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Jacques Le Bris
June 13, 2011 4:48 PM
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La banque Goldman Sachs a reçu récemment du procureur de New York une citation à comparaître pour son rôle louche durant la crise des subprimes. Une enquête pénale se profilerait-elle, enfin ?
Le Monde.fr - L'impunité des banquiers est choquante.
Depuis le début de cette crise, la finance américaine ressemble en effet à une gigantesque "scène de crimes". Cependant, les fraudes massives ayant déclenché la plus grande crise financière depuis un siècle attendent encore leurs procureurs, leurs policiers et leurs juges. L'explication d'un phénomène macroéconomique par le crime peut sembler dérisoire, anecdotique, voire naïve.
L'opinion publiée - celle des élites ayant accès aux médias - s'empresse comme toujours de diaboliser une perspective aussi dérangeante, en agitant de commodes épouvantails : théorie du complot, boucs émissaires, effet de diversion, populisme.
Tous veulent imposer un aimable récit des causes de la crise au moyen d'explications fatalistes (la théorie des cycles), magiques (une catastrophe) ou lénifiantes (dysfonctionnements des marchés). Pourtant, peu de crises financières dans l'histoire ont comporté une dimension criminelle aussi évidente, une telle masse critique de fraudes.
Ces spécialistes de la négation sont souvent ceux qui, durant les décennies d'euphorie (1980-2000), ont été aveugles à l'anomie grandissante des marchés financiers. Hier incapables d'anticiper la crise, ils s'empressent aujourd'hui d'en dissimuler les tréfonds les plus choquants, ce qui signe des deux côtés de l'Atlantique la faillite quasi généralisée de l'expertise universitaire et médiatique.
Or cet aveuglement ne peut que troubler ceux dotés d'un tant soit peu de mémoire historique. En effet, dans les années 1980, l'Amérique avait déjà subi une première grande crise financière à forte "odeur criminelle" avec la faillite des caisses d'épargne. Faute d'avoir su tirer les véritables leçons de cette première tragédie de la dérégulation dogmatique des banques, l'Amérique se condamnait à une rechute douloureuse.
L'aveuglement généralisé et la dérégulation prédatrice trouvent leur origine dans l'idée que les marchés sont omniscients et autorégulateurs. Que leur "main invisible" est quasi infaillible. Fort de ce préjugé, le lobby financier de Wall Street peut s'attacher - s'acheter ? - des élus complaisants sinon convaincus, de myopes professeurs et parfois avides d'expertises rémunérées, des analystes friendly (sympathisants), et des journalistes piégés par la complexité de la matière et l'appartenance de la plupart des médias à de grands groupes capitalistes.
Dans les faits, cette crise a été le théâtre de fraudes à la fois massives (systématiques) et intégrées aux mécanismes financiers (systémiques). Des fraudes qui n'ont pu éclore que grâce à une dogmatique dérégulation des marchés financiers, pensée puis réalisée depuis les années 1980, aussi bien côté républicain que démocrate. Porteuse d'incitations et d'opportunités criminelles inédites, la dérégulation fut en effet criminogène ; ce qui explique pourquoi ces malversations ont pu spontanément et mécaniquement éclore tout au long de la complexe et opaque chaîne financière américaine, à la façon des essaims ou des meutes.
Ces fraudes ont été déterminantes à trois stades : en amont avec les prêts dits "prédateurs" ou "menteurs", déversés sur les plus vulnérables de la société américaine (pauvres, minorités ethniques, personnes âgées et handicapées). Ces prêts seront même qualifiés par les professionnels de l'industrie financière de "prêts à neutrons", sous-entendu : ces prêts sont des armes détruisant les ménages et laissant intactes les maisons. Autant de cynisme linguistique réduit à néant les tentatives de défense a posteriori sur le thème de l'ignorance ou de l'incompétence.
En aval, les fraudes touchent les produits titrisés vendus par les grandes banques d'investissement de Wall Street. Là, ces banques se livrent à de multiples turpitudes : tromperie sur le niveau de risque, trucage des bilans, manipulation des cours à la baisse, etc.
Au milieu du processus, les trois grandes agences de notation - dont l'une française - agissent en régulateurs de fait, dans un marais de "conflits d'intérêts", un euphémisme ne trompant plus personne aujourd'hui. Ces agences sont juges et parties puisqu'elles notent des produits financiers qu'elles ont elles-mêmes contribué à structurer.
Or cette crise vient "d'en haut", les fraudeurs appartenant en majorité aux élites de la société américaine. Loin d'une classique criminalité organisée, nous sommes ici chez des "cols blancs", intégrés au système et disposant de tous les outils pour faire disparaître jusqu'à l'idée même de leurs forfaits. Cette crise financière largement criminelle met au jour le nouvel équilibre des pouvoirs aux Etats-Unis entre le politique (Washington) et la finance (Wall Street) : après le "complexe militaro-industriel" dénoncé par le président Eisenhower (1961), un "complexe politico-financier" se serait-il imposé ?
