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Les villes françaises ne sont pas les seules concernées par la montée en puissance de l'injonction à la mixité sociale et par les plans de démolition
Le Dalo remet en cause deux idées reçues sur le logement social : sa vocation à accueillir en priorité les plus démunis et la construction des logements neufs comme unique solution pour répondre à la demande.
Le cabinet Auxilia a réalisé à la demande de Total et de Wimoov, entreprise spécialisée dans les nouvelles mobilités, un état des lieux de l’accès à la mobilité des actifs précaires en France. Pour cela, trois enquêtes quantitatives ont été réalisées auprès de 700 personnes en réinsertion et plusieurs centaines de structures d’accompagnement, et d’employeurs de ces populations. Selon les calculs des auteurs, entre 6 et 8 millions de Français, soit 20 % des personnes en âge de travailler, rencontreraient des difficultés pour satisfaire leurs besoins de mobilité professionnelle. Sans surprise, il s’agit principalement de personnes en insertion ou en recherche d’emploi, mais aussi de travailleurs précaires peu qualifiés.
Plus de 5 millions de Français sont privés d’emploi mais 8,5 millions vivent sous le seuil de pauvreté. Si l’on ajoute qu’en 2012, 25% des personnes sans domicile fixe travaillaient, il apparaît clairement que l’emploi seul ne protège pas toujours de la précarité. Il n’est plus forcément synonyme de promotion sociale : le risque de pauvreté se transmet largement des parents aux enfants, alimentant la peur d’un déclassement durable et bafouant cette notion d’égalité des chances à laquelle nous sommes si attachés.
Dans un entretien au FigaroVox paru le 17 octobre 2014, sur le thème :" Qui sont les «pauvres» dont parle Emmanuel Macron ?", Julien Damon dresse l’état des lieux des inégalités qui se creusent en France.
Médecins du Monde a présenté ce jeudi son rapport annuel de l'Observatoire de l'accès aux droits et aux soins. Pour l'ONG, « les situations de précarité se dégradent » dans l'Hexagone.
François Hollande a échangé ce 14 octobre avec les principales associations de solidarité sur la mise en oeuvre du plan Pauvreté. Soulevant plusieurs points d'amélioration, les associations ont appelé le président de la République à porter une parole politique forte sur le sujet.
L'Insee met à votre disposition des outils d'information afin de mieux comprendre la mesure de la pauvreté. - Comment le système statistique définit la pauvreté ? - Comment l'Insee mesure-t-il la pauvreté à partir des niveaux de vie ? - À quoi sert cette mesure et quelles en sont les limites ? Des réponses accessibles au travers d'une vidéo, d'une publication "Insee en bref" et d'un quizz.
Diffusée pendant l'été, une nouvelle circulaire s'attache à la gouvernance du plan Pauvreté, un point qui fait l'objet de nombreuses critiques depuis le début de sa mise en œuvre. Datée du 16 juillet et publiée sur Légifrance le 21 août, cette circulaire signée de la ministre des Affaires sociales et de la Santé et de la secrétaire d'Etat chargée des personnes handicapées et de la lutte contre les exclusions précise les "modalités de gouvernance et de suivi territorial du plan pluriannuel contre la pauvreté et pour l'inclusion sociale". [...] La ministre et la secrétaire d'Etat encouragent les territoires à rechercher une cohérence entre ce plan régional Pauvreté et les autres plans gouvernementaux (jeunesse, politique de la ville ou santé), voire à réaliser un "plan régional unique".
Non seulement la crise a creusé les écarts de revenus entre les plus riches et les plus pauvres, mais elle a également renforcé les inégalités entre les métropoles et le reste du territoire, montrent deux études de l'Insee publiées à quelques jours d'intervalle.
Depuis 2008, le niveau de vie des plus démunis diminue. Une crise qui alimente les tensions sociales, mais n'inquiète pas plus que ça les couches favorisées, dont les revenus continuent à augmenter. Par Louis Maurin, directeur de l'Observatoire des inégalités.
"80% des maires constatent une aggravation de la pauvreté dans leur commune ». Tel est l’enseignement majeur des résultats 2014 de l’enquête réalisée par TNS Sofrès pour le Secours catholique, largement reprise par les médias ces dernières semaines. Des chiffres à rapprocher des conclusions d’une autre étude de cette association, rendue publique le 6 février dernier, sur la prise en compte des pauvretés et leur traitement dans les communes franciliennes de plus de 10 000 habitants."
