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Née d'une expérimentation scientifique, la PME parisienne totalise aujourd'hui cinq hectares de toitures végétalisées, essentiellement sur des bâtiments tertiaires.
Via Agrodoc Ouest
"Comment explique-t-on cet engouement pour le jardinage en temps de pandémie ? Jusqu’à quel point la peur de manquer de ressources en temps de crise a-t-elle été un facteur ? Jardiner en ville, une activité accessible à tous ? Où va-t-on chercher des connaissances, si on n’a pas un parent qui jardinait ?" Agence Science-Presse, 28.04.2021 Isabelle Burgun en parle avec :
En 2019, les Ateliers d’été de l’agriculture urbaine et de la biodiversité sont placés sous le signe de la transition écologique. À l’heure où le changement climatique plaide pour une préservation de la nature en ville ou une renaturation de nos cités, l’agriculture urbaine apparaît comme un levier supplémentaire pour répondre aux multiples enjeux environnementaux, sociaux et Vendredi 14 Juin 2019 (Jour entier) - Samedi 15 Juin 2019 (Jour entier)
Le développement de cultures maraîchères voulu par la municipalité est contesté par France Nature Environnement, qui préférerait préserver la biodiversité dans des quartiers très denses. Le tribunal administratif doit trancher. Publié le 20.01.2019
Le média The Conversation propose "une semaine spéciale agriculture urbaine" avec une série de publications de vulgarisation scientifique, à (...)...
Via AgroParisTech DOC IST
Est-il possible de produire sainement en zone urbaine ? C’est la question à laquelle un ensemble de travaux de recherche tente de répondre depuis 2012.
Via Agrodoc Ouest
Le premier potager urbain indoor du pays a été inauguré par Metro en novembre dernier, dans le cadre de l’Urban Farming qui consiste à faciliter l’accès à des aliments frais en ville ...
Via Agrodoc Ouest
Qu’est-ce que l’agriculture urbaine ? Quelles formes peut-elle avoir ? Où s’implante-t-elle ? Le Cerema a produit une série de courtes vidéos pour sensibiliser les acteurs de la ville, élus et techniciens, mais aussi les citoyens, aux différents types de projets d'agriculture urbaine. Publié le 15.02.2018 "L’agriculture dite urbaine est devenue depuis une dizaine d’années une des composantes de la fabrique de la ville répondant à la fois aux besoins des citadins (plus de nature, alimentation locale, produits frais, etc.) et à la nécessité de densifier pour limiter le gaspillage des terres agricoles. Si les jardins collectifs ou le maraîchage périurbain sont des formes bien connues, d'autres formes se développent actuellement."
Tandis que les Fermes Lufa livrent chaque semaine plus de 10 000 paniers de légumes frais, AU/LAB a le projet de planter des ceps sur le toit du Palais des congrès de la ville québécoise. Publié le 29.03.2018 (accès limité)
Innovations technologiques, forte présence du bio, start-ups, crowdfunding, agriculture urbaine et même un magazine lifestyle: l'agriculture se réinvente.
... Supervisé par le AU/LAB, le Laboratoire d’agriculture urbaine du Palais s’est fixé plus d’un objectif. En plus de permettre l’expérimentation de nouvelles technologies, il vise à réduire les îlots de chaleur urbaine et à améliorer la qualité de l’air au centre-ville. Il a aussi pour but d’encourager les propriétaires immobiliers à passer à l’action en matière de verdissement de leurs toits et à faire la promotion de Montréal comme ville engagée dans une démarche de développement durable, tout en permettant aux congressistes de profiter des récoltes. Le laboratoire comprend, entre autres, Culti-Vert, une vitrine technologique de toits verts et de jardins potagers en bacs. On y trouve aussi des ruches d’abeilles pollinisatrices (...)
