La nécessité et la légitimité d’une implication de l’armée française au Sahel ne semble pas provoquer une once de débat. Et quand Laurent Fabius est interpellé lors de la session extraordinaire de l’Assemblée Nationale sur son positionnement sur cette situation, il répond que « la France entend mobiliser ses propres forces, y compris financières », provoquant un tonnerre d’applaudissements parmi les députés.