Pour avoir prescrit une substance létale à une personne en bonne santé en violation de la déontologie et de la loi fédérale sur les médicaments, le docteur Pierre Beck est condamné à une peine de 120 jours-amendes avec sursis. L’affaire ira très probablement en appel
Un médecin généraliste vaudois, accusé d’avoir fait une injection létale à une patiente de 86 ans semblant en fin de vie en 2015, a écopé lundi d’une peine de deux ans de prison avec sursis. Le médecin de 44 ans, son avocat et ses proches sont soulagés.
Poursuivi pour meurtre, le généraliste de Pully comparaît dès ce lundi 9h devant la Cour correctionnelle de Vevey (VD). Les charges sont lourdes. La défense les estime «orientées».
Une étude menée en Suisse en décembre 2007 sur 85 parents et amis qui ont été témoins d'un suicide assisté, a révélé une prévalence plus élevée d'état de stress post-traumatique (ESPT) et de deuil compliqué que suite à un décès naturel.
Une commission du Grand Conseil valaisan veut que le droit à l’assistance au suicide soit reconnu pour tous. Même pour les personnes qui se retrouvent dans des homes.
L’an dernier, les accompagnants d’Exit ADMD ont fait passer 286 personnes de l’autre côté du miroir. « Dans les nombreux accompagnements que j’ai faits, je n’ai vu que compassion, sérénité et amour », explique son président.
Pour enrichir la réflexion et alimenter le débat sur la révision des lois de bioéthique, cet article présente le bilan des 3 pays qui ont légalisé l'euthanasie ou le suicide assisté et qui commencent à s'interroger sur leurs dérives.
La Conférence des évêques suisses (CES) a publié un document de 30 pages afin de définir les orientations autour du suicide assisté à destination des prêtres. Ces derniers ont notamment «le devoir de quitter physiquement la chambre du suicidaire au moment de l’acte»
Si le praticien de Pully échappe à la prison ferme grâce au sursis, le tribunal l'a néanmoins reconnu coupable d'homicide intentionnel. Il a décidé de vivre avec.
Le Tribunal de Vevey se penche lundi et mardi sur une difficile affaire de fin de vie. Poursuivi pour avoir précipité le décès d'une patiente en juin 2015, le praticien assume. Et confirme avoir fait l'injection de trop.
Une médecin âgée de 61 ans accusée de meurtre comparaît depuis mercredi devant la justice de Bâle-Campagne. Elle aurait aidé une sexagénaire dépressive et incapable de discernement à se suicider. La défense met en doute la fiabilité de l'expertise psychiatrique.
Alors que le débat sur la fin de vie à été relancé en France par l'affaire Vincent Lambert, le Code pénal suisse autorise l'assistance au suicide lorsqu'il n'y a pas de mobile égoïste.
La période de fin de vie amène réflexions, choix et décisions. Chacun doit pouvoir exprimer ses priorités pour traverser le plus sereinement possible le dernier stade de son existence. Les soins palliatifs ont justement pour rôle d’anticiper, soulager et écouter. Mais cet aspect fondamental des soins ne devrait-il pas être introduit plus tôt dans la prise en charge? La question est ouverte.
La fille d'une patiente de Dignitas était décédée peu après que sa mère avait bu la potion létale. Le médecin appelé par Dignitas a vu son recours rejeté par le Tribunal fédéral.
Geoff Whaley a une maladie du motoneurone et a décidé de mettre fin à ses jours plutôt que de vivre les derniers stades de la maladie.L'aide au suicide est illégale au Royaume-Uni, alors lui et sa femme Ann se sont rendus dans une clinique en Suisse
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