Car à ce jour, nul banquier n'a été condamné au pénal, les seules sanctions tenant en des dédommagements négociés au civil. Par ailleurs, le plan de sauvetage fédéral s'est réalisé au seul bénéfice de Wall Street. Que penser au final d'un système récompensant aussi ouvertement la prédation ? Car l'impunité est toujours une puissante incitation à la récidive, que vous soyez voleur de banques ou banquier voleur ("bankster").
Exagérations, dira-t-on ? Les sceptiques devraient lire les deux rapports du Congrès des Etats-Unis publiés début 2011 : FCIC (fcic.law.stanford.edu/report) ; Carl Levin (hsgac.senate.gov/public/_files/Financial _Crisis/FinancialCrisisReport.pdf). Les quelque 1 300 pages ne laissent aucun doute : la fraude est de manière indiscutable le fil conducteur de cette crise.
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Jacques Le Bris
June 8, 2011 1:01 PM
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Dessin animés à vocation pédagogique pour comprendre ce qu'est l'american dream
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Jacques Le Bris
June 8, 2011 3:20 AM
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Plus de 14.000 milliards de dollars de dettes : le Trésor US est dans le rouge cramoisi. Mais avec l'importance du dollar, c'est aussi toute la finance mondiale qui retient son souffle.
OWNI, News, Augmented :
Le 16 mai dernier, la dette publique américaine a atteint son plafond, fixé par le législateur aux États-Unis. N’ayant pu obtenir du Congrès qu’il augmente ce maximum actuellement fixé à 14.294 milliards de dollars, le Trésor US avait auparavant annoncé être en mesure de jouer les prolongations jusqu’au 2 août prochain, dernier délai, en stoppant certaines opérations afin de pouvoir poursuivre ses émissions obligataires sans augmenter le déficit net.
Histoire de permettre aux élus démocrates et républicains, qui s’opposent très durement sur ce sujet, de parvenir à un compromis sur un ensemble de mesures permettant une réduction du déficit. En les adjurant même d’y parvenir, en raison des conséquences incalculables qu’un défaut de l’État fédéral sur sa dette pourrait avoir. à cet effet, une commission « bipartisane » de parlementaires siège sous la présidence de Joe Biden, le vice-président américain. Ce qui était ces dernières années pure routine – une négociation au finish assortie à chaque fois d’un accord de dernière minute – n’est cependant pas garanti d’être renouvelé dans le contexte actuel.
Les républicains à l’offensive (...)
La fin programmée du rêve américain (...)
Des précurseurs aux « indignés » européens (...)
À nouveau, la stagnation économique menace (...)
Le spectre d’une seconde crise (...)
Il n’y a plus d’échappatoire (...)
Public et privé dans le même panier percé (...)
La Federal Reserve a acheté 2.000 milliards de dollars de bons du Trésor et d’obligations hypothécaires, sans compter celles dont Fannie Mae et Freddie Mac sont gorgées. Jusqu’où est-il possible de ne pas aller ? L’agence de notation Moody’s vient de frapper deux des trois coups. Dans un premier temps, elle a menacé d’abaisser la note des trois principales banques américaines – Citigroup, Bank of America et Wells Fargo – car elles risquent selon elle de ne plus bénéficier dans l’avenir d’un même soutien du gouvernement. Dans un second, elle a annoncé « placer la dette de l’État fédéral américain sous surveillance, en vue d’un éventuel abaissement en cas d’absence de progrès sur le relèvement du plafond de la dette dans les semaines à venir ». Les banques centrales, heureusement pour elles, ne sont pas soumises à la notation… Ce qui est en cause aux États-Unis et déborde de ses frontières, c’est l’affaiblissement du dollar et des obligations d’État, car celles-ci sont l’actif refuge par excellence du système financier, le collatéral de dernier ressort. Ne plus pouvoir compter sur celles-ci comme pilier, c’est perdre un point d’appui que rien ne peut remplacer, aboutissant à déséquilibrer encore l’ensemble du système.
La crise de la dette US est américaine par ses causes, mondiale par ses effets.
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Jacques Le Bris
June 2, 2011 2:45 PM
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- Flash actualité - Economie - 02/06/2011 - leParisien.fr :
L'agence de notation Moody's a averti jeudi le Congrès américain que s'il ne parvenait pas rapidement à un accord sur le relèvement du plafond de la dette publique, elle envisagerait d'abaisser la note de la dette des Etats-Unis....
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Jacques Le Bris
May 27, 2011 1:35 PM
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Le régime Libyen a investi, entre autres, dans des fonds de la banque française, aujourd’hui gelés. © Reuters - Europe1.fr - International
International : Le régime Libyen a investi, entre autres, dans des fonds de la banque française, aujourd’hui gelés.
Le régime libyen de Mouammar Kadhafi a investi 1,27 milliard d'euros dans des fonds de la banque française Société Générale, un des placements favoris et désormais gelés aux côtés de la britannique HSBC et de l'américaine Goldman Sachs, a indiqué jeudi l'ONG Global Witness.
