendre La Provence
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Un protocole entre les banques, la famille Hersant actionnaire et le management devrait entériner le principe d'une cession dans les prochaines semaines, sous l'égide d'un conciliateur. Le groupe a finalement apporté la trésorerie nécessaire aux journaux en difficulté, ce qui a permis d'éviter le redressement judiciaire. En particulier, «L'Union» de Reims et les autres quotidiens du pôle CAP, menacés de cessation de paiements, peuvent tenir jusqu'à la fin de l'année.
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Paris Normandie ne devrait finalement pas disparaître. En redressement judiciaire depuis février, le pôle normand du groupe Hersant Média devrait, sauf coup de théâtre, être repris par Xavier Ellie et Denis Huertas, anciens dirigeants du «Dauphiné libéré» et du «Progrès».
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Présidé par Philippe Hersant, troisième fils du «papivore» Robert Hersant, le groupe de presse quotidienne régionale se posait fin 2007 comme l'un des leaders du secteur. Il est engagé depuis 2008 dans une longue descente aux enfers.
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Le groupe Hersant se retrouve à devoir régler seul la situation de ses quotidiens et à renégocier avec les banques. Dominique Bernard, directeur général de Groupe Hersant Média, a de son côté évoqué un «gâchis industriel».
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Les salariés du pôle CAP (L’Union, l’Ardennais, l’Est Eclair, Libération Champagne, l’Aisne Nouvelle) ont voté pour la reprise des négociations entre Hersant et le groupe Rossel. La reprise de ces journaux mettrait à mal la main mise historique de la CGT sur la presse française.
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Ban. Annoncé depuis six mois, le mariage entre le prospère éditeur belge et le groupe de presse français dépend de la restructuration de certains titres de ce dernier.
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