Comment repenser l’environnement pour compenser les effets potentiellement pathogènes de la vie en ville ?
Le travail sur la morphologie urbaine, le réaménagement des espaces publics, l’invention de nouvelles formes architecturales, la construction d’infrastructures et le développement de nouveaux procédés techniques ne pourraient-ils pas permettre à la ville de devenir « productrice de santé » ?
L''enjeu que soulève la question des villes productrices de santé est aussi celui de l’habitant. Quelle place lui revient-il, quel rôle lui est dévolu dès lors que l’on sort d’une conception strictement individuelle de la santé pour prendre en compte la dimension collective de l’influence de l’environnement sur la santé de chaque individu ?