"À cheval entre le Tout-Paris mondain, les milieux d’affaires et la communauté juive, Éric de Rothschild s’est imposé, dans l’ombre du « roi David » (Capital, novembre 2003), son cousin, comme la principale personnalité d’un clan familial à propos duquel Martine Orange écrivait : « Par leur nom, leur histoire, par leurs liens familiaux, par leurs réseaux, par leurs engagements envers le judaïsme et la défense d’Israël, les Rothschild ont accès à un monde de la finance, aux grands noms du capitalisme international, inaccessible aux autres. Qu’ils se nomment : les portes s’ouvrent partout dans le monde. » (Rothschild, une banque au pouvoir, Albin Michel, 2012)." (...)