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De Sète à Béziers, le même phénomène est constaté depuis plusieurs jours : des nuages de milliers de moucherons et de coccinelles envahissent les terres en fin de journée. À quoi est dû ce phénomène ? Journaliste Hérault Tribune Publié le 14 juin 2021 à 22:23 Chaleur et trajectoire du vent D’après certains spécialistes, le phénomène pourrait être lié à une configuration très particulière alliant chaleur et trajectoire du vent. “Il s’agit de pucerons qui se développent au printemps et s’envolent pour coloniser d’autres arbres. Ils sont transportés par le vent en restant groupés.” Dans certaines communes, des coccinelles sont également observées par milliers. Si leur apparition est habituelle au printemps, leur volume, ces derniers jours, a de quoi surprendre. Comme en 2003, les fortes chaleurs ont favorisé le développement des pucerons et donc de leurs prédateurs naturels que sont les coccinelles. Pour Renaud Dupuy de la Grandrive, directeur du milieu marin agathois, “ la chaleur favorise l’éclosion massive d’œufs avec également moins de mortalité mais généralement, le phénomène est éphémère car les moucherons ne vivent pas en colonies. En tout cas, cela fait le bonheur de leurs prédateurs, coccinelles, hirondelles et martinets noirs et pâles qui sont des oiseaux insectivores. Ce sont eux qui nous débarrassent des moustiques de la manière la plus écologique possible” Une autre explication est avancée et pourrait également être liée à des conditions météorologiques particulières. C’est ce qu’on appelle des “migrations de famine“, les coccinelles sont chassées des champs de blé au moment de la moisson. Comme elles ont un vol porteur, elles vont là où le vent les mène. C’est-à-dire vers le littoral quand ça souffle depuis les terres. Et comme la mer est ressentie comme une menace, elles stagnent au niveau des communes du littoral. Il suffit que les vents dominants tournent à nouveau pour que le phénomène s’estompe."
Pour la Fête de la Nature, Science & Vie organise un observatoire géant de la biodiversité, le week-end des 22 et 23 mai dans toute la France. Science & Vie, 22.04.2021 Le Bioblitz Science & Vie, un observatoire géant (et éphémère) de la biodiversité Science & Vie vous propose, le week-end des 22 et 23 mai, de réaliser vos propres inventaires d’espèces près de chez vous, en participant à différents programmes de sciences participatives : - Spipoll : dans un lieu floral, pour mener des observations sur les insectes pollinisateurs de fleurs.
- Observatoire des oiseaux des jardins : dans la nature, pour compter le nombre d’oiseaux différents que vous apercevrez.
- BioLit : en bord de mer, pour observer les espèces vivantes et échouées de votre paysage.
- Sauvages de ma rue : dans votre quartier, pour découvrir des espèces dont vous n’aviez pas connaissance.
- Opération papillons : dans la nature, pour compter le nombre de papillons différents que vous observerez.
Tout commence par un frêle croquis de terrain. Puis, à partir d’un moulage de cire éphémère, l’art de la fonderie promet l’éternité. Sculptures de bronze par l’artiste franco-japonais Tsunéhiko Kuwabara. Publié le 01.08.2018
Permaculture, biodynamie, agriculture urbaine ou naturelle… les agricultures alternatives se multiplient. Elles inventent de nouvelles techniques, des circuits de distribution, un autre rapport à l’alimentation. Mais ces agricultures « en rupture » sont-elles des voies d’avenir ? Ou une mode éphémère, qui fait écran à la transition de tous vers une agriculture durable ?
C’est mardi dernier qu’avait lieu le lancement de la programmation 2017 d’Espace pour la vie. L’événement, qui a pris place au cœur du Planétarium Rio Tinto Alcan, se voulait le coup d’envoi d’une année consacrée à la célébration de la vie et d’une nature à la fois énigmatique, essentielle et éphémère. "... Quant à l’Insectarium, il nous revient encore une fois avec Croque-insectes du 15 juin au 4 septembre dans la même optique, celle de s’interroger sur la nourriture d’un futu (...)"
Le musée Chaumet propose un dialogue entre créations contemporaines et bijoux plus anciens via une "Promenade bucolique" sur un thème majeur de l’histoire de cette maison de joaillerie : le naturalisme. Cette déambulation à travers pierres, dessins, collections anciennes, photographies et éditions limitées est à découvrir dès le 14 septembre, Place Vendôme. Un patrimoine rarement montré ici révélé
Exposition "Promenade Bucolique" jusqu'au 30 janvier 2016. Le musée Ephémère de Chaumet. 12, place Vendôme. 75001 Paris. Du lundi au samedi de 10h30 à 19h. www.chaumet.fr
07.01.2013 - Continent sciences Enjeux d’une éthique de l’environnement 57 minutes Comme nous le savons tous, la diversité biologique n’est pas une donnée figée et immuable. Elle est le fruit de durées qui nous paraissent comme incommensurables. C’est un ensemble éphémère d’êtres qui apparaissent, vivent et s’éteignent. Cette dynamique du vivant est animée par les énergies de la nature, génératrices de l’évolution et régulatrices de cette diversité sur le temps ... Avec le biologiste Jacques Blondel.
