Vie provinciale

"Parmi les 3 lauréats on trouve la Ferme des Monts à Nalinnes qui remporte la médaille de bronze. Pour la cinquième année consécutive, la Province de Hainaut (Hainaut Développement, l’École de Fromagerie de la Ferme Pilote : le CARAH et le Centre d’Excellence des Métiers de l’Hôtellerie, à Saint-Ghislain) a organisé son “Concours de beurre de ferme au lait cru non salé “ afin de mettre en lumière le produit fermier dont la recette se transmet de génération en génération : le beurre ! Pour rappel, ce concours s’inscrit dans le cadre d’une concertation des provinces wallonnes. À l’initiative de la Province de Liège, ce concours vise la promotion du beurre fermier non salé au lait cru, produit dans les provinces de Liège, du Hainaut, de Namur et, du Luxembourg. Chaque province organise son propre concours qui élira 3 lauréats, lesquels seront ensuite directement sélectionnés pour participer à la finale du concours interprovinciale, qui se déroulera début septembre 2023. Parmi les 19 fermes hainuyères en lice cette année, le jury a désigné, sur base de critères d’appréciation bien précis, les 3 meilleurs beurres de ferme au lait cru non salé du Hainaut :  Médaille d’Or : la Ferme Complices et Délices, de Maxime Duret, située à Graty (Silly) - https://hainaut-terredegouts.be/producteur/complices-et-delices/
Médaille d’Argent : la Ferme de la Panneterie, de Marina Boddez, située à Feluy - https://hainaut-terredegouts.be/producteur/ferme-de-la-panneterie/  Médaille de Bronze : la Ferme des Monts, de Valentin Roulin, située à Nalinnes - https://hainaut-terredegouts.be/producteur/ferme-des-monts-2/. Ces 3 fermes lauréates du Concours hainuyer concourront à la grande finale interprovinciale qui aura lieu le samedi 19 août 2023 au Château de Monceau-sur-Sambre".

 La troisième édition des rendez-vous en terre agricole touche à sa fin. Cette initiative, soutenue par Hainaut Développement, permet au public de mieux connaître le métier d'agriculteur. En tout, ce sont trente activités qui ont été programmées durant le mois de mai. Dimanche, une balade à vélo était organisée à Braine-le-Comte. Le parcours a conduit les participants à la découverte de trois exploitations agricoles. L'occasion de renouer un lien qui s'est peu à peu perdu avec les agriculteurs .

"Aucun élément ne permet de conclure à une illégalité. La Province de Hainaut respecte bien les dispositions en matière d'octroi de subventions. Les conclusions de l’audit sont sans appel.  Serge Hustache, président du Collège provincial. Le Ministre Collignon vient de transmettre au Collège provincial les résultats de l'audit dont il avait chargé son administration le lendemain de l'émission #investigation de la RTBF. Le dossier des Asbl provinciales et de leur prétendu « dysfonctionnement » avait fait grand bruit au lendemain de la diffusion du reportage, le 9 février 2022, dans le cadre de l’émission #Investigation. A tel point que la Commission des Pouvoirs locaux s’était longuement emparée du sujet et que le Ministre de tutelle, Christophe Collignon, avait chargé dès le lendemain et « sans délai » son administration d’une mission d’audit sur les ASBL provinciales, leur situation comptable et leur cadastre. Seize mois plus tard, le Collège provincial du Hainaut vient d’être informé du résultat de cette enquête. Il est limpide : « Après analyse de votre dossier », écrit le ministre, aucun élément ne me permet de conclure à une illégalité. La Province de Hainaut respecte bien les dispositions en matière d’octroi des subventions ». A l’époque de la diffusion de ce reportage déjà, la Province de Hainaut avait déploré le manque de rigueur des informations livrées au public. Alors que ce travail journalistique annonçait 94 Asbl, le Collège provincial avait clairement rectifié : la Province n’a jamais compté 94 Asbl. Depuis 2018, elle s’est engagée dans une réduction du nombre de ces structures en passant de… 37 à 13.
« Ces Asbl ne sont pas des ‘Etats dans l’Etat’ », avait précisé le Collège provincial. « Elles sont soumises à des contrats de gestion et des audits indépendants. Celles qui ont été maintenues l’ont été pour gérer des subsides nécessaires à la conduite des projets sociaux ou culturels ». Soucieuse de transparence, la Province de Hainaut avait rapidement répondu aux sollicitations des auditeurs de la Wallonie. Dès la fin mars 2022, ceux-ci disposaient de volumineux dossiers consacrés à la gestion des Asbl et singulièrement aux relations entre la Province de Hainaut et les Asbl Teralis et Vestric.  L’audit de l’administration wallonne a porté sur l’ensemble des décisions provinciales concernant les Asbl, leurs comptes, les contrats de gestion passés avec chacune d’elles, les biens et personnel mis à disposition mais également de l’adéquation entre les actes posés par la Province et pas moins de 15 articles du Code de la Démocratie locale. Au final, cette analyse a établi que le ministre n’avait « aucun acte à appeler sur base de l’instruction réalisée, d’aucune forme que ce soit, et que selon les éléments dont on dispose (…) il n’a pas été trouvé d’actes susceptibles de constituer une illégalité ».  Ceci clarifié, il est à relever que, comme le souligne le ministre, « la Province de Hainaut n’a pas attendu la diffusion du reportage de la RTBF pour s’interroger sur l’avenir des Asbl provinciales. Elle a lancé un processus de rationalisation avec l’accompagnement d’un service audit interne qui est une instance de contrôle régie par un comité d’audit indépendant ». « On peut comprendre », ajoute-t-il, « qu’une pareille réorganisation prenne un peu de temps ». La Province de Hainaut s’efforce de mener ces opérations de dissolutions d’Asbl, de fusions et de transformations en régies ordinaires, dans le respect de son personnel et des législations, avec le souci de son autonomie organisationnelle. En ouverture de l’audit, le ministre se réservait « le droit de prendre toute mesure d’annulation sur les actes et délibérations contrevenant à la légalité et à l’intérêt général ». Vu ce constat de bonne gestion, ce ne sera pas le cas.