Trois fonds gérés par la Société Générale
La Libyan Investment Authority (LIA), le fonds souverain chargé de placer dans le monde la rente pétrolière libyenne, avait investi 1,8 milliard de dollars, soit 1,27 milliard d'euros, dans trois fonds gérés par la Société Générale. A la date du 30 juin 2010, la valeur de ce placement s'était cependant effondrée, n'atteignant plus que 1,05 milliard de dollars, soit 740 millions d'euros, selon un rapport d'audit diffusé par l'organisation non-gouvernementale.
A la même date, les investissements totaux de la LIA s'élevaient à 53 milliards de dollars, dont près de 4 milliards de dollars dans des fonds bancaires ou des fonds spéculatifs gérés par des sociétés privées, dont la Société Générale et JP Morgan (171 millions de dollars). L'ensemble de ces fonds a été gelé, à la suite du soulèvement en Libye.
Les banques se font discrètes
La LIA détenait par ailleurs 292,69 millions de dollars en devises dans la banque britannique HSBC ainsi que 43 millions de dollars à l'américaine Goldman Sachs. Mais la plupart des dépôts de la LIA, soit 19 milliards de dollars, sont détenus dans des instituts arabes, comme l'Arab Banking Corporation du Bahreïn ou la British Arab Commercial Bank. La LIA détient également d'importantes participations dans de nombreuses entreprises.
Interrogée par l'AFP, une porte-parole de la Société Générale a refusé de faire des commentaires "sur un client spécifique". "Société Générale a affaire à de nombreux fonds souverains et se conforme à l'ensemble des règles et règlements en vigueur", a-t-elle ajouté. Goldman Sachs et HSBC ont également refusé tout commentaire.
Une source proche de cette banque a cependant souligné que, après le gel des fonds, le détail des sommes détenues avait été fourni aux autorités britanniques. Global Witness cite cependant la Cour pénale internationale (CPI) qui a souligné que "Kadhafi ne fait pas de distinction entre ses actifs personnels et les ressources de son pays". "De ce fait, il est essentiel que les autorités bancaires enquêtent afin de savoir si les banques en font assez pour s'assurer que ces fonds d'Etat ne sont pas détournés pour le bénéfice personnel de la famille Kadhafi".
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Jacques Le Bris
May 13, 2011 11:11 AM
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| De L'Or :
Drôle d'histoire que celle des lingots d'argent fictifs d'UBS.
La Banque suisse vient d'être attaquée aux Etats-Unis pour avoir facturé des frais de gardes fantaisistes. "Fantaisistes", pour ne pas dire malhonnêtes. Il semble qu'il n'y ait jamais eu de lingots, écrit Marc Mayor pour L'Edito Matières Premières et Devises.
Cette petite histoire doit nous enseigner une chose : les banques ne vous protègent pas en temps de crise.
23 ans de garde fictive De mai 1984 à novembre 2007, UBS a facturé 25 dollars chaque mois à un trust américain pour la garde de lingots d'argent. Le trust vivait dans l'illusion de posséder 1 000 onces d'argent (une trentaine de kilos).
Les lingots en question n'ayant jamais existé, les frais de stockage semblent aujourd'hui relativement chers.
En novembre 2007, UBS a même décidé de doubler ses frais de garde. On ne soupçonne pas le coût de l'imagination dans le secteur bancaire...
Le lingot imaginaire, le nouvel actif à la mode En 23 ans, le trust a versé plus de huit mille dollars à UBS pour conserver dans ses coffres ces lingots d'argent qui n'existaient pas.
23 ans, l'arnaque a mis longtemps à être découverte. D'ailleurs, UBS n'était pas la seule à procéder ainsi.
Morgan Stanley a subi une plainte similaire en 2004. La banque avait été amenée à payer quatre millions de dollars.
Le trust a voulu porter plainte pour récupérer la somme, mais surtout, pour dénoncer l'opacité et la duplicité des pratiques bancaires d'UBS.
Une tactique vieille comme le monde Après éclaircissement, les ficelles sont apparues. La banque aurait utilisé une attrape vieille comme le commerce : la tactique de diversion, ou "bait & switch".
La grande distribution est rompue à ces techniques : vous attirez le chaland avec une promotion spectaculaire, avant de constater avec lui que l'article n'est plus disponible. Vous orientez alors le client vers un article plus cher.
UBS innove dans l'arnaque UBS a repris cette tactique digne des pires marchands de tapis, mais en "l'améliorant".
La banque a poussé le client à lui confier de l'argent, en lui promettant d'investir avec. UBS a seulement apporté un petit détail supplémentaire : le client n'a absolument rien reçu en échange !
Tout passait par la confiance. En facturant des frais de garde, le client était assuré de posséder des lingots. C'est probablement pour gagner en crédibilité que les frais ont été doublés en 2007, d'ailleurs...
Face je gagne, pile tu perds L'affaire a révélé une autre ficelle.
La banque a effectivement acheté des lingots avec l'argent du trust, mais des lingots "non alloués". Ainsi, la banque a disposé de l'argent pour spéculer en Bourse et garder 100% des éventuels gains.
Mais le plus grave, c'est que le client n'aurait jamais pu récupérer son bien en cas de faillite de la banque.