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"Si vous vous initiez au Bioblitz ? @science_et_vie organise un observatoire géant de la biodiversité qui intègre : le #Spipoll, Oiseaux des jardins de la @LPOFrance, #Biolit de @PlaneteMer, Sauvages de ma rue de @TelaBotanica, Opération papillons de @NoeBiodiversite Opie insectes sur Twitter, 14.05.2021 https://twitter.com/Opie_insectes/status/1393185668613001218
Dans un contexte d’érosion de la biodiversité, la réponse de la vie des sols face aux activités humaines reste encore peu connue. Mieux comprendre la vie des organismes du sol sur lequel nous marchons, ou parfois même construisons, devient urgent. Librairie Quae : des livres au coeur des sciences "Vingt-cinq portraits des grands groupes d’invertébrés vivant à la surface du sol sont proposés. Ce guide pratique peut être utilisé dans le cadre de cours de biologie ou à titre individuel ; il peut être consulté seul ou en lien avec le site de Jardibiodiv." [via] Jardin éphémère Place Stanislas | Facebook, 16.03.2021 https://www.facebook.com/ParcsetJardinsdeNancy/posts/4058348834199562 "Appoline Auclerc, Maîtresse de conférence à l'Ensaia, est à l'aise en sous-sol. Sa passion se situe dans les profondeurs de la terre. Les animaux du sol retiennent toute son attention, avec un goût immodéré et constant pour le ver de terre. Avec Christophe Schwartz, Professeur en pédologie urbaine et directeur du Laboratoire Sols et Environnement, elle est, elle aussi, de toutes nos aventures végétales. Une partenaire privilégiée qui publie un livre aux éditions Quae. Il vous permettra de partir à la découverte de ce fascinant et méconnu monde sous-terrain."
Une volière éphémère consacrée aux papillons a ouvert ses portes au zoo de San Diego.
La vie d'un papillon est aussi fragile qu'éphémère. Mais cette couturière était bien décidée à sauver l'aile de ce papillon en détresse. Bluffant ! Quand la magie opère… Cette couturière a réparé l’aile d’un papillon. Voici comment. (7 photos). Publié le 12.01.2018
Place to B, si vous avez loupé un épisode, c'est un B pour "Bloggeurs", "Bottom Up" (bas en haut), "No Planet B", "Plan B", mais aussi "Rer B", "Bourget" ou encore "Belushi's"... Pendant toute la durée de la COP, ce lieu éphémère situé dans l'enceinte de l'auberge St Christopher et du café Belushi's (au 5 rue de Dunkerque, près de la Gare du Nord) a accueilli 900 personnes en résidence, de 70 pays différents, ainsi que 500 coworkers, 300 intervenants, 200 bénévoles et 200 médias du monde entier. Au total, pas moins de 15 000 personnes sont passées sur le lieu pendant l'événement.
Par Anne-Sophie Novel. Place to B, blog Le Monde, 21.12.2015
[Vidéo] Place to B (Paris) - YouTube https://www.youtube.com/watch?v=WHwXnWARjUI
[Image] Capture d'écran
Les yeux en turban de l’éphémère mâle permettent de voir dans la pénombre.© Martin Oeggerli « Je suis passionné par l’évolution.…
Dès le premier mai, les pêcheurs à la mouche peuvent entrer avec leurs bottes dans l’eau de la Loue. La date est fixée par un arrêté prefectoral. Avant , c’est interdit pour protéger la reproduction de l’ Ombre. Cette année, il faudra encore patienter pour sortir ses mouches d’Ornans car la rivière est trop haute pour pouvoir y pénétrer facilement. Cela donne un répit aux ombres qui finissent tout juste de frayer. Décidément, cette saison, tout est en retard ! Mais connaissez-vous l’histoire de la mouche d’Ornans ? Je dirais même plus la fameuse mouche d’Ornans. celle que tout pêcheur se doit d’avoir dans sa besace. Cette mouche, m’explique le pêcheur Jean-Pierre Herold, est lancée avec une canne légère et un bas de ligne fin représente sur l’eau un subimago de petite éphémère (Ephemerella ignita) le stade qui précède le stade adulte. » Gérard Piquard est le spécialiste de cette mouche pour laquelle les truites et les ombres succombent. Sur son blog, cet ancien garde pêche sur la Loue nous raconte toute son histoire. Et c’est passionnant ! « Cette imitation, écrit Gérard Piquard, a sans doute été créée dans les années 1920 par un pêcheur jurassien, Amédée Gros qui exerçait la profession d’instituteur à Marigny, à quelques kilomètres de Champagnole. A cette époque la pêche à la mouche était souvent pratiquée par des personnes très aisées, Amédée Gros était cependant reconnu comme un pêcheur au fouet renommé, tant par ses talents de pêcheur, que celle de ses qualités d’entomologiste. [...]
de Jacques Le Doaré & Paul Troël "Au fil des 255 pages, le lecteur pourra découvrir non seulement des informations précises sur un bon nombre d'espèces de notre pays, leur écologie, leur biologie, mais aussi sur la pêche à la mouche, et la relation qui unit l'Homme à l'éphémère, avec toute la symbolique qui s'en exprime dans l'Art de diverses civilisations. Le tout illustré de photographies et des merveilleux dessins originaux de Paul Troël." via l'Opie-benthos : http://www.opie-benthos.fr/actualites/informations-insectes.html?art=157
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