"Le magazine Investigations avait soulevé plusieurs éléments, tous étudiés par les auditeurs wallons. En février 2022, la RTBF diffusait un nouveau numéro d’Investigation, titré “Provinces, le grand ménage.” L’émission avait suscité bon nombre de réactions et indigné les autorités provinciales qui estimaient avoir été “lynchées” et victimes “de propos diffamatoires, de raccourcis scandaleux” ou encore “d’une pseudo-investigation”. Des pratiques quelque peu étonnantes y étaient dénoncées (agences de voyages provinciales, appartements à la mer appartenant aux provinces, etc.). Si bien que le ministre des pouvoirs locaux, Christophe Collignon, avait ordonné un audit au sein des asbl concernées. Il avait également réclamé des provinces qu’elles envoient le dernier état du cadastre reprenant l’ensemble des asbl créées par les provinces ou subsidiées par ces dernières soit à hauteur de plus de 50 000 euros de façon récurrente, soit avec mise à disposition de personnel provincial. Enfin, la situation comptable et les provisions et réserves dont disposent ces asbl étaient également demandés. Après plus d’un an d’analyse, les résultats de l’audit viennent de tomber. Une collaboration avec les auditeurs wallons
”Aucun élément ne permet de conclure à une illégalité. La Province de Hainaut respecte bien les dispositions en matière d’octroi de subventions”, communique cette dernière ce mardi, tout en rappelant que “l’inexactitude de certaines informations” avait déjà été relevées à la suite de la parution de l’enquête. “Alors que ce travail journalistique annonçait 94 Asbl, le Collège provincial avait clairement rectifié : la Province n’a jamais compté 94 Asbl. Depuis 2018, elle s’est engagée dans une réduction du nombre de ces structures en passant de… 37 à 13.” Et de poursuivre : “Ces Asbl ne sont pas des “États dans l’État”. Elles sont soumises à des contrats de gestion et des audits indépendants. Celles qui ont été maintenues l’ont été pour gérer des subsides nécessaires à la conduite des projets sociaux ou culturels.” Désireuse de permettre la transparence sur les faits dénoncés, la province avait collaboré avec les auditeurs de la Wallonie. Dès la fin mars 2022, ceux-ci disposaient de volumineux dossiers consacrés à la gestion des Asbl et singulièrement aux relations entre la Province de Hainaut et les Asbl Teralis et Vestric (pour rappel, cette dernière n’est pas provinciale). “L’audit de l’administration wallonne a porté sur l’ensemble des décisions provinciales concernant les Asbl, leurs comptes, les contrats de gestion passés avec chacune d’elles, les biens et personnel mis à disposition mais également de l’adéquation entre les actes posés par la Province et pas moins de 15 articles du Code de la Démocratie locale. Au final, cette analyse a établi que le ministre n’avait “aucun acte à appeler sur base de l’instruction réalisée, d’aucune forme que ce soit, et que selon les éléments dont on dispose, il n’a pas été trouvé d’actes susceptibles de constituer une illégalité.” Rationaliser les asbl. 
Le seul grief repris dans la missive ministérielle concerne l’absence de rapport annuel des conseillers provinciaux siégeant dans les Asbl. Une obligation désormais respectée, comme le souligne d’ailleurs l’administration wallonne. Le Conseil provincial a en effet validé ces rapports en sa séance du 20 décembre 2022 et s’est engagé à le faire chaque année. “La Province de Hainaut n’a pas attendu la diffusion du reportage de la RTBF pour s’interroger sur l’avenir des Asbl provinciales. Elle a lancé un processus de rationalisation avec l’accompagnement d’un service audit interne qui est une instance de contrôle régie par un comité d’audit indépendant.” Un travail qui prend du temps. “La Province de Hainaut s’efforce de mener ces opérations de dissolutions d’Asbl, de fusions et de transformations en régies ordinaires, dans le respect de son personnel et des législations, avec le souci de son autonomie organisationnelle”, conclut encore la province.

