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French Tech: quels bénéfices pour les PME ?

French Tech: quels bénéfices pour les PME ? | E-Learning-Inclusivo (Mashup) | Scoop.it
Le dispositif French Tech a pour vocation d'accompagner les start-up du numérique les plus prometteuses. Mais même les PME les plus traditionnelles pourront y trouver des relais de croissance, en intégrant ces innovations ou en externalisant leur R&D.

Via Reseau CME
Reseau CME's curator insight, May 18, 2015 7:39 AM

Bonne question non ? Qu'apporte vraiment ce label French Tech aux PME ?

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#FrenchTech : Les faits marquants et les grandes tendances de l’écosystème startup en 2014

#FrenchTech : Les faits marquants et les grandes tendances de l’écosystème startup en 2014 | E-Learning-Inclusivo (Mashup) | Scoop.it

’année 2014, (ndlr celui de 2013 est disponible ici). Envie de revenir sur les événements passés, la rédaction vous livre un panorama des actions menées par tous les acteurs de cet écosystème qui continue son accélération et à se structurer autour de plusieurs axes forts.

La marque FrenchTech se fait un nom

Lancée fin 2013, la FrenchTech (anciennement « Quartiers Numériques ») a pris de la hauteur au cours de l’année 2014, notamment par le biais d’actions nationales et internationales. Elle a su fédérer les métropoles françaises autour d’une même bannière et d’un projet commun : faire de la France le plus grands accélérateurs de startups. C’est finalement Lille, Lyon, Grenoble, Aix-Marseille, Montpellier, Toulouse, Bordeaux, Nantes et Rennes ont été les 9 premières villes françaises (sur 15 villes candidates) à obtenir le label tant convoité après plusieurs mois d’audit. Au-delà d’une aide au financement des accélérateurs, il est également prévu de réserver un espace de 800 m2 au coeur du bâtiment « 1000 Startups » de la Halle Freyssinet. Un lieu qui veut servir de point de ralliement pour renforcer les liens entre Paris et la province.

La FrenchTech s’est aussi distinguée au niveau international, lors de la Conférence French Touch (initiative privée menée par Gaël Duval et Cédric Giorgi), qui s’est déroulée en juin 2014 à New-York. Une prochaine édition est déjà prévue pour 2015 (24 et 25 juin), avec le soutien d’Axa. Si cette conférence est une première pour les équipes de David Monteau (directeur de la mission), la bannière FrenchTech a très largement été reprise lors des grandes conférences françaises comme au Web2day de Nantes, la Melée Numérique de Toulouse et au Blend Web Mix de Lyon.

Si la mayonnaise a si bien prise, c’est avant tout grâce à l’omniprésence et la médiatisation des actions entreprises par Axelle Lemaire, Secrétaire d’Etat au Numérique, qui multiplie les prises de paroles lors d’événement de grandes envergures, aux côtés d’Emmanuel Macron, Ministre de l’Economie. Ils seront d’ailleurs présents à l’édition 2015 du CES (Consumer Electronic Show) de Las Vegas du 6 au 9 janvier, avec pas moins de 120 entreprises françaises (hausse de 33% par rapport à 2014).

Les champions français se distinguent à l’international

Paris (et la France) revient sur le devant de la scène Tech au niveau mondial. Les grands champions de l’économie numérique de demain seront sans doute français et c’est une satisfaction qui a justement fait l’objet d’une étude – approfondie par Martin Mignot (Index Ventures) et Alice Zagury (CEO de TheFamily) – baptisée Paris Tech Guide. L’introduction en bourse de Criteo semble être une date clé marquant le renouveau de la scène Tech française. Parmi les grandes réussites de cette année 2014, il est intéressant de relever la levée de fonds de 100 millions de dollars par Blablacar, celle de Dashlane (22 millions de dollars) ou encore celle de Menlook (23 millions d’euros).

Les startups françaises sont dans les starting-blocks et il semble évident que de futures pépites technologiques vont exploser en 2015. Open-Source, FinTech, Saas ou encore AdTech, les jeunes entreprises innovantes françaises se développent depuis la France, avant de s’exposer au monde entier en intégrant des structures d’accompagnement comme TechStars ou encore Y Combinator. Les fonds d’investissement sont aussi un des facteurs de réussite de certaines jeunes pousses. Les différentes opérations de financement menée par ces établissements – dont Index Ventures, Kima Ventures, Alven Partners, Xange, ISAI, 360 Capital Partners, Iris Capital, Ventech, Partech Ventures, Elaia, CapHorn Invest ou encore Serena Capital – contribuent au rayonnement de la France au niveau international.

L’explosion des incubateurs corporate

En 2013, la rédaction de Maddyness pointait le fait que les grands groupes du CAC 40 ou SBF 120, s’intéressaient de plus en plus aux startups françaises. Cette tendance a été largement confirmée en 2014, avec l’ouverture de nombreux incubateurs / accélérateurs / Lab corporate : Axa, La Poste, Amaury, GeneraliAirbus, HP, GDF Suez ou encore Vinci Autoroutes. Ces incubateurs ancrent leur positionnement autour des thématiques propres à leurs métiers, pour préparer et anticiper le passage au numérique. Par exemple, Allianz va ouvrir les portes d’un incubateur dédié au Big Data en 2015, pour s’investir aux côtés des entrepreneurs et soutenir la croissance générée par le big data.

D’autres grands comptes n’hésitent pas à nouer des accords de partenariats avec des structures locales déjà existantes pour confirmer leur intérêt et tisser d’éventuelles opportunités commerciales. C’est le cas de Cisco, qui s’est rapproché de SenseCube pour lancer un défi répondant aux enjeux de l’internet des objets. De son côté, le Crédit Agricole a frappé un grand coup en lançant Le Village, un espace de 4 500 m2 au coeur de Paris inauguré fin octobre.

