Pendant la soirée électorale de France Inter dimanche 10 avril, une partie des auditeurs habitant dans le 20e arrondissement de Paris ont eu droit à une création sonore de quinze à vingt minutes, diffusée en boucle de 20 heures à 22 h 20 environ.
Les services techniques de la radio, «en lien avec les services compétents de l’Arcom» (l’ex-CSA, qui délivre les autorisations d’utilisation des fréquences, propriétés de l’Etat), mais aussi l’opérateur TDF (Télédiffusion de France) ont lancé une investigation afin de déterminer l’origine et la durée du piratage.
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Si l'Arcom ne peut sanctionner les plateformes, la loi européenne sur les services numériques (DSA) "va changer la donne", autorisant la Commission européenne à leur infliger des amendes allant jusqu'à 6% de leur chiffre d'affaires mondial, voire une interdiction d'opérer dans l'UE en cas d'infractions graves répétées.