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Les moins de 35 ans qui vivent sur leur portable adoptent naturellement les applications vocales, WhatsApp en tête. Mais l’efficacité des interactions basées sur la voix humaine devrait assurer leur diffusion auprès de toutes les générations.
Voir aussi
- "Quand Alexa devient un membre de la famille" (Stratégies abonnés)
- Ni auditeurs, ni business model: la grande esbroufe des enceintes connectées (L'ADN, 6 février 2019)
«L'intérêt central du vocal, c'est la rapidité: on communique 200 mots par minute par la voix, 70 sur un clavier et 31 avec un stylo. Les jeunes habitués à vivre sur leur smartphone adoptent facilement cet usage»