L'autonomie du patient en fin de vie est renforcée par la loi depuis 2016. Dans les faits, les équipes soignantes éprouvent parfois des difficultés à maintenir la discussion avec le patient et ses proches et le risque de dérive pointe à l'horizon.
Souvent critiquée, la surmédicalisation de la fin de vie à l'hôpital conduit à un besoin plus pressant de présence humaine pour les patients comme pour les proches.