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Déplacements de populations, canicules extrêmes, submersion des villes littorales… Un nouveau rapport du Giec dresse le tableau des bouleversements actuels et futurs générés par le changement climatique. par Aurore Coulaud et Margaux Lacroux publié le 28 février 2022 à 11h59 (abonnés) (mis à jour à 17h14) "Il est désormais connu comme «le rapport cataclysmique qui avait fuité». En juin, un brouillon du Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (Giec) avait été dévoilé ; il donnait un avant-goût des impacts dévastateurs du changement climatique. Ce lundi, le document est officiellement rendu public, après avoir été approuvé par les 193 Etats membres de l’Organisation des nations unies (ONU). Elaboré par 270 scientifiques, il «est un avertissement terrible au sujet des conséquences de l’inaction», a déclaré Hoesung Lee, président du Giec." "... Les scientifiques du Giec observent déjà que la chaleur cause une «augmentation de la mortalité» à la fois pour les humains et pour la biodiversité comme le corail et les arbres. Les écosystèmes marins, terrestres et d’eau douce sont chamboulés partout, où l’on constate «des pertes d’espèces locales et des cas de mortalité massive des plantes et des animaux, entraînant les premières extinctions induites par le climat». Par ailleurs, «environ la moitié des espèces évaluées à l’échelle mondiale» se sont déplacées, soit vers les pôles, soit en altitude, à cause du changement climatique. On assiste à une véritable réorganisation de la biodiversité." "... L’ensemble du globe est aussi confronté à une augmentation des maladies infectieuses (dont les zoonoses), à la malnutrition, à la dégradation croissante des infrastructures et des secteurs économiques avec des effets régionaux sur l’agriculture, la foresterie, les pêches, l’énergie et le tourisme." [Image] Le Bangladesh compte parmi les pays qui risquent d'être particulièrement touchés par la montée des eaux induite par le réchauffement climatique. (Jean-Michel Delage/Hans Lucas. AFP)
"Près de 3 millions de familles québécoises ont jardiné en 2020 – une hausse phénoménale de 20% par rapport à 2019. Qu’en sera-il cette année? C’est le sujet de notre émission cette semaine." Agence Science-Presse Je vote pour la science Mercredi 28 avril 2021 Dans l’actualité - Un jardin collectif intergénérationnel, Le Nouvelliste, 9 avril 2021
- Une saison horticole encore plus effervescente qu’en 2020, La Presse, 9 mars 2021
- Fièvre du jardinage : les semenciers peinent à répondre à la demande, Radio-Canada, 7 mars 2021
- Les semences se vendent comme... du papier de toilette!, Le Nouvelliste, Trois-Rivières, 31 janvier 2021
- Le vert a le vent dans les voiles, La Terre de chez nous, 25 novembre 2020
- Quand et comment arroser son potager?, Le Devoir, 27 juin 2020
- L’appel de la terre au temps de la COVID-19, Radio-Canada, 30 mars 2020
- Une future ferme urbaine à Québec, Québec Hebdo, 24 janvier 2020
- Eric Duchemin (UQAM), L’extraordinaire ascension de l’agriculture urbaine, The Conversation, 6 janvier 2020
- Le bonheur de cueillir ses fruits, La Presse, 13 juin 2019
- Le jardinage urbain gagne en popularité, L’Hebdo Journal, Trois-Rivières, 27 mai 2019
Rompre l’isolement et rapprocher les jeunes générations de la nature : c’est le pari que font les associations développant l’agriculture citadine en sollicitant l’aide des Franciliens confinés. Par Marie Aline Publié hier à 06h00, mis à jour à 15h05 (abonnés) "... Un écosystème d’associations préoccupées à la fois par l’agriculture urbaine (Veni Verdi, Zone sensible…) et par l’alimentation durable (Ecotable et Linkee) s’organise pour tirer les étudiants de leur isolement. La Sauge, une association engagée pour « une agriculture urbaine généreuse », coordonne en plein confinement et à l’arrivée du printemps des activités de maraîchage dans des fermes urbaines dans Paris et aux alentours. Construire un poulailler, lancer des semis… Du 15 avril au 15 mai, tous les étudiants de la région parisienne sont appelés à (...)" À tou·tes les étudiant·es d'Ile de France, avec Écotable et Linkee on vous propose de venir jardiner dans la ferme urbaine la plus proche de chez vous entre le 15 avril et le 15 mai. C'est l'occasion de prendre l'air, de faire des rencontres, de s'aérer l'esprit en mettant les mains dans la terre ! Rendez-vous dans les fermes participantes Zone Sensible / Parti Poétique Cueillette Urbaine Terre Terre Peas and Love [Image] Le jardin cultivé par l’association Zone sensible, à Saint-Denis (93). PARTI POÉTIQUE