Attendez-vous à faire la queue pour récupérer votre or Ce risque ressemble de plus en plus au risque pris avec les dépôts classiques.
Chaque établissement financier ne garde que 3 à 4% des dépôts de ses clients en argent liquide. Quand le système vacille, les clients se ruent sur les guichets. Seuls les premiers réussissent à sauver quelques billes.
La méthode est en passe de se reproduire avec les métaux précieux.
Attendez-vous donc à faire la queue pour récupérer vos lingots au prochain coup de Trafalgar boursier.
Ce que nous apprennent les "banksters" de Wall Street L'ironie de cette tendance est que les investissements dans les métaux précieux sont supposés justement nous protéger des risques sur les actifs "papier".
C'est bien là que le bât blesse.
Les banques sont devenues des menaces même pour les actifs qui sont censés nous protéger.
L'ultime recours : sortir du système Mon conseil sera simple : si vous souhaitez posséder des lingots de métaux précieux, il est impératif de les sortir au plus vite du système bancaire.
Quand les gouvernements décideront de confisquer les lingots et que les banques seront sans le sou, vous aurez encore le choix d'agir à votre guise.
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Jacques Le Bris
May 12, 2011 6:01 AM
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JP Morgan 1er trimestre 2011, ZERO jour en perte, des revenus moyens JOURNALIER de 112 millions de dollar.
Objectif Eco, anticiper pour s'enrichir Samuel Rondot :
Je dois vous avouer que nous petites gens de la finance qui ne travaillons pas pour les TBTF, partout dans le monde, personne n'a compris comment aucun politique dans aucun pays n'est parvenu à mieux s'en sortir lors de cette négociation pour les sauver.
C'était pas compliqué quand même : « vous voulez de l'aide, pas de problème mais si je vous prête des sous, je veux être associé au contrôle de votre entreprise ». Ça s'écrit en 2 lignes et se dit en moins.
A ce moment là, on nous a tous expliqué que ce n'était pas le moment, il fallait aller vite, la priorité c'était de sauver le système, on aurait tout le temps d'aborder cet aspect quand celui ci serait sauvé, la finance saura s'en souvenir.
Mais bien sur, elle saura s'en souvenir...
C'est un peu comme si a une table de final de poker je disais à mon adversaire, montre moi tes cartes pour voir lequel de nous va gagner et ensuite je te dis si je fais tapis ou pas.
Alors aujourd'hui ca nous donne quoi ?
Et bien, non seulement les TBTF gère tous les sous et ont accès à tous les milliards de la planète mais en plus comme il n'y a que eux, ils facturent à des tarifs de malade de simple prestation, ce qui nous donne une activité qui est censé être risqué qui n'a plus aucun risque et qui rapporte des milliards....
Elle est pas belle la vie de TBTF !
Alors oui j'en ai marre que les media sans discernement parce qu'il n'ose pas nommer les 20% de brebis galeuses tapent sur toute la finance.
Mais faisant partie de cette minorité (en responsabilité) mais de la majorité silencieuse, j'avais envie de profiter de ces publications HONTEUSES pour dire que moi aussi j'en ai raz le bol de ces
mega giga banque à qui ont a donné tous les pouvoirs sans être capable ni de les contrôler, ni de les encadrer car elles sont aujourd'hui Too Big Too Fail.
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Jacques Le Bris
April 27, 2011 9:22 AM
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Rénovez Maintenant 67, journal d'un Cimbre :
Après sa banqueroute d’État de l'automne 2008, le "Tigre de l'Atlantique Nord" met en avant qu'il a perdu à quatre niveaux.
- Face à la Commission de Bruxelles - Face aux créanciers principaux de sa banque online Icesave, la Grande-Bretagne et les Pays-Bas - Face au modèle économique libertarien du Consensus de Bruxelles qui met en levier le Consensus de Washington - Face au peuple islandais qui avait cru asseoir son modèle de société en s'enrichissant sur le dos du reste de la planète en vendant des produits financiers inventés innovants.
Une telle prise de conscience est entrain d'aboutir en Islande suite à deux référendums par lesquels le peuple islandais a exprimé qu'il ne veut pas payer pour les "banksters" qu'il a pourtant soutenus en mettant au pouvoir une classe politique qui les a consolidés. Une telle prise de conscience, de la "victime" qui se sentira bientôt coupable, se fera bientôt dans les autres pays en banqueroute d’État comme l'Irlande, le Portugal, l'Espagne, la Grèce, le Royaume-Uni, mais aussi les USA dont le Congrès va voter son plus grand plan d'austérité de toute son histoire avec une diminution de 6000 milliards de $ en 10 ans.
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Jacques Le Bris
April 18, 2011 4:13 PM
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| The Onion - America's Finest News Source :
PARIS—At a press conference Tuesday, the World Heritage Committee officially recognized the Gap Between Rich and Poor as the "Eighth Wonder of the World," describing the global wealth divide as the "most colossal and enduring of mankind's creations.
