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Institut sur la gouvernance (IGOPP)
April 16, 2024 11:12 AM
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Un vote non contraignant mais scruté de près : les actionnaires de Stellantis, en assemblée générale ce mardi, vont donner leur avis sur la rémunération de Carlos Tavares, directeur général du géant automobile, qui suscite une nouvelle fois la controverse. Quelque 36,5 millions d’euros, c’est la somme totale que pourrait toucher le patron du quatrième groupe automobile mondial, selon le rapport financier annuel de l’entreprise. Cette hausse est notamment liée au versement d’une prime de dix millions d’euros pour la "transformation" du groupe créé en 2021 avec la fusion de PSA et de Fiat-Chrysler. La rémunération de Carlos Tavares, 65 ans, intègre des pensions de retraite qui seront versées sur le long terme, mais aussi des bonus attribués seulement s’il est au rendez-vous d’objectifs fixés pour 2025, dernière année de son mandat actuel à la tête du constructeur.
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Institut sur la gouvernance (IGOPP)
September 3, 2021 9:17 AM
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Chairman Gary Gensler wants agency to recommend disclosure rules amid a boom in environmentally and socially responsible investing
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Institut sur la gouvernance (IGOPP)
September 2, 2021 9:50 AM
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Le 26 mai 2021, le hedge fund activiste Engine n°1, tout juste créé à la fin 2020 à San Francisco par une dizaine de spécialistes de la finance, a gagné la bataille qu’il conduisait pour réformer le groupe pétrolier américain Exxon. Il a obtenu, lors de l’assemblée générale des actionnaires, la nomination de trois administrateurs avec pour objectif de pousser le géant de l’énergie à réduire son empreinte carbone. Cet événement, passé relativement inaperçu, pourrait cependant constituer le signal de changements majeurs dans le monde de la finance.
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Institut sur la gouvernance (IGOPP)
August 11, 2021 11:11 AM
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ÉCONOMIE - Les dirigeants des grandes entreprises, qui avaient beaucoup réduit leur rémunération en 2020, pourraient percevoir 5,4 millions d’euros en moyenne cette année, soit 1,6 million de plus qu’en pleine crise sanitaire, et accélérer sur les critères liés au climat, selon un rapport. [...] “Aujourd’hui la performance ne saurait être comprise comme une performance exclusivement financière”. [...] Cette année, “ils sont très nombreux à franchir ce cap, ou, s’ils l’avaient déjà franchi entretemps, accroissent la part du climat dans leur variable”, selon l’étude. Ainsi, “67% des dirigeants du Cac 40 ont un bonus dépendant de leur stratégie climat”, ce qui signifie que cette rémunération variable relative à l’année en cours est indexée sur un critère spécifiquement climatique. Autre nouveauté dans les politiques de rémunération 2021: “la généralisation des primes exceptionnelles plafonnées, à la discrétion du Conseil, pour gérer des situations imprévues comme celles de 2020”, souligne le cabinet Avanty.
Avec l’accélération des initiatives environnementales, sociales et de gouvernance (ESG), les sociétés canadiennes recherchent de plus en plus d’outils de rémunération différée qui alignent les priorités des dirigeants sur les objectifs ESG. Des politiques fiscales bien conçues sur les ententes de rémunération des dirigeants peuvent renforcer le changement durable à une période où les initiatives ESG passent de la tendance à la mouvance. Dans le présent article, nous présentons les grandes lignes de cet enjeu crucial et y ajoutons nos voix. Nous pensons que l’adoption des objectifs ESG par le secteur privé déterminera le rythme auquel ces objectifs seront atteints. Dans un rapport publié en 2017 [PDF] par Ceres, un organisme à but non lucratif, il est indiqué qu’un processus formel de gestion des risques liés à la durabilité permettrait de « [traduction] tirer parti des occasions d’affaires créées par la lutte aux problèmes de durabilité ». [...] Bien que des promesses aient été faites pour stimuler le financement durable d’ici 2025 et atteindre la carboneutralité d’ici 2050, des obstacles subsistent pour que les actionnaires et les dirigeants acceptent pleinement l’intégration de cibles ESG dans les paramètres de rémunération. Face à cette hésitation, les gouvernements ont la possibilité d’intervenir et d’encourager la participation ESG, notamment par des initiatives de politique fiscale.
Pour comprendre comment et pourquoi les Conseils d’administration tiennent compte des mesures ESG dans la rémunération des dirigeants et dans les stratégies de capital humain, nous avons lancé une enquête fin 2020 sur le thème de l’alignement des mesures ESG sur les rémunérations des dirigeants et la gouvernance du capital humain
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Institut sur la gouvernance (IGOPP)
April 20, 2021 10:25 AM
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Depuis quelques années, la pression des actionnaires pour améliorer la politique climatique des grands groupes s’intensifie. Cet activisme, minoritaire et mal perçu par les directions, est-il un vœu pieux ou un réel levier écologique ?