L’engouement pour l’agriculture urbaine ne s’estompe pas depuis les 10 dernières années. [...] Depuis une décennie, le nombre d’entreprises de ce secteur croît annuellement de 30 % au Québec. En 2019, on en comptait 72. Et c’est sans parler des potagers d’arrière-cours ! À l’aide d’images satellite et d’observations de terrains, le laboratoire a cartographié depuis 2016 les jardins individuels aménagés dans 10 territoires de la région métropolitaine de Montréal. Seulement dans l’arrondissement de Saint-Léonard, plus de 10 hectares, soit 30 % des lots résidentiels, sont occupés par des potagers. « C’est énorme, souligne Éric Duchemin. Ça produit et ce n’est pas anecdotique. » Par Etienne Plamondon Emond, 20.11.2020 Québec Science, édition décembre 2020
Un potager sur un toit de grands magasins à Paris, une ferme dans un ancien parking, une bière au goût de houblon parisien: les agricultures urbaines ne cessent de s'étendre à Paris, avec 20 hectares et 285 tonnes de fruits, légumes et aromates par an. Visite chez trois "pariculteurs" primés par la ville de Paris. Publié le 17.03.2019
Comment transformer les villes avant qu’elles deviennent invivables ? LSD, La série documentaire par Perrine Kervra, 09.01.2019 "... D’ailleurs, depuis le début des années 2000, on verdit. Des jardins urbains sont apparus, des toits et des façades ont été végétalisés. Peut-on pour autant parler d’écologisation ? Dans quel sens la pensée écologique peut-elle transformer la ville ?" Avec : - Antoine Lagneau, chargé de projet à l’Agence régionale de la biodiversité en île de France, spécialiste en agriculture urbaine - Dominique Bourg, philosophe - Gilles Bœuf, écologue, ancien président du Muséum national d'histoire naturelle ( MNHN ) - Marc Barra, écologue à l’Agence régionale de la biodiversité en île de France - Nathalie Blanc, sociologue au CNRS - Philippe Clergeau, écologue au Muséum national d'histoire naturelle ( MNHN ) - Thierry Paquot, philosophe
On dénombre en France une centaine d’entreprises d’agriculture urbaine. La région parisienne est actuellement la plus dynamique sous l’impulsion de l’opération « Parisculteurs ».
On grimpe à 25 mètres au dessus du bitume parisien pour découvrir les travaux de recherche sur les toits potagers. Lancé en 2012, le projet de recherche T4P (pour « Toit parisien productif projet pilote ») vise à tester la faisabilité de culture maraîchère citadine en toiture, en respectant trois contraintes : utiliser en tant que sol uniquement des résidus issus du milieu urbain ; ne pas utiliser de fertilisant organique ou minéral ; répondre au cahier des charges d’une agriculture biologique. De premiers résultats, publiés en décembre 2017 dans la revue Agronomy for Sustainable Development, tirent un bilan positif pour ce dispositif de toit potager en ville. Ce projet se déroule sur la toiture de l’école d’ingénieur AgroParisTech, dans le Ve arrondissement de Paris. Il a été mené par une équipe de recherche AgroParisTech-INRA et a notamment donné lieu à la thèse de Baptiste Grard présentée au travers de cette bande dessinée. Bonne visite ! BD : Dessin et couleurs : Mathieu Ughetti
Via Agrodoc Ouest
Murs végétaux, toits potagers, champignons dans les parkings ou brebis dans les rues d’Aubervilliers, l’agriculture urbaine adopte des formes multiples. Décryptage d’un monde en pleine germination ! Publié le 25.11.2018
rendez-vous jardin et agriculture urbaine pour l’année 2018, plus particulièrement pour les mois à venir à Paris et en Île-de-France Publié le 09.04.2018 Consultez régulièrement ma page Agenda 2018 pour être informé de l’actualité des manifestations « jardin » et agriculture urbaine parisiennes et franciliennes et pour y découvrir les derniers événements ajoutés.
"Une expérimentation scientifique menée à Paris confirme l’intérêt de la végétalisation des zones urbaines dans les domaines de la gestion des déchets, de l’approvisionnement alimentaire et du stockage des eaux de pluie et du carbone. Les auteurs de cette étude en résument les résultats dans cette tribune.
Baptiste Grard est chercheur postdoctoral à AgroParisTech – université Paris-Saclay ; Christine Aubry est responsable de l’équipe de recherches Agricultures urbaines à AgroParisTech – université (...)" Publié le 12.03.2018
Avez-vous déjà entendu parler de « Sous les fraises » ? Derrière ce nom bucolique se dissimule une start-up spécialisée dans la production biologique de végétaux comestibles en milieu urbain. A Paris par exemple, la petite entreprise s’enorgueillit d’avoir déjà installé plus de 10 000 mètres carré de jardins : au BHV, au siège de Nexity ou à celui de CNN, des fruits et légumes, mais aussi des fleurs comestibles et des plantes aromatiques, sont cultivés selon les préceptes de l’agriculture biologique et poussent tout au long de l’année.
Les jardiniers, biologistes, urbanistes, architectes et autres ingénieurs agronomes de « Sous les fraises » ont uni leurs talents pour dompter un milieu a priori hostile à toute agriculture saine. (...)
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https://www.scoop.it/topic/les-colocs-du-jardin/?&tag=agriculture+sur+les+toits
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