D'après les données de la NASA, le trou d'ozone qui se reforme tous les ans au-dessus de l'Antarctique a atteint son pic de superficie le 16 septembre avec 24 millions de kilomètres carrés, soit un chiffre supérieur à celui de 2012 et de 2010, mais inférieur à celui de 2011.
D’après une nouvelle étude, les océans du monde se réchauffent plus vite aujourd’hui qu’il y a 10 000 ans, suggérant que la capacité des eaux mondiales à absorber le réchauffement climatique pourrait être plus importante que ce que l’on soupçonnait.
Les profondeurs de l’océan pourraient stocker davantage de chaleur générée par le réchauffement climatique que ce que l’on soupçonnait précédemment, ....
Après la publication du rapport alarmiste du Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat (GIEC) sur le réchauffement climatique, les réactions et les appels à réagir de façon prioritaire ont afflué. Dans son nouveau rapport, adopté vendredi 27 septembre à Stockholm, le GIEC a en effet revu à la hausse l'augmentation du niveau des mers, qui devrait être de 26 à 82 cm d'ici à 2100. En outre, la température moyenne de la Terre devrait encore grimper de 0,3 à 4,8 °C d'ici à 2100, selon ce nouvel état des lieux scientifique sur le changement climatique, qui avance qu'il est désormais "extrêmement probable" que l'influence humaine soit la principale cause du réchauffement. (...)
Le Sahel est soumis à des sécheresses dramatiques provoquant des famines endémiques depuis plus d’une quarantaine d’années. Durant 20 ans, la surexploitation des terres agricoles et la mauvaise gestion des ressources d’eau étaient pointées du doigt. Or le principal responsable serait la pollution atmosphérique générée par l’hémisphère nord...
Plus de la moitié des espèces végétales et d'un tiers des espèces animales les plus communes devraient voir l'espace propice à leur existence réduit de moitié d'ici 2080 à cause du réchauffement climatique si la tendance actuelle se poursuit, selon une étude publiée dimanche.
Les émissions de gaz à effet de serre (GES), en augmentation, mettent la planète sur la trajectoire d'un réchauffement d'environ 4°C d'ici la fin du siècle, par rapport aux niveaux pré-industriels.
Pour une rare fois au cours des dernières années, le Canada a été félicité par la communauté internationale pour son leadership dans l'élaboration d'une politique environnementale visant à protéger les eaux de l'Arctique.
Des documents dont La Presse Canadienne a obtenu copie démontrent qu'Ottawa fait beaucoup de pressions pour que soit déclaré illégal le déversement d'eaux usées ou de déchets sur tout le Territoire du Nord du Canada.
Les paysages du Grand Nord seront de plus en plus bouleversés par le réchauffement climatique. L'un des effets pourrait bien être une quantité plus abondante de mercure, un contaminant neurotoxique dont on trouve déjà des concentrations élevées dans la chair de plusieurs animaux de cette région.
es Etats-Unis font déjà les frais des conséquences du changement climatique, selon un rapport commandé par le Congrès qui en pointent notamment les effets sur la santé, l'agriculture, les réserves en eau et les infrastructures.
Une version de travail de l'étude réalisée par le National Climate Assessment a été diffusée vendredi.
On y lit que les modifications du climat observées ces cinquante dernières années "sont dues principalement aux activités humaines, avant tout la combustion d'énergies fossiles", et qu'aucun domaine n'est à l'abri de leurs conséquences.
On sait que d'énormes quantités de méthane sont emprisonnées dans le permafrost (1) des toundras arctiques et sous forme d'hydrates de gaz (2) dans les sédiments marins et que sous l'effet du réchauffement climatique ce méthane peut être libéré dans l'atmosphère. Le méthane étant lui même un puissant gaz à effet de serre (72 fois plus puissant que le CO2 sur les 20 années après son émission), sa libération contribue à augmenter le réchauffement, qui contribue à l'émission d'encore plus de méthane, qui contribue à encore plus de réchauffement et ainsi de suite ; c'est l'emballement climatique, phénomène catastrophique et incontrôlable. Un autre risque d'emballement vient d'être mis en évidence au-dessus des zones arctiques. [Photo Nasa]
Au cours des derniers mois, des hordes de frelons gigantesques ont tué 42 personnes en Chine. Ces insectes effrayants aussi connu sous le nom de Vespa mandarinia ont-ils une chance d'envahir l'Europe à l'instar de leurs cousins, les Vespa velutina ?
Quelles inquiétudes sanitaires l’attaque meurtrière des frelons asiatiques peut-elle engendrer pour les chinois ? (...)
