La loi du 5 mars 2014 offre de nouvelles marges de manœuvre aux entreprises qui sauront s’en emparer. De nombreux acteurs s’accordent à dire que la disparition de la notion d’imputabilité va ouvrir le champ des possibles et permettre à l’entreprise de gérer son investissement formation comme elle l’entend. Mais il ne suffit pas d’une loi qui autorise, encore faut-il une envie de faire et des compétences de la part des acteurs du système de professionnalisation. L’acteur le mieux placé pour permettre à l’entreprise de tirer le meilleur parti de la réforme est-il le DRH ? Le Responsable formation ? le chef de projet formation ? … le conseiller de l’OPCA ? … voire l’ingénieur pédagogique de l’organisme de formation ?
Via Canadian Vocational Association / Association canadienne de la formation professionnelle