Its official recognition as the Eighth Wonder of the World marks the culmination of a dramatic turnaround from just 50 years ago, when popular movements called for the gap's closure. However, due to a small group of dedicated politicians and industry leaders, vigorous preservation efforts were begun around 1980 to restore—and greatly expand—the age-old structure.
"It's breathtaking," said Goldman Sachs CEO Lloyd Blankfein, a longtime champion and benefactor of the rift's conservation. "After all we've been through in recent years, there's no greater privilege than watching it grow bigger and bigger each day. There may be a few naysayers who worry that if it gets any wider, the whole thing will collapse upon itself and take millions of people down with it, but I for one am willing to take that chance."
Added Blankfein, "Besides, something tells me I'd probably make it out okay."
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Jacques Le Bris
April 18, 2011 10:14 AM
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Quel beau combat que celui de Pierre Bellanger de Skyrock contre Axa de Skyrock aussi . Quelle bataille symptomatique de la république bananière sarkozyste que de voir un mégalo contre des banksters, au moment même où les rats quittent le bateau de Sarko, rats souvent d'une ou l'autre de ces catégories ;-)
Bellanger a fondé Skyrock et Axa a acheté normalement et avec l'accord de Bellanger 70%. Axa veut prendre maintenant les décisions et Bellanger ne veut pas, bien qu' il soit minoritaire.
Bellanger reste donc dans sa radio et menace de partout. Il paraît même qu' il raconte à l'entourage de Sarkozy qu' il peut faire descendre la jeunesse dans la rue ! Vous imaginez les gens à problèmes qui écoutent Skyrock capables d'aller dans la rue alors qu' ils le font pas pour la réforme des retraites ou pour protester contre la dégradation de l' école ?
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Jacques Le Bris
April 12, 2011 6:28 AM
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Jamie Dimon, Chief Executive Officer of the second-largest U.S. bank by assets, saw his total compensation rise to $20.8 million in 2010, according to a regulatory filing by JPMorgan Chase.
He received only $1.3 million in total compensation in 2009, according to the filing.
Dimon's salary remained at $1 million. In 2010, however, he received a $5 million bonus, nearly $8 million in stock awards and $6.2 million in option awards.
Dimon's 2010 total compensation is below his 2008 total of $35.8 million.
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Jacques Le Bris
April 11, 2011 2:24 PM
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- AgoraVox :
Le Sénateur américain Sanders a dénoncé dans un brillant discours la néo-féodalité : 4/5 des nouvelles richesses créées en 25 ans aux USA ont été accaparées par 1/100 les plus riches, loin de l'idéal de démocratie libérale avancée . Le parti Alternative Libérale souhaite convertir la France au 'libéralisme' .
Une start up familiale (...)
Association à un parti du système
Alternative Libérale a choisi l'association à l'ancien Nouveau Centre d'une majorité présidentielle du président des riches à la politique inverse de l'idéal d'une démocratie libérale avancée aux faibles inégalités sociales .
L'équivalent d'Alternative Libérale au Royaume-Uni, les Lib Dem, après la critique du duopole politique travaillistes-conservateurs, se sont alliés aux conservateurs, pour le plus grand bonheur des banksters, en fait de réformateur institutionnel le traître Clegg fils de bankster est un monarchiste !
Fiscalité néo-féodale (...)
Obsession américaine (...)
Démagogie toute ! (...)
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Jacques Le Bris
April 10, 2011 3:14 AM
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La dette des gouvernements, des entreprises et des ménages a atteint des proportions astronomiques et enfle de plus en plus démesurément de jour en jour.
La dette des gouvernements, des entreprises et des ménages a atteint des proportions astronomiques et enfle de plus en plus démesurément de jour en jour.
D'ou vient tout cet argent ?
Comment peut-il y avoir TANT d'argent à preter ?
La réponse est... qu'il n'y en a pas.
De nos jours, L'ARGENT S'EST FAIT DETTE.
S'il n'y avait PAS DE DETTE Il n'y aurait PAS D'ARGENT
Si tout ceci vous laisse perplexe, rassurez-vous, vous n'etes pas le seul ou la seule. Très peu de gens comprennent ce système, meme si nous sommes tous touchés.
Ce long métrage d'animation, dynamique et divertissant, de l'artiste et vidéographe Paul Grignon, explique les effets magiques mais pervers du SYSTEME ACTUEL D'ARGENT-DETTE dans des termes compréhensibles pour tous Nous vous présentons le chef d'oeuvre de Paul Grignon pour la première fois disponible avec une bande son francaise et textes en francais !
De plus en plus de gens prennent conscience que notre système monétaire est contrevenant et que l'Europe a succombé aux banksters en s'interdisant de créer sa propre monnaie exempt d'intérêts.
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June 9, 2011 2:57 PM
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(NEWSER) – Securities regulators are looking into the possibility that Goldman Sachs may have broken anti-bribery laws by offering to pay Libya’s Sovereign Wealth Fund $50 million in penance for losing almost all of the money it invested with them. The deal was never actually completed, but just offering it may have violated the Foreign Corrupt Practices Act, which bans bribes to foreign governments, state-owned companies, and yes, sovereign wealth funds and their employees, the Wall Street Journal reports.