"En ce mois de mai, la Province de Hainaut invite à la découverte de nos agriculteurs et de leur savoir-faire. La Bergerie des Collines sera l’un des points d’intérêt de ce week-end. "En 2019, un groupe de travail constitué, en grande partie, d’agricultrices et d’agriculteurs hainuyers, s’est constitué, explique Hainaut Développement. Ceux-ci ont émis le besoin de renouer des liens avec les citoyens consommateurs, mais aussi d’échanger entre eux. Leur souhait était d’ouvrir les portes de leur ferme afin de présenter leur métier en toute transparence, mais aussi de favoriser l’image de marque et les savoir-faire en agriculture." Le programme est riche et varié: dégustations, portes ouvertes à la ferme, balades de ferme en ferme, balades à la découverte de nos paysages agricoles, marchés fermiers, découverte d’animaux de la ferme, visites de champs, ciné-débats, pièce de théâtre… Les premiers rendez-vous en région d’Ath et au Pays des Collines
En Wallonie picarde, les premières rencontrent se tiendront dès ce week-end, et particulièrement dans la région d’Ath et du Pays des Collines". www.hainaut-developpement.be/rendez-vous-en-terre-agricole-2023

"Des travaux, destinés à lutter contre les inondations, ont été réalisés sur le ruisseau le Buzet à Pont-à-Celles. Ils ont été financés par la Province de Hainaut. Les travaux ont duré plusieurs mois. Entamés à l’automne 2022, le chantier est aujourd’hui achevé. Ces travaux visaient à permettre une meilleure capacité hydraulique du ruisseau, pour limiter au maximum les risques d’inondations pour les citoyens. Un travail d’entretien et de nettoyage en profondeur du cours d’eau provincial a été effectué principalement par l’enlèvement d’entraves, d’atterrissements, ou encore par l’abattage d’arbres dits problématiques. Ces travaux, qui s’inscrivent dans le projet Naquia, ont été entièrement financés par la Province de Hainaut. Coût de l’opération : 67.000 euros. La société en charge d’effectuer ces travaux est l’entreprise ETH « Entreprise de travaux hydrauliques », basée à Jodoigne. En amont, le Buzet est classé en 3e catégorie. Il passe, par conséquent, non plus sous gestion provinciale mais sous gestion communale. Dans son rôle supracommunal et en qualité d’auteur de projets, Hainaut Ingénierie Technique a également effectué, à la demande de la Commune de Pont-à-Celles, l’entretien de cette partie du Buzet. 
Au total, ce sont près de 6 km de cours d’eau, qui ont été entretenus afin de réduire les risques d’inondations".

"Le samedi 29 avril à partir de 9h et jusqu’à 16h, l’Académie provinciale de Police de Jurbise ouvrira ses portes, le long de la route d’Ath entre les numéros 25 et 35. Policier, secouriste, ambulancier, pompier, fonctionnaire, appui psychologique, gestion de crise... Vous pourrez retrouver toutes les informations pratiques sur les métiers de la sécurité ainsi que des démonstrations et des ateliers. Vous pourrez assister à des exercices d’extinction de feu, de désincarcération, de manipulation de lances d’incendie, de sauvetage... Et rencontrer des maîtres-chiens de la police. 
Une voiture-tonneau sera sur place. Vous pourrez aussi faire graver votre vélo, en apprendre plus sur la réanimation cardio-pulmonaire... Et également participer à des séances de sophrologie et même d’hypnose. Le service de recrutement et de sélection de la police fédérale sera présent ainsi que différentes zones de police et zones de secours. Sans oublier tous les métiers de la défense". Pour découvrir le programme complet : http://ipfh.hainaut.be

