Il faut souligner que Samsung SDI est l’entreprise qui a fabriqué 70 % des batteries défectueuses qui ont entraîné un premier rappel. Certaines personnes établissent un lien entre la politique de l’entreprise et la récente débâcle qu’a connu l’entreprise entrainant la mort prématurée de son modèle Galaxy Note 7.
Le New York Time ajoute que les employés de Samsung qui devaient effectuer des tests afin de déceler les problèmes n’étaient pas autorisés à communiquer entre eux. Samsung les aurait contraints de garder les communications sur les tests hors-ligne, ce qui sous-entend qu’aucun courriel n’était autorisé. Craignant donc des poursuites et des assignations à comparaître, ces derniers auraient donc fait profil bas, chose qui pour certains aurait contribué à ne pas détecter les problèmes liés à ce modèle avant qu’ils ne soient envoyés sur le marché.