« Les corps mis en terre il y a trente ans ont l’air d’avoir été inhumés la semaine dernière [...] C’est comme s’ils avaient mariné dans des produits conservateurs », constate Walter Müller, un entrepeneur de pompes funèbres allemands. Dans ce pays, 40 cimetières déjà n’acceptent plus de nouvelles inhumations car les endroits occupés par des sépultures plus anciennes ne peuvent dés lors se libérer.
(...)