"Balade à vélo, dégustations des produits, visites des exploitations, marchés, expositions photos ou encore ciné-débat : ce sont les activités que cinq de nos fermes ont prévu pour vous au mois de mai. C’est la troisième édition cette année de « Rendez-vous en terre agricole », organisé par Hainaut Développement. Des balades sont aussi prévues. - « L’objectif est de favoriser l’image de marque et le savoir-faire agricole de notre région. En plus, les agriculteurs souhaitent vraiment renouer un lien avec les citoyens et les consommateurs de leurs produits » explique la députée provinciale en charge de l’agriculture, Fabienne Devilers. À Mons-Borinage. Chez nous, ce sont donc cinq fermes qui ont rejoint le projet. Le Parc naturel des Hauts-Pays organisera notamment, à Audregnies, un marché gourmand et une balade champêtre en collaboration avec la brasserie de l’Abbaye des Rocs à Quiévrain. « Beaucoup d’artisans locaux seront présents et de nombreux produits locaux seront disponibles. Il y aura aussi des musiciens, un lunch barbecue et une grande balade de 6 km qui partira de l’abbaye », détaille Camille Lefebvre, directrice du Parc naturel des Hauts-Pays. C'est local, alimentaire et durable! «Cœur du Hainaut» a choisi de soutenir 6 projets: 4 sont issus de Mons-Borinage
L’agriculture lensoise sera représentée par deux institutions. La Ferme du Parc lance une activité pour les « minis », les enfants de 1 à 3 ans. Des activités autour du cheval de trait seront aussi organisées...."

"Ce mercredi matin, la Province de Hainaut organisait une conférence de presse pour présenter l'ensemble des activités proposées pour la troisième édition des "Rendez-vous en terre agricole“. Si vous ne connaissez pas le principe, chaque année, ces rendez-vous permettent au grand-public de découvrir et comprendre les différentes professions de l'agriculture, le tout dans une ambiance ludique et récréative. Redorer l'image de l'agriculture, c'est l'objectif des rendez-vous en terre agricole. La troisième édition de ces rendez-vous verra le jour au mois de mai prochain, un projet mis en place à la demande des agriculteurs.
Durant tout le mois de mai, il y aura donc énormément d'activités en tout genre en passant de simples portes-ouvertes à des activités plus techniques comme des débats ou des découvertes d'animaux. Mais pour redorer l'image de l'agriculture, les artisans l'ont bien compris, ils devront avant-tout séduire les futures générations. Mais les rendez-vous en terre agricole ne servent pas uniquement à sensibiliser le grand-public puisque cet événement permet également aux différents artisans et agriculteurs de collaborer pour proposer des activités enrichissantes et divertissantes".

"Depuis février dernier, l’Espace Public Numérique de la Bibliothèque centrale du Hainaut accueille un informaticien public. Toutes les demi-heures, celui-ci accueille une personne qui rencontre des problèmes d’utilisation avec son ordinateur. Le service est gratuit et est organisé grâce à un partenariat avec le Centre Indigo. Vous vous trouvez soudain face à votre ordinateur qui ne répond plus comme il devrait, vous n’arrivez plus à faire une opération, réaliser un power point parce que quelque chose bloque. Que faire ? Pas de souci, l’informaticien public est là, du moins deux vendredis par mois au Gazomètre, pour vous sortir de l’impasse. Bien sûr, il ne s’agit pas de réparer votre ordinateur s’il est en panne mais bien de solutionner un problème informatique classique. "Je ne suis pas informaticien, j'ai des connaissance numériques. Ce n'est effectivement pas de la technique. Ici j'ai décidé de prendre deux personnes par heure. ..Les demandes des plus âgés se faisaient de plus en plus courantes et une solution a donc été trouvée pour les prendre en charge. Deux séances sont programmées au Gazomètre les 7 et 21 avril prochain de 13 à 16h sur rendez-vous attention. Ensuite, le site du Gazomètre sera fermé pour terminer le déménagement de tous les services de la Bibliothèque provinciale du Hainaut, jusque fin juin, les séances devraient se poursuivre au Centre Indigo. Il faut savoir qu’en 2022, l’Espace Public Numérique du gazomètre a accueilli 630 visiteurs. Il est équipé de 27 postes accessibles du lundi au samedi". https://bibliotheques.hainaut.be/reseau-louvierois-de-lecture-publique-province-epn

"Lundi soir, lors du conseil communal de Mons, tous les partis ont voté la motion de soutien à la demande de nouvelle habilitation de l’UMons pour organiser un master de médecine, à l’exception du groupe Mons en Mieux qui s’est abstenu. Pour Georges-Louis Bouchez, chef de ce groupe, l’Université de Mons doit miser sur d’autres pistes pour se développer : "Elle doit se spécialiser dans des secteurs nouveaux en matière d’intelligence artificielle, par exemple, ou d’économie circulaire. Dupliquer ce qui existe n’amène aucune plus-value, surtout dans une discipline contingentée comme la médecine." Impact sur la pénurie de médecins et la santé publique ? Le Conseil provincial se tenait le même jour. Il a aussi marqué son soutien au cycle complet des études de médecine à Mons. Le MR, partenaire de la majorité, s’est également abstenu. Le conseil provincial estime que l’ouverture d’un master en médecine à Mons réduirait la pénurie de médecins dans la province, et permettrait également aux jeunes Hainuyers inscrits dans ces études de ne plus devoir se loger à Bruxelles ou à Liège, les deux seules villes francophones qui accueillent à l’heure actuelle des masters en médecine. La motion appuie aussi sa demande sur les mauvaises statistiques sanitaires du Hainaut par rapport aux autres provinces, notamment en termes d’espérance de vie, d’augmentation constante du diabète et le plus faible dépistage du cancer....3