Où en est-on du mal-logement en France ? Dans un contexte de crise de l'emploi, quelles sont les répercussions sur les conditions de logement dans notre pays ? Christophe Robert, délégué général adjoint de la Fondation Abbé Pierre, répond à nos questions.
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Partout en France, des tours de banlieues sont détruites, et de nouveaux quartiers sortent de terre. 10 ans après la création de l'Agence nationale de la rénovation urbaine (l'Anru) et la loi « Borloo », où en est la rénovation des cités HLM ? A-t-elle permis d'améliorer le cadre de vie des 4 millions d'habitants qui y vivent ? Peut-on calmer les tensions en détruisant des barres ? A travers les exemples de Vaulx-en-Velin près de Lyon, Sevran en Seine-Saint-Denis, et Montpellier, Jérémie Hartmann dresse un bilan contrasté de l'application de la loi sur le terrain. Immeubles plus petits , plus modernes, et quartiers moins enclavés : les nouveaux aménagements tirent les leçons des erreurs architecturales du passé. Mais la qualité des constructions laisse parfois à désirer, les habitants se plaignent souvent du manque d'entretien des bailleurs sociaux, et la rénovation ne règle pas les problèmes de chômage et de pauvreté de cette population, longtemps oubliée de la République.
La classe politique stéphanoise et beaucoup d'habitants de Saint-Étienne expriment leur colère après un article paru dans Le Monde. La journaliste écrit sur la pauvreté de la ville, en évoquant notamment "la capitale des taudis".
Dans son rapport annuel, le Secours catholique alerte sur « l'inquiétante dégradation du lien social » et l'intensification de la pauvreté en France.
Le bilan 2013 de la plateforme téléphonique Allô prévention expulsion (0810 001 505) - mise en œuvre par la Fondation Abbé-Pierre - confirme une tendance globale à l'aggravation. En particulier, "l'augmentation du nombre de procédures d'expulsion se poursuit, alors que les dispositifs mis en place depuis le début des années 1990, et plus encore depuis la loi de lutte contre les exclusions de 1998, auraient dû enrayer cette croissance".
La perception par une majorité des Ccas d'une tendance à la hausse des demandes d'aides financières qui leur sont adressées s'inscrit dans la durée." C'est ce que démontre le dernier "Baromètre de l'action sociale locale", diffusé le 15 octobre par l'Union nationale des centres communaux d'action sociale (Unccas), à l'occasion de son congrès.
Cette année, la Journée mondiale du refus de la misère était placée sous le signe de la lutte contre les préjugés qui touchent encore trop souvent les phénomènes de pauvreté et les personnes concernées. A cette occasion, l'association ATD Quart Monde a fait réaliser un sondage par la société BeBetter&Co.
Le Crédoc publie les résultats d'une étude sur l'acceptation des aides aux plus fragiles, qui montre que depuis 2008, l'opinion porte un regard plus sévère sur les chômeurs ou les bénéficiaires de minima sociaux"
Depuis 10 ans les avocats bénévoles du barreau de Paris vont à la rencontre des populations les plus précaires. Cinq fois par semaine le bus solidarité stationne à l’une des portes de la capitale dans les quartiers inscrits en politique de la ville.
Début août, un père de famille a été tué dans le quartier de l'Alma, à Roubaix, pour une histoire de bruit. Dans les quartiers populaires de la ville la plus pauvre de France, des habitants racontent leur détresse.
Les pauvres sont plus pauvres qu'avant, les riches plus riches, et la pauvreté touche non plus seulement des chômeurs mais aussi des salariés, souligne l'Insee dans une étude publiée mercredi 2 juillet.
Comments:"7 avril 2014 - L’Observatoire des inégalités publie les seuils de pauvreté, de richesse et le niveau de vie des classes moyennes pour les principaux types de ménages.
Près de 60 % des personnes pauvres vivent dans de très grandes villes. 2,5 millions résident dans des communes de 200 000 habitants ou plus, 1,3 million dans l'agglomération parisienne. Extrait du Centre d'observation de la société.
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