« Tout le monde a peur de se faire Uberiser »

Cette phrase, prononcée récemment par Maurice Levy, PDG de Publicis, a l’avantage d’expliquer clairement la crainte réelle des entreprises dominantes. L’explosion des services de Consommation Collaborative, des Objets Connectés et du Big Data ne semble pas rassurer certaines professions. Plusieurs cas ont été largement médiatisés en 2014, notamment celui de la startup Ornikar, qui se heurte depuis plusieurs mois déjà, à la profession réglementée des auto-écoles. Alors que les VTC ne semblent toujours pas trouver de compromis durable face à la colère des chauffeurs de taxis, la startup française 1001Pharmacies a été obligée de suspendre son service de livraison de médicaments à domicile en moins de 24H lancé en avril dernier en région parisienne, suite à la plainte déposée par le CNOP.

Alors que la presse économique (Les Echos, La Tribune ou encore Challenges) tentent d’inscrire l’économie numérique au coeur de leur ligne éditoriale, les chaines de télévision comme M6 ou TF1 testent d’autres pistes de monétisation à long-terme, comme le Media For Equity, comme dans le cas de la startup Sejourning, récemment revendue à eLoue. Sur ce modèle, le « X for Equity » est en train d’être adopté par d’autres professions, comme par exemple les grandes SSII à propos de l’IT for Equity.

Startups et Emploi

Le monde du travail traverse également une période de transformation, avec l’adoption grandissante de nouveaux usages liés à la mobilité. Le travail à distance ne cesse de se démocratiser au sein des grandes entreprises et le coworking apparaît comme une norme pour les jeunes entreprises et les travailleurs indépendants. Le numérique impacte aussi les activités traditionnelles et de nouveaux métiers sont en train d’émerger. Un art de vivre qui a inspiré les projets Startup Villa et The Blue House.

En lançant Azerty Jobs, nous avons justement souhaité donner une place de choix aux offres d’emploi à l’esprit startup. Cet état d’esprit se retrouve également dans BackPack, le kit de survie de l’entrepreneur, dont nous sommes co-éditeur. Bientôt tous nomade grâce à l’économie numérique ?

Chez Maddyness, de nouvelles initiatives et de nouveaux projets vont être lancées en 2015 pour devenir la référence de l’information dans l’écosystème entrepreneurial français. Nous sommes fiers du chemin parcouru et vous remercions de nous avoir accompagné jusque-là. Maddyness va (presque) devenir grand cette année et nous comptons sur vous pour continuer à entreprendre et garder votre folie. Envie de découvrir nos services et de bien commencer l’année en nous découvrant davantage ?


Via Jacques Le Bris
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Bilan du CES 2015 pour @LaFrenchTech

Bilan du CES 2015 pour @LaFrenchTech | E-Learning-Inclusivo (Mashup) | Scoop.it

Avec 160 entreprises, la France est le premier pays représenté en Europe !

Le Consumer Electronics Show de Las Vegas est un rendez-vous incontournable pour tous les acteurs de l’électronique grand public. La French Tech se devait d’affirmer sa présence sur le salon qui a vu émerger toutes les innovations de rupture du secteur depuis près de 50 ans et fixe chaque année les tendances technologiques à venir.

La French Tech se démarque par la diversité de ses entreprises.

De grands groupes tournés vers leur transformation digitale, dont certains exposent pour la première fois : La Poste, L’Oréal, Pernod Ricard, Valéo, etc.De grosses start-up déjà renommées sur le CES : Withings, Netatmo, Sen.se, Parrot…66 start-up émergentes sur l’Eureka Park, l’espace qui leur est dédié au CES : la French Tech y représente donc près d’une start-up sur 4 !

Les pouvoirs publics et les institutionnels mobilisés pour encourager et soutenir la forte présence française.

Ainsi, Emmanuel Macron, le ministre de l’Economie, de l’Industrie et du Numérique, Axelle Lemaire, la Secrétaire d’Etat au Numérique et Pierre Gattaz, le Président du MEDEF font le déplacement au CES pour faire mieux connaitre la dynamique entrepreneuriale française et soutenir la French Tech.

Un dispositif global pour coordonner et amplifier la visibilité internationale des start-up de la French Tech
Plusieurs délégations fédérées sous la bannière French Tech :

Pour la deuxième année consécutive, UBIFRANCE organise le "French Tech Pavilion", le pavillon national officiel de la French Tech sur le CES.Mon Territoire Numérique, en partenariat avec les Régions Basse-Normandie, Auvergne et Languedoc-Roussillon, ainsi que Minalogic, accompagnent également des start-up de la French Tech exposante au CES.

5 startups distinguées au CES innovation Awards

Il y a quelques semaines avaient lieu les CES Innovation Awards, une compétition organisée par le CES, qui récompense les produits les plus innovants parmi ceux qui seront exposés lors de la conférence de janvier. Les vainqueurs auront l'occasion d'être mis en avant sur l'Innovation Awards Showcase lors de l'événement. A cette occasion, 5 entreprises de la French Tech ont vu leurs produits primés !

 


Via Philippe J DEWOST
Philippe J DEWOST's curator insight, January 21, 2015 10:11 AM

160 entreprises, 23 awards donc 5 CES Innovation Awards pour @giroptic , CitiZen Sciences , @withings , @MeetLima , @VoxTok

Dossier de presse complet (y.c couverture de presse)

Bravo à tous les représentants de @LaFrenchTech !