En France, l’introduction d’une vaccination à large échelle contre le HPV rencontre fréquemment l’appréhension de la population, ce qui peut avoir contribué au faible taux de couverture vaccinale. Une étude menée par l’Agence Nationale de Sécurité du Médicament et des produits de santé (ANSM) et la Caisse Nationale de l’Assurance Maladie des travailleurs Salariés (CNAMTS) sur l’incidence des maladies auto-immunes après une exposition au vaccin HPV ne met pas évidence une incidence de ces pathologies chez les jeunes filles vaccinées.