La communauté internationale a commencé à relever ses manches pour bâtir le grand accord sur le climat de 2015 qui doit permettre de contenir le réchauffement à 2°C, un défi colossal voire hors d'atteinte selon certains.
Le cycle de négociations onusiennes qui se tient depuis le 3 juin et jusqu'à vendredi à Bonn a lancé le compte à rebours jusqu'au rendez-vous de Paris où, dans deux ans et demi, doit être adopté l'accord le plus ambitieux jamais conclu sur la lutte contre le changement climatique.
Ce lundi, le CNRS a publié une étude sur le réchauffement climatique en France. Le climat de la France pourrait se réchauffer de 3,8°C d’ici la fin du siècle si rien n’est fait contre les émissions de gaz à effet de serre.
L’étude publiée ce lundi évalue les changements climatiques possibles à partir des données provenant de 25 modèles numériques internationaux. "Selon le scénario le plus sévère, le réchauffement, par rapport au climat présent, serait de 3,8°C en moyenne annuelle à la fin du XXIe siècle, et plus fort en été (5,3°C) qu'en hiver (3°C) », selon le CNRS. Le laboratoire CERFACS, associé au CNRS, estime que seul un scénario comprenant des "mesures très agressives" pour réduire les émissions de CO2 permettrait de limiter la hausse de la température moyenne à 2°C, la cible visée par les négociations internationales sur le climat.
Isolées en plein cœur de l’océan, les îles du Pacifique dépendent étroitement de la pêche pour leur économie et leur sécurité alimentaire. Mais le réchauffement de la planète devrait considérablement diminuer leurs ressources accessibles en poissons au cours des prochaines décennies. C’est ce que révèle, dans la revue “Nature Climate Change”, une étude de l’IRD, du Secrétariat général de la communauté du Pacifique (CPS) et de leurs partenaires français, australiens et américains. D’après les projections climatiques du GIEC, la quantité de poissons des récifs coralliens, essentiels pour l’alimentation des habitants, risque de baisser de 20% d’ici 2050.
Alors que les représentants des pays du monde sont en train de discuter à Doha du traité qui devrait succéder à Kyoto,- qui s'achève fin 2012-, pour que nous arrivions à maîtriser émissions de gaz à effet de serre et réchauffement climatique,on s'aperçoit que le mix des énergies dans le monde a beaucoup évolué depuis les discussions qui avaient conduit au traité de Kyoto et malheureusement pas dans le bon sens.
La suie aurait un impact deux fois plus important que prévu sur le changement climatique. Son pouvoir de réchauffement serait même supérieur à celui du méthane. Pourquoi alors ne pas lutter contre ses émissions pour limiter l'augmentation des températures à l'avenir ?
Les moteurs Diesel, les centrales à charbon et les feux de brousse ont tous un point commun : ils émettent de la suie dans l’atmosphère. Ces particules carbonées ne mesurent que quelques dizaines de nanomètres de diamètre, mais leurs effets sur la santé humaine sont indéniables.
Une révision des estimations d’évolution des températures depuis 1958 à la station Byrd conduit à quasiment doubler la valeur du réchauffement de l’Antarctique occidental en un demi-siècle.
Une équipe américaine vient de présenter un nouveau calcul de l’évolution des températures annuelles moyennes de l’Antarctique occidental – qui comprend la Péninsule antarctique, pointant vers l’Amérique du Sud – et annonce un réchauffement de 2,4 +/- 1,2 °C entre 1957 et 2010, soit une moyenne de 0,44 °C par décennie (avec une augmentation plus forte dans les décennies 1980 et 1990).
Des chercheurs du Danemark, d'Allemagne, des Pays-Bas, de Norvège et de Suède ont démontré que pour l'écosystème balte, le réchauffement climatique pourrait entraîner le développement de prolifération d'algues, en plus du déclenchement de conditions oxygéniques plus faibles.
La prolifération d'algues représente déjà un gros problème dans plusieurs régions baltes, et associée à des conditions de désoxygénation, elle entraîne la perte de toute forme de vie.
Avec le réchauffement climatique, les forêts françaises souffriront rapidement du manque d'eau et devraient régresser dans certaines zones. Ces conclusions proviennent d’observations, de modélisations et d’expérimentations réalisées par un groupe de chercheurs qui ont présenté leurs résultats jeudi 17 novembre. Et selon eux, à l’horizon 2050, les changements du massif forestier français devraient être très profonds.
«Il y a 10 ou 15 ans, on pensait que l’impact du réchauffement climatique serait bénéfique à la forêt.» L’augmentation de la concentration de CO2 dans l’atmosphère laissait présager un impact positif sur la croissance des arbres et un rendement plus important des massifs forestiers. Aujourd’hui, le constat des chercheurs est beaucoup moins optimiste.
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