"Depuis plusieurs années, la Province du Hainaut a lancé Naqia son programme de gestion de ses cours d’eau. Un programme qui porte le nom d’une ancienne reine de Babylone qui aurait construit les premiers ouvrages pour protéger sa ville des inondations. C’est justement le rôle de cette cellule qui a construit de nombreux ouvrages pour protéger les riverains de la montée des eaux.  La commune de Soignies a connu de nombreux épisodes d’inondations. Les habitants de Soignies profitent d’une balade autour de l’étang de la Cafenière. Cet étang, alimenté par un cours d’eau a régulièrement débordé ces dernières années provoquant des inondations dans le centre de la commune. L’urbanisation de la ville et les effets du réchauffement climatique ont poussé la province du Hainaut à agir. Elle a construit, en amont de l’étang, une zone d’immersion temporaire. Un petit barrage, contrôlé par un capteur électronique, a été installé pour réguler le débit. Il est capable de retenir jusqu’à 32.000 mètres cubes d’eau en cas d’épisodes de pluies intenses.  Une vingtaine d’ouvrages ont été construits.  La construction d’un barrage permet de retenir plus de 32.000 mètres cubes d’eau . La province a investi 350.000 euros de budget. Après 6 mois de travaux, l’ouvrage est opérationnel à l’été 2021. Pour Benjamin Lenglet, directeur du bureau d’études Hainaut ingénierie Technique, il y a eu une véritable prise de conscience de la Province : "après les inondations de 2005, 2008, les autorités se sont mises autour de la table pour prendre ce problème à bras-le-corps et y consacrer le temps, les moyens humains et financiers nécessaires". En 13 ans, le Hainaut a investi 55 millions d’euros pour protéger les riverains des inondations..."

"Le conseil provincial du Hainaut a adopté mardi une motion de soutien à la demande de nouvelle habilitation de l'UMons pour organiser un master de médecine. Le texte a été approuvé par les groupes PS, Ecolo, Engagés et PTB de l'assemblée. Les conseillers MR se sont, eux, abstenus. Le conseil provincial estime que l'ouverture d'un master en médecine à Mons réduirait la pénurie de médecins dans la province, et permettrait également aux jeunes Hainuyers inscrits dans ces études de ne plus devoir se loger à Bruxelles ou à Liège, les deux seules villes francophones qui accueillent à l'heure actuelle des masters en médecine. La motion appuie aussi sa demande sur les mauvaises statistiques sanitaires du Hainaut par rapport aux autres provinces, notamment en termes d'espérance de vie, d'augmentation constante du diabète et le plus faible dépistage du cancer. La demande d'habilitation de l'UMons divise depuis le début du mois dernier le gouvernement de la Fédération Wallonie-Bruxelles, appelé à lui donner son feu vert. Le projet devrait à nouveau être discuté ce jeudi en réunion du gouvernement".

"Trois lauréats seront retenus à son issue et participeront au concours interprovincial au début du mois de septembre. C’est un produit consommé au quotidien par de nombreux ménages et pourtant, tous ne se valent pas. La Province de Hainaut (Hainaut (Hainaut Développement, l’École de Fromagerie de la Ferme Pilote : le CARAH et le Centre d’Excellence des Métiers de l’Hôtellerie, à Saint-Ghislain) a de ce fait décidé de valoriser les produits de qualité en organisant, pour la cinquième année consécutive, son “concours de beurre de ferme au lait cru non salé.” Objectif, mettre en lumière un produit de ferme dans la recette se transmet de génération en génération mais aussi permettre aux fermes participantes d’améliorer leur notoriété, de faire reconnaître la qualité de leur production, de rencontrer des pairs et de promouvoir un savoir-faire local si recherché de nos jours. Le volet hainuyer de ce concours sera organisé ce vendredi 26 mai à Saint-Ghislain, au sein du Centre d’Excellence des métiers de l’Hôtellerie. Concrètement, chaque province participante (Hainaut, Liège, Namur, Luxembourg) organise son propre concours. “Il élira trois lauréats, lesquels seront ensuite directement sélectionnés pour participer à la finale du concours interprovinciale qui se déroulera début septembre”, précise-t-on du côté de la Province de Hainaut. 
Conférence de presse, identification des produits lauréats, parutions dans les médias (presse, réseaux sociaux, sites internet,…),… Le grand gagnant pourra être fier de son talent et de la qualité de son produit". 