Under the proposed deal, the $50 million would have been passed to a company run by the son-in-law of the head of Libya’s state-owned oil company. In documents related to the deal, Goldman specifically said it was contingent on compliance with the Foreign Corrupt Practices Act, but one lawyer tells the Journal that such language isn’t sufficient to avoid anti-bribery prosecution. A Goldman spokesman said the company was “confident that nothing we did or proposed” broke any rules.
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June 8, 2011 12:59 PM
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Dessin animés à vocation pédagogique pour comprendre ce qu'est l'american dream
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June 2, 2011 2:46 PM
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05/09/2010 - France Inter - Emission "Journal 3d" de Stéphane Paoli.
Dans cet extrait, Marc Roche nous parle de son livre intitulé "La banque - Comment Goldman Sachs dirige le monde".
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June 2, 2011 2:21 PM
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Goldman Sachs's booth on the floor of the New York Stock Exchange. Photograph: Brendan Mcdermid/Reuters
| Business | guardian.co.uk
The Wall Street bank has already appeared before the regulators several times to answer questions about its conduct during the credit crunch.
Goldman Sachs has apparently been served with a subpoena over its behaviour before and during the financial crisis. The move comes 14 months after it was rocked by fraud charges also relating to the credit crunch.
Goldman's critics claim that the company unfairly profited from the sub-prime housing crash by selling toxic mortgage loans to unsuspecting clients and positioning itself to profit from a fall in prices. Goldman, though, has consistently denied acting improperly. Here's a synopsis of events since those first charges were received.
16 April 2010: The Securities and Exchange Commission accuses Goldman of defrauding investors of more than $1bn by wilfully mis-marketing toxic sub-prime mortgage-related securities. The charge centres on a financial vehicle called Abacus that Goldman created and sold. The SEC claimed that Goldman had deliberately placed poor-quality mortgage loans into Abacus with the assistance of US hedge fund Paulson & Co. Paulson, it transpired, had taken a short position, betting that Abacus would lose value.
20 April 2010: Fabrice Tourre, the Goldman Sachs banker who set Abacus up, is stripped of his licence to operate in the City of London. Tourre had already been placed on permanent leave by Goldman Sachs after emails he sent suggested that he knew that his "complex, highly leveraged, exotic trades" could soon collapse.
27 April 2010: Appearing before the US Senate permanent subcommittee on investigations (PSI), Tourre denies misleading his clients. The lengthy hearing also hears details of other derivative financial products that turned sour. One, a $1bn collateralised debt obligation package called Timberwolf, was even branded as a "shitty deal" in an internal email sent by Thomas Montag, then Goldman's head of sales and trading for the Americas.
30 April 2010: In a separate twist, it emerges that US federal prosecutors have begun a criminal investigation into Goldman over allegations that investors who bought complex mortgage-backed securities from the bank were defrauded. That probe reportedly relates to different issues than the SEC's, which had concentrated on Abacus.
16 July 2010: Goldman agrees to pay a $550m fine to settle the SEC's charges over Abacus. The move is seen as a humiliating blow for the firm, as this is the biggest fine ever imposed by the SEC.
9 September 2010: The UK's Financial Services Authority fines Goldman £17.5m for not alerting the British authorities about the original SEC probe.
14 April 2011: The Senate PSI releases its report into Goldman Sachs, and it does not make pretty reading for the company. The committee accuses Goldman of deliberately selling mortgage-linked derivatives at inflated prices after it realised that the housing market was about to crash. The report also alleges that Goldman had attempted to cause as much pain as possible to investors caught on the other side of its trades to maximise its own profits.
Carl Levin, who heads the PSI, also argues that regulators could still take action against Goldman. In response, the bank says that it disagrees with many of the report's conclusions.
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Jacques Le Bris
May 19, 2011 9:18 AM
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Surnommé le "Big Dick"* ou le Gorille
Le président de Lehman Brothers, Dick Fuld, avec son profil de carnassier, la caricature du capitaliste psychopathe qui voit le péril en la demeure et menace : « On va serrer très fort ! Comprenez-moi bien [c’est une vidéo interne, il s’adresse à ses collaborateurs, qui ricanent en choeur], on va coincer tous ceux qui ne peuvent plus rembourser, et on va serrer très fort ! Ce n’est pas que je veux leur faire du mal… Non, je ne suis pas comme ça… je suis quelqu’un de doux et d’aimable… Non, ce que je veux, c’est les attraper, leur arracher le cœur et le bouffer avant qu’ils crèvent ! » Ça fait froid dans le dos. Et on pense à ces milliers, millions même, d’Américains jetés de leurs logements. Sans parler des conséquences subies dans le monde entier.