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Institut sur la gouvernance (IGOPP)
November 27, 2020 9:47 AM
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Dans une période où la plupart des sociétés cotées doivent tenir leur assemblée générale sans que les actionnaires puissent être physiquement présents, la protection de l’exercice effectif des droits des actionnaires, notamment minoritaires, est devenue un enjeu majeur.
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Institut sur la gouvernance (IGOPP)
September 8, 2020 10:29 AM
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L’apport de l’analyse extra-financière à l’analyse financière dans le diagnostic d’une entreprise est de plus en plus partagé et reconnu par la communauté financière. Mais si dans un monde en pleine transformation, cet apport est devenu légitime pour mieux comprendre la situation actuelle et mieux anticiper l’avenir, des obstacles majeurs subsistent avant que l’intégration ne devienne la règle.
Richemont a annoncé vendredi le départ du Comité de direction « avec effet immédiat » de Sophie Guieysse, sa directrice des ressources humaines. La décision intervient alors que la politique de rémunération des dirigeants suscite la colère des salariés du géant suisse du luxe. L'état-major du groupe Richemont est sous tension. Vendredi, le propriétaire de Cartier et de Piaget a annoncé le départ du comité de direction « avec effet immédiat » de sa directrice des ressources humaines, Sophie Guieysse. Cette dernière conserve son poste aux ressources humaines. De source proche du dossier, on indique que c'est la mauvaise gestion de la communication sur la rémunération des dirigeants du groupe qui serait à l'origine de cette décision. La découverte, en pleine période de pandémie, d'une hausse des gains des membres du Comité directeur dans le rapport annuel 2019-2020 du groupe a suscité de nombreuses réactions en Suisse. Les dirigeants ont tous eu une augmentation sur l'exercice, avec un quasi-doublement pour le patron de Van Cleef & Arpel. L'indemnisation des administrateurs est, elle, restée stable. Au global, la hausse atteint 36 %, soit 41 millions d'euros.
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Institut sur la gouvernance (IGOPP)
April 22, 2020 11:03 AM
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La crise économique engendrée par les mesures de confinement de la population conduit à des comportements auxquels les grands patrons nous ont peu habitués. Les annonces se succèdent ces dernières semaines sur les baisses de rémunération des dirigeants des groupes cotés à la Bourse de Paris. Elles font suite à l'invitation de l'Afep, une association rassemblant les 110 plus grandes entreprises privées françaises, à se montrer solidaire des salariés dans la période actuelle, alors que beaucoup d'entre eux subissent le chômage partiel — c'est le cas de 9,6 millions de salariés selon le dernier décompte annoncé le 20 avril par la ministre du Travail, Muriel Pénicaud.
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Institut sur la gouvernance (IGOPP)
March 23, 2020 10:10 AM
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N’attendez surtout pas des responsables politiques, des régulateurs ou des banques centrales qu’ils vous disent la vérité. Ils se cachent comme toujours derrière une définition archaïque et mécaniciste de la récession qui fait qu’ils ne l’admettent qu’après un an.
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Institut sur la gouvernance (IGOPP)
February 6, 2020 10:13 AM
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Le secteur financier n’est plus seulement au service des besoins économiques concrets des multinationales. Il les aide et les encourage à s’étendre et à devenir toujours plus grosses, à accorder une place de plus en plus importante à la finance en leur sein, privilégiant la rémunération des actionnaires et des autres acteurs des marchés
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Recently, the word “greedflation” has caught on to explain the out-of-control prices U.S. consumers are facing. It argues the rising cost of gas and groceries isn’t owing entirely to trade disruptions or expense hikes along the supply chain—corporate greed is as much to blame, and companies are using the veneer of inflation to justify upping prices, then awarding much of the extra profit to executives. A new report released today by the AFL-CIO gives that argument some new ammo. Its annual Executive Paywatch Report, a comprehensive database tracking CEO-to-worker pay ratios for over 20 years, reveals that S&P 500 CEOs averaged $18.3 million in compensation for 2021—324 times the median worker’s pay, and higher than both 2020’s pay ratio (299-to-1) and 2019’s ratio (264-to-1).
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Institut sur la gouvernance (IGOPP)
September 3, 2021 9:12 AM
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Lors des assemblées générales, les votes négatifs concernant la rémunération des dirigeants ont bondi de 18% par rapport à l’an dernier, selon le cabinet Georgeson.
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Institut sur la gouvernance (IGOPP)
August 23, 2021 8:40 AM
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Après avoir connu une baisse, les salaires des dirigeants des entreprises du CAC 40 devraient rebondir en 2021. Cette année, une part considérable de leur variable va dépendre d’objectifs liés au climat. Peu de suspense : les critères sont fixés sans contrainte… par les entreprises elles-mêmes !
