Une nouvelle étude publiée par une équipe de chercheurs de la NOAA américaine révèle que les polluants atmosphériques émis par la cuisson peuvent représenter près d'un quart des composés organiques volatils d'origine humaine dans les zones urbaines. Les analyses s'appuient sur des mesures effectuées à Las Vegas, où le nombre de restaurants par habitants est l'un des plus élevés des Etats-Unis.
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