"L'audit des ASBL provinciales ordonné par le ministre des Pouvoirs locaux, Christophe Collignon, après la diffusion de l'émission de la RTBF "Investigation" consacrée au 'grand ménage des provinces', n'a pas mis en lumière d'illégalités pouvant être remise en cause par la tutelle, a indiqué ce dernier mercredi, confirmant les déclarations faites la veille par le Conseil provincial du Hainaut. Cette intervention s'inscrivait dans les strictes limites des pouvoirs de tutelle qui sont conférés au ministre, le rapport d'audit "ne pouvant porter sur l'opportunité des missions provinciales ou sur les modalités de leur mise en œuvre", a précisé Christophe Collignon (PS). "Selon les éléments recueillis et dans le cadre des analyses opérées, les résultats de l'audit n'ont pas donné lieu à la mise en avant d'actes susceptibles de constituer une illégalité et pouvant dès lors être remis en cause par la tutelle. Seul un défaut de suivi/rapport annuel des délégués provinciaux a été relevé et solutionné entretemps par deux Provinces spécifiquement concernées", a-t-il ajouté. Il a toutefois été rappelé à toutes les provinces le cadre juridique impératif en matière d'ASBL provinciales et de subventionnement de celles-ci, a poursuivi le ministre en rappelant qu'une réorganisation de ces ASBL est en cours, ce qui pourrait conduire à la suppression de certaines activités. Dans ce cadre, "il est essentiel que chaque province réalise le screening des compétences et des actions qu'elle mène afin d'évaluer quel serait le niveau de pouvoir le plus approprié", a conclu Christophe Collignon". (Belga)

"La commune de Colfontaine a acheté 25 mosaïcultures aux enchères. Elles avaient été mises en vente par la Province de Hainaut. Certaines des œuvres sont bien connues du grand public (des sculptures végétales qui représentent des objets, des symboles, des animaux ou des personnages). Ce n’est pas une surprise, le Département des espaces verts (DEV) de la province est reconnu à travers le monde pour ses talents en mosaïculture. Les mains vertes hennuyères ont notamment remporté une médaille d’or lors d’un concours au Québec en 2013. Et les œuvres de la province ont déjà été exposées aux quatre coins du monde, jusqu’au Japon. Il y en aura pour tous les goûts. Certaines sculptures ont un lien avec Colfontaine, comme une immense tête de Vincent Van Gogh, le peintre ayant vécu à Wasmes. Il y a aussi une bottine géante et une chaise géante, qui font référence à deux œuvres du peintre. D’autres massifs représentent des animaux. On retrouve notamment un caribou, un papillon, un pélican, un hibou… Des mosaïcultures sont aussi plus imagées comme un dragon, un Inuit, un saxophone… Vous avez peut-être déjà admiré ces œuvres puisque certaines d’entre elles étaient exposées à Pairi Daiza. D’autres ont été utilisées à Mons en 2015 lorsqu’un labyrinthe de 7.500 tournesols avait été constitué sur la Grand’Place, en hommage à Van Gogh. « Ces mosaïcultures renforceront encore un peu plus la qualité des espaces verts de notre commune qui font la fierté de nos citoyens », conclut la commune".

"Dans le cadre des Rendez-vous en terre agricole, elle organisera en effet des visites guidées de sa brasserie mais également un marché des producteurs et artisans locaux. En plus de l’aspect gastronomique de l’événement, les visiteurs pourront également retracer l’histoire de Moneuse, brigand notoire de la région. 
C’est en effet dans le cadre des rendez-vous en terre agricole que l’abbaye des Rocs ouvrira ses portes. Le parc naturel des Hauts-Pays a en effet collaboré avec la brasserie pour proposer un rendez-vous unique aux citoyens. “Au menu de la journée, les visiteurs pourront retrouver un marché des producteurs et des artisans, des visites de la brasserie des Rocs, une balade sur les traces de Moneuse ou encore des animations pour petits et grands. Ils seront également emmenés à travers la campagne d’Audregnies”, indique la Province de Hainaut.  Soucieuse de soutenir et d’accompagner les agriculteurs, Hainaut Développement avait mis en place, en 2019, un groupe de travail constitué, en grande majorité, d’agricultrices et d’agriculteurs hainuyers afin de répondre au mieux à leurs attentes. Ils ont notamment émis le besoin de renouer les liens avec les citoyens mais aussi d’échanger entre pairs sur des sujets propres à leur activité. Leur souhait était donc d’ouvrir les portes de leur ferme afin de présenter leur métier en toute transparence. C’est pourquoi Hainaut Développement organise depuis 2021, les “Rendez-vous en terre agricole” durant tout le mois de mai, en collaboration avec les fermes souhaitant y participer. Cette année, plus de 30 activités sont organisées tout au long du mois de mai"

