À l’occasion des dix ans de l’Accord de Paris, reportage à Malaunay, commune pionnière de la transition écologique. Alors que les politiques climatiques et environnementales sont de plus en plus critiquées, cette commune de Seine-Maritime veut montrer qu’une transition écologique est possible.

Située dans l’Est de la France, la ville de Besançon est connue pour ses espaces verts et sa qualité de vie. Aujourd’hui, elle mise sur son réseau de chaleur par quartier créé dans les années 1960. Alimenté en grande partie par des sources d’énergies renouvelables et par la récupération de chaleur fatale, ce réseau constitue le cœur de la stratégie ambitieuse de décarbonation de Besançon, conciliant responsabilité écologique, résilience économique et inclusion.

Le 20 décembre, la métropole de Lille (qui comprend également les villes de Roubaix et de Tourcoing) a annoncé avoir adopté son nouveau schéma directeur des réseaux de chaleur et de froid (SDRCF). Ce document, dont la publication a été rendue obligatoire tous les dix ans par les lois Transition écologique pour une croissance verte de 2015 et Énergie-climat de 2019, fixe des objectifs de développement de ces réseaux à l'horizon 2035.

Les énergies renouvelables ont pour la première fois couvert plus de la moitié de la production d'électricité en Allemagne en 2023, alors que la part du charbon, en recul, représente encore un quart du bouquet énergétique, selon un bilan publié mercredi.

La part de l'électricité produite à partir des renouvelables s'est établie à 55 % l'an dernier, après 48,42 % en 2022, a indiqué le régulateur allemand de l'énergie (Bundesnetzagentur) dans un communiqué.

La Ville de Clermont-Ferrand (Puy-de-Dôme) a inauguré le 7 septembre le centre sportif Edith-Tavert qui participe à la mutation du quartier Saint-Jean. Réalisé dans le cadre d'un marché public global de performance par Bouygues Bâtiment Sud-Est avec l'agence CRR Architecture, l'équipement sportif se distingue par ses performances environnementales avec l'obtention des labels BBCA niveau excellence et E+C- niveau E4C2.

La ville d’Ivry-sur-Seine, au sud-est de Paris, s’est fixé un objectif ambitieux : atteindre la neutralité pour le climat d’ici 2050. Sa stratégie repose principalement sur la décarbonation de ses réseaux de chauffage urbain. Les infrastructures, dont les bâtiments publics, les logements privés, et le parc de logements sociaux, sont les plus grandes sources d’émissions de gaz à effet de serre de la ville, représentant environ 35 % de ses émissions totales.

Localtis : Avec 820 millions d’euros de dotation l’an dernier, le Fonds chaleur a financé près de 1.350 installations, produisant 3,6 TWh/an de chaleur renouvelable et de récupération, selon le bilan dressé ce 17 juillet par l’Ademe, qui en assure la gestion.

France Chaleur Urbaine vient de mettre en ligne un outil qui mesure, en instantané, le potentiel d’une commune en vue de la construction d’un réseau de chaleur.

La filière forêt bois des Hauts-de-France se distingue des autres régions françaises par différents critères : la surface forestière, les essences plantées et la typologie des itinéraires sylvicoles. En termes de taux de boisement, les Hauts-de-France sont en effet classés 11e sur les 13 régions administratives, mais occupent la première place française concernant la récolte en peuplier.

Si la récolte forestière a bien et avant tout pour vocation de produire du bois d’œuvre (pour la construction, la menuiserie, l’ameublement…), la production de ce bois d’œuvre produira également du bois énergie.

La région Nouvelle-Aquitaine veut tester la remotorisation en bioGNV de rames roulant sur des lignes non électrifiées. Elle met le paquet sur la filière locale de production par méthanisation de déchets organiques agricoles, agro­alimentaires, de biodéchets…