Depuis que la loi de bioéthique de 2021 a autorisé l’autoconservation des ovocytes hors raison médicale, la quarantaine de centres agréés, publics ou à but non lucratif, ne peuvent satisfaire une demande qui explose. La solution passe-t-elle par le secteur privé ? La question divise les spécialistes de la procréation médicale.
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