"Les agriculteurs et leur savoir-faire seront à l’honneur tout au long de ce mois de mai. La Province de Hainaut a en effet décidé d’organiser pas moins de 30 activités à travers le Hainaut pour permettre aux agriculteurs de faire découvrir leur métier mais également échanger avec leur tiers. Parmi les participants, la ferme Pype-Lievens de Montignies-sur-Roc proposera une découverte de la ferme sous le thème des cinq sens. Dégustations, projection de film, balade ou encore cours floraux seront notamment au programme. Lors de l’événement, les circuits de balade de Montignies-sur-Roc seront également inaugurés. ”Soucieuse de soutenir et d’accompagner les agriculteurs, Hainaut Développement a mis en place, en 2019, un groupe de travail constitué, en grande majorité, d’agricultrices et d’agriculteurs hainuyers afin de répondre au mieux à leurs attentes. Ils ont notamment émis le besoin de renouer les liens avec les citoyens mais aussi d’échanger entre pairs sur des sujets propres à leur activité. Leur souhait était donc d’ouvrir les portes de leur ferme afin de présenter leur métier en toute transparence. C’est pourquoi Hainaut Développement organise depuis 2021, les “Rendez-vous en terre agricole” durant tout le mois de mai, en collaboration avec les fermes souhaitant y participer. Cette année, plus de 30 activités sont organisées tout au long du mois de mai, à travers tout le Hainaut”, indique la Province de Hainaut. C’est dans cette optique que la ferme Pype-Lievens de Montignies-sur-Roc ouvrira ses portes les 27 et 28 mai prochains. “Une visite guidée sera organisée pour découvrir la ferme, ses animaux, la transformation laitière et les différentes cultures pratiquées". 

"En mai, la Province de Hainaut va mettre en avant ses agriculteurs à travers l’événement Rendez-vous en terre agricole. Nous avons été à la rencontre de Pierre Debrichy, qui tient une petite ferme laitière à Braine-le-Comte. «Je suis agriculteur : mon métier, c’est de nourrir les gens, pas de produire pour une industrie.» Depuis 1919, la ferme des 14 Bonniers nourrit la région de Braine-le-Comte. Et depuis toujours, elle appartient à la famille de Pierre Debrichy, 46 ans. Sa petite exploitation laitière compte actuellement 35 à 40 vaches. La ferme des 14 Bonniers fonctionne en bio, sans pesticide ni engrais. Loin du système industriel, Pierre veut transformer toute sa production de lait lui-même. « Je travaille essentiellement avec du lait entier et du lait cru », affirme-t-il. Il vend différents types fromages, dont certains ont été récompensés : natures, à pâte pressée non cuite, aromatisés avec différentes herbes ou encore fromage frais. S’y ajoutent des glaces, du riz-au-lait et des yaourts. Mais la situation est loin d’être simple. La crise énergétique est passée par là. En attendant, il compte sur des initiatives, comme celle de Hainaut Développement, pour mettre en avant son savoir-faire. « Il faut que les gens en profitent : pour l’instant, les gens ont le choix de venir chez nous, mais peut-être qu’un jour, ils n’auront plus ce choix, il faudra aller en magasin parce qu’il n’y aura plus de producteurs. » Le message est lancé".

"Une trentaine d’activités sont programmées en mai dans toutes les régions du Hainaut dans le cadre de la troisième édition des "Rendez-vous en terre agricole". Les instances de la province de Hainaut et de Hainaut Développement ont présenté ce mercredi à Mons le projet 2023 qui s’inscrit dans le soutien et l’accompagnement proposés aux agriculteurs et agricultrices du Hainaut. "L’objectif de l’action est de rapprocher agriculteurs et citoyens, de faire découvrir les métiers du monde agricole, de valoriser les savoir-faire dans le monde agricole en Hainaut", a indiqué Fabienne Devillers, députée du Hainaut. "Rendez-vous en terre agricole" proposera plus de 30 activités dans tout le Hainaut, notamment des projections de films documentaires, des visites à la ferme, des dégustations, des promenades champêtres, des pièces de théâtre, des balades à vélo, à pied, en attelage tiré par des chevaux de trait ou encore des marchés des producteurs locaux".