L’engagement des actionnaires à l’égard des enjeux liés au climat ne cesse de croître un peu partout dans le monde, y compris au Canada, et ces enjeux demeurent un domaine d’intérêt prioritaire pour les sociétés ouvertes. L’un des outils ayant gagné en popularité est le vote consultatif sur les enjeux climatiques (Say on Climate), dans le cadre duquel les actionnaires votent sur les politiques de leur société en matière climatique. L’initiative a été lancée par Christopher Hohn, un gestionnaire de fonds britannique, de concert avec sa société d’investissement The Children’s Investment Fund Management (« TCI »), et mise en œuvre pour la première fois par Aena, un groupe d’aéroports espagnol, en 2020. Depuis, nombre d’autres sociétés de premier ordre comme Unilever, Glencore et le CN lui ont emboîté le pas. Say on Climate comporte plusieurs aspects positifs, comme une communication accrue de l’information liée au climat, mais elle soulève également pour les administrateurs et les dirigeants un certain nombre de considérations pratiques qui pourraient influer sur la stratégie de leur société.
Malgré l’intensification des pressions du marché et des organismes de réglementation, une poignée d’entreprises inscrites en Bourse, celles de plus grande taille pour l’essentiel, répondent à l’appel. Ces grandes capitalisations, de plus de 10 milliards, représentent 75 % des émetteurs qui respectent actuellement les recommandations du TCFD et 60 % des émetteurs qui prévoient le faire.
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Institut sur la gouvernance (IGOPP)
April 22, 2021 10:03 AM
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Début avril, le milliardaire américain Warren Buffett a refusé de justifier la stratégie climat de sa société d’investissement, Berkshire Hathaway, auprès de ses actionnaires, alors même que la coalition Climate Action 100+ place le groupe parmi les moins avancés au regard de l’orientation vers une trajectoire zéro émission.
Parmi les sociétés cotées, la position de Berkshire Hathaway n’est pas isolée. Aussi, certains critiques s’interrogent sur la pertinence d’un éventuel « say on climate » à l’image de la régulation existante « say on pay ».
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Institut sur la gouvernance (IGOPP)
February 19, 2021 9:49 AM
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Les revenus des dirigeants de Danone, y compris celui du PDG Emmanuel Faber, seront en partie déterminés par le cours de Bourse de l'entreprise. Une décision qui intervient alors que plusieurs actionnaires appellent à un vent de fraîcheur à la tête de la société.
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Institut sur la gouvernance (IGOPP)
September 28, 2020 10:41 AM
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Phénomène en pleine expansion, les rachats d'actions soulèvent de nombreuses questions. Entre motivations floues, craintes de sous-investissements et fragilisations des bilans, ce mécanisme fait débat et inquiète certains économistes (et gérants) qui incitent les groupes cotés à faire preuve de modération.
Si l’approbation des actionnaires concernant la rémunération des dirigeants (say on pay) relève d’une démarche qui aligne les objectifs des différentes parties, le calcul des ratios d’équité tel qu’il a été conçu dans la loi Pacte ne résout pas tous les malentendus.
La crise liée au confinement n'a pas eu que des effets négatifs sur les entreprises. Prenant conscience de certaines de leurs fragilités, certaines directions générales ont su travailler en bonne intelligence avec leurs conseils d'administration pour instaurer un nouveau style de gouvernance. Depuis trois mois, les directions générales sont sur le pont face au Covid : protéger les collaborateurs et les clients, assurer la continuité d'activité, mettre en place des actions pour contrer les impacts. Alors que le pays s'arrêtait, les équipes de direction des entreprises étaient mises à contribution de manière plus intense que jamais. Les conseils d'administration se sont également mobilisés de manière inédite, en usant avec une agilité nouvelle de Teams, Zoom ou Google Meet dans des réunions beaucoup plus rapprochées et denses… avec un esprit de réactivité et de solidarité qui dessine, je crois, un nouveau style de gouvernance. « Enfin ! » me confiait un DG, presque surpris de l'effet positif du virus, accélérateur de bonne gouvernance.
Il y a d’un côté ceux, comme le patron de la chaîne d’hôtels Marriott ou du fabricant automobile Chrysler, dont les entreprises tournent au ralenti, qui ont renoncé à leur salaire pour le restant de l’année. Il y a, de l’autre, ceux qui ne toucheront pas à leur rémunération fixe.
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Institut sur la gouvernance (IGOPP)
February 12, 2020 10:00 AM
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Les données du 20e rapport annuel Proxinvest[1] sur la rémunération des dirigeants de sociétés françaises cotées permettent une mesure des inégalités de rémunération dans les très grandes entreprises entre la base et le sommet, et une occasion d’analyser leur double dynamique : de contagion par imitation des rémunérations les plus élevées ; et de distribution aux actionnaires.
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