* Dédé la grosse bitte
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May 13, 2011 10:57 AM
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Sylvain bonjour, Nous n’en avons pas terminé avec DSK. Pour ma part, je voterai Mélenchon ou Chevènement mais je détesterais me retrouver avec le "bankster"au deuxième tour. Je ne voterai en aucun cas pour lui. Qui est DSK ? Un avocat d’affaires. Un spécimen que les militants de PS côtoient rarement. Ces individus gagnent beaucoup d’argent à faire gagner beaucoup, beaucoup d’argent aux riches. Ils leurs vendent leurs compétences juridiques pour leur éviter de payer les charges à la collectivité que l’on nomme les impôts, les aident à monter des sociétés bidon, voire à des pratiques bien plus frauduleuses ! Cette race, jadis inconnue en politique, a opéré une véritable OPA sur nos existences avec l’aide de ses employeurs, les grands groupes financiers. Sarkozy, Strauss-Kahn et Coppé sont des "avocats d’affaires". A l’échelon mondial on a trouvé un organisme correspondant aux activités de l’avocat d’affaires : le FMI. Lorsque les banquiers se sont bien goinfrés, que la corruption a pourri les dépenses d’un état, le FMI se pointe et fait payer le facture aux plus humbles : petits fonctionnaires, retraités, et baisse drastiquement les crédits alloués aux hopitaux, à l’éducation etc. Cela ne demande pas de compétences particulières, ni DSK, ni Sarkozy, ni Coppé ne sont considérés comme de brillants économistes (autrement que dans les médias aux ordres) DSK avait fait preuve de ses aptitudes par les privatisations entreprises en France (France-Télécoms, 50 suicides) et par une rapacité peu commune qui a attiré l’attention des "décideurs". L’"Express", aujourd’hui, gronde gentiment celui que "tout le peuple de gauche attend". Il ne faut plus faire de fautes de com’ (de la com’ ,rien que de la com’) ! Peut-être passer moins de temps dans son palais de Marrakech ! Suggérons donc, lui qui est si apprécié à l’international, de profiter de la Porsche que Lagardère met à sa disposition pour passer ses vacances en Grèce avec madame. Il sera chaleureusement accueilli ! L’ Express", toutefois, nous nous "informe". La richesse de ce malheureux DSK vient de sa femme. Peut-on lui en vouloir ? Bien sûr que non chère presse aux ordres. Mais, lorsqu’on est si riche, on n’est pas forcé de faire preuve d’une rapacité sans nom. On peut ne pas demander soixante briques à un mutuelle de soins étudiante pour des "conseils". Et se passer d’extorquer de l’argent en profitant de sa position à chaque occasion : "Vincent Giret et Véronique Le Billon, journalistes à L’Expansion ont publié en 2000 aux éditions du Seuil un livre intitulé Les vies cachées de DSK, relatif à Dominique Strauss-Kahn (DSK). Le chapitre intitulé « Ministre privé » nous montre de façon préoccupante la collusion entre un ancien ministre de l’économie et le lobby nucléaire. Aucun des faits cités n’a fait l’objet d’un démenti de l’intéressé. La Cour des comptes a même sévèrement critiqué DSK pour les honoraires de consultant qu’il a perçus d’EDF entre 1994 et 1996 (1,5 million de francs). La Cour a souligné « l’insuffisance des termes du contrat d’origine, qui ne donne aucune indication sur le contenu de la prestation assurée » dans : http://seaus.free.fr/spip.php?article79Militants socialistes, on se moque de vous ! Il va falloir que des têtes roulent dans le sciure. Passe encore pour les petits courtisans (Valls, Moscovici), mais les autres ! La vieillesse de Rocard ressemble aux dernières heures du Titanic. Fabius, Lang, n’oubliez pas que le maître mot de l’année qui vient sera, pour tout l’hémisphère nord : radioactivité . Nous n’oublierons pas, nous, les activités de votre favori !
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Jacques Le Bris
April 28, 2011 8:00 AM
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Nicolas Sarkozy soutient l'Italien Mario Draghi pour le poste de président de la Banque Centrale Européenne, en remplacement de Jean-Claude Trichet.
Marianne2
Le beau Mario, qui a été directeur du Trésor, et enseignât à la Banque mondiale, a néanmoins une sale tâche sur son CV. De 2001 à 2005 il fut vice-président en Europe de la banque d’affaires Goldman Sachs, qui aidé en 2001 et 2002, la Grèce à dissimuler plusieurs dizaines de milliards d’euros d’emprunts d’Etat. Mario Draghi assure qu’il n’était pas au courant. Une réponse qui laisse perplexe : soit il ment, et c’est grave pour la BCE. Soit il est incompétent, et c’est dangereux pour les finances européennes. Il peut tout aussi bien être menteur et incompétent ! On attend avec impatience ses explications devant le Parlement européen, où siègent les Grecs assez remontés contre la banque d’affaires américaine, puisque ces opérations menées en complicité avec le parti de droite au pouvoir à l'époque a conduit la Grèce tout droit dans la nasse actuelle et son cortège de chômage et de privations. Mais l’avis du Parlement Européen n’est hélas que consultatif…
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Jacques Le Bris
April 18, 2011 5:28 PM
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swissInfo :
Le billet vert est devenu la plus grande bulle spéculative de l’histoire et va s'effondrer prochainement. Quant aux attaques à l’encontre de l’euro, elles ne sont qu’un écran de fumée pour masquer la faillite de l’économie américaine, soutient Myret Zaki dans son dernier livre.