"Chaque année, le Service d’information stratégique de la province de Hainaut – Hainaut Développement publie une plaquette et une brochure intitulées « Le Hainaut en chiffres et en cartes ». Les versions 2023 viennent de paraître. Ces deux supports ont pour vocation de présenter les chiffres clés de l’année écoulée sur diverses thématiques (emplois, population, immobilier, etc.) au travers de cartes, de tableaux, de graphiques et de commentaires.
Ces documents sont gratuits, ils sont téléchargeables sur le site : https://www.hainaut-developpement.be/publication/la-province-du-hainaut-en-quelques-chiffres-2023-brochure-et-plaquette/. Vous pouvez également en faire la demande à hainaut.stat@hainaut.be ou en vous rendant au guichet de Hainaut Développement au 22, boulevard Initialis à Mons.
Les documents sont gratuits".

"C’est une date que les plus sportifs s’empresseront de bloquer à l’agenda. Le 16 avril prochain, au départ du Domaine provincial des Sports, dans le bois d’Havré (rue de Saint-Antoine 1 à Havré), le coup d’envoi de la première édition du Mons’Trail sera officiellement donné. Organisé par la ville de Mons et l’asbl Monsports, avec le soutien de la Province de Hainaut, l’événement proposera deux parcours valorisant le relief et la campagne montoise. ”Sous cette forme, sous l’intitulé Mons et sous l’impulsion de la ville, il s’agit d’une première dans la région”, précise Martine Salomon, chargée de communication pour Monsports. “On constate que la course à pied et les trails sont des sports de plus en plus populaires. Il n’en fallait pas plus pour que l’envie d’en proposer un dans la Cité du Doudou ne naisse. “On proposera deux parcours : l’un de 11 kilomètres, l’autre de 25 kilomètres. Ils seront ouverts à tous les traileurs, qu’ils soient débutants ou confirmés. Ils évolueront principalement dans le bois d’Havré, sur des tracés composés de sentiers, de chemins de randonnée.” L’inscription, obligatoire, ne s’élève en effet qu’à cinq euros. “On souhaite promouvoir la pratique d’un sport et il n’est pas question que l’aspect budgétaire soit un frein.” 250 places sont désormais ouvertes".

"Le Conseil provincial du Hainaut a adopté mardi une motion de soutien à la demande de nouvelle habilitation de l'UMons pour organiser un master de médecine. Le texte a été approuvé par les groupes PS, Ecolo, Engagés et PTB de l'assemblée. Les conseillers MR se sont, eux, abstenus.  Le conseil provincial estime que l'ouverture d'un master en médecine à Mons réduirait la pénurie de médecins dans la province, et permettrait également aux jeunes Hainuyers inscrits dans ces études de ne plus devoir se loger à Bruxelles ou à Liège, les deux seules villes francophones qui accueillent à l'heure actuelle des masters en médecine. 
La motion appuie aussi sa demande sur les mauvaises statistiques sanitaires du Hainaut par rapport aux autres provinces, notamment en termes d'espérance de vie, d'augmentation constante du diabète et le plus faible dépistage du cancer. La demande d'habilitation de l'UMons divise depuis le début du mois dernier le gouvernement de la Fédération Wallonie-Bruxelles, appelé à lui donner son feu vert. Le projet devrait à nouveau être discuté ce jeudi en réunion du gouvernement".

"Le Conseil provincial a adopté, ce mardi, une motion pour soutenir la demande du master en médecine de l’UMons. PS et MR font partie de la majorité provinciale, mais ici, le PS a voté avec l’opposition Ecolo, Les Engagés et PTB ! La motion a été votée ce mardi matin. Les conseillers MR, pourtant membres de la majorité, se sont quant à eux abstenus. « Le président du PS Paul Magnette parlait d’une majorité alternative pour voter l’habilitation de l’UMons », explique le député provincial PS Pascal Lafosse. « C’est ce qui s’est passé ce mardi matin au parlement de la Province du Hainaut. Le PS a voté avec l’opposition composée du PTB, d’Ecolo et des Engagés. »  Le conseil provincial estime que l’ouverture d’un master en médecine à Mons réduirait la pénurie de médecins dans la province et permettrait aux jeunes Hainuyers inscrits dans ces études de ne plus devoir se loger à Bruxelles ou à Liège, les deux seules villes francophones qui accueillent à l’heure actuelle des masters en médecine. La motion appuie aussi sa demande sur les mauvaises statistiques sanitaires du Hainaut par rapport aux autres provinces, notamment en termes d’espérance de vie, d’augmentation constante du diabète…  La demande d’habilitation de l’UMons divise depuis le début du mois dernier le gouvernement de la Fédération Wallonie-Bruxelles appelé à lui donner son feu vert. Le projet devrait à nouveau être discuté ce jeudi en réunion du gouvernement"