«Un krach du billet vert se prépare. Il est inévitable. Le principal risque planétaire actuel, c’est une crise de la dette souveraine américaine. La plus grande économie du monde n’est plus qu’une vaste illusion. Pour produire 14'000 milliards de revenu national (PIB), les Etats-Unis ont généré plus de 50'000 milliards de dette totale, qui leur coûte 4000 milliards d’intérêts par an». (...)
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Jacques Le Bris
April 18, 2011 4:09 PM
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Selon Jean-Marie Kuhn, un actionnaire minoritaire de GDF, Jean-François Copé était « dans une situation de conflit d’interêt » et de « trafic d’influence ».
– L’EXPRESS | Club de l'Europe
Une plainte qui visait initialement Gérard Longuet a été élargie au patron de l’UMP Jean-François Copé.
Copé aurait « suivi de très près les préparatifs à la fusion GDF-Suez » alors qu’il était ministre du Budget. Cette plainte avec constitution de partie civile a été déposée le 31 mars par un actionnaire minoritaire de GDF-Suez, Jean-Marie Kuhn, après le classement par le parquet de Paris d’une première plainte visant uniquement Gérard Longuet.
Redevenu député, puis inscrit comme avocat au cabinet Gide, un grand cabinet d’affaires parisien, en 2007, Jean-François Copé a, selon Jean-Marie Kuhn, « été dans une situation de conflit d’interêt » et de « trafic d’influence » dans le dossier GDF-Suez.
« Des accusations fantaisistes » selon Copé
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Jacques Le Bris
April 12, 2011 7:16 AM
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Unlike Americans, the people of Iceland were allowed to vote on bailing out the banksters. They voted overwhelmingly against the proposal on Saturday despite the intimidation tactics of the globalist loan sharking operation, the International Monetary Fund.
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Jacques Le Bris
April 12, 2011 6:22 AM
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Et paf, seconde torgnole ! Près de 60% de « non » sans condition ! Après une première claque retentissante en mars 2010, nos volcaniques amis islandais ont réitéré par référendum, le samedi 9 avril, à la finance internationale et à leur gouvernement, leur refus de payer les pots cassés de la Grande Crise. Ou plus précisément ceux de la brochette d'imprudents clients anglais et néerlandais lors de la faillite de la banque Icesave en 2008. La population islandaise persiste et signe : pas question d'éponger les pertes d'une banque privée avec des fonds publics.
Tête des dignitaires de la haute finance interlope devant l'affront fait à leur toute-puissance, tête de leurs zélés défenseurs (Fonds monétaire international), tête du gouvernement islandais de centre-gauche, sorte de PS local, qui n'avait pas ménagé ses efforts en faveur du « oui », avec le soutien empressé des élites et des médias du coin (un classique ! ).
Les cris d'orfraies des (mauvais) perdants :
Il faut dire qu'ils s'étaient donné du mal, nos confits déconfits, pour essayer de sauver leurs joueurs de billes en péril. Ils avaient même sorti les sondages de circonstance annonçant la victoire à quelque 61,3% du « oui » au plan concocté par Johanna Sigurdardóttir.
« Vos créances pourries, vous vous les gardez ! »
Les Portugais, Irlandais, Grecs devraient s'inspirer des Islandais De fait, il y a fort à parier qu'ils y seront tôt ou tard contraints. Car il est de plus en plus évident que le monde court tout droit à UN INEVITABLE BLOCAGE SYSTEMIQUE !
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Jacques Le Bris
April 10, 2011 7:28 AM
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Parce qu'après tout on en parle, mais on ne connaît pas forcément bien certains fondamentaux... Eh bien, tel le rythme régulier (informatif) du battement d’aile d’un papillon, il semblerait que certaines activités aient des « effets de bord », et tout se répercute planétairement. Mais encore faut-il un papillon ? Comme je sais que vu le succès de certains show tv, (s'il y a offre, il y a demande). Alors vous devez tous avoir au fond de vous cette petite tendance à la « peopleisation ». Aussi, voici une nouvelle page qui devrait capter votre attention quelques secondes, et si je suis optimiste quelques minutes... Avec les vidéos instructives qui l’accompagnent… Je vous soumets en préambule une magistrale pensée décomplexée des mémoires de David Rockefeller, fondateur du CFR et co-fondateur des Bilderberg, qui en 2006 jetait en pâture à la face du monde, p. 405, cette citation résumant parfaitement la situation, et qui devrait un tant soit peut vous aiguiller :
« Quelques-un croient que nous (la famille Rockeffeller) faisons partie d'une cabale secrète travaillant contre les meilleurs intérêts des États-Unis, caractérisant ma famille et moi en tant qu'internationaliste et conspirant avec d'autres autour de la terre pour construire une politique globale ainsi qu'une structure économique plus intégrée - un seul monde si vous voulez...
... Si cela est l'accusation, je suis coupable et fier de l'être. » …/… Comme d'habitude, à ce niveau-là de propagande..., vraiment pas la peine d’inventer quoi que se soit…
La réalité se suffit à elle-même...
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