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Les prix des produits dans les supermarchés ont augmenté en moyenne de 5 % pour pallier la hausse des matières premières dues au conflit en Ukraine…
Les géants de l'alimentaire semblent pour l'heure traverser la période d'inflation aiguë sans dommages sur leurs comptes. Nestlé a annoncé ce jeudi avoir augmenté ses ventes de 7,6 % au cours du premier trimestre. Les analystes attendaient 5,1 %. Son rival Danone a annoncé mercredi la croissance la plus rapide de ses ventes trimestrielles en sept ans…
Une augmentation de 5 % en moyenne des prix des produits de grande consommation a ainsi permis aux géants de l'alimentation de maintenir leurs objectifs et même de les dépasser au premier trimestre.
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Alors que les prix payés aux producteurs laitiers restent très élevés à l'heure actuelle, un sujet de préoccupation concerne le comportement des consommateurs et des clients face à la hausse des prix du lait dans les rayons…
C'est selon Seán Molloy, responsable des ingrédients et de l'agriculture pour Glanbia, qui a souligné que les prix élevés des produits laitiers « doivent en fin de compte être absorbés par les consommateurs et les clients sur le marché »…
« Lorsque nous avons traversé cela il y a plusieurs années, nous n'avons pas atteint les sommets d'aujourd'hui mais nous nous sommes approchés de 40 c/L, il y a eu une résistance importante de la part des consommateurs à ce moment-là, ce qui en a entrainé une baisse significative de la demande »...
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Le baromètre du lait IG a augmenté de 11,7 centimes à 67,6 centimes/kg de lait* en mars par rapport au mois précédent. Cela correspond à une augmentation des anticipations de prix de 20,9 %. La raison de la forte hausse des prix est la rareté de l'offre sur les marchés du lait et la hausse des coûts de logistique et de transformation…
Le baromètre du lait est basé sur les cours boursiers des douze prochains mois et vise à aider les producteurs laitiers à évaluer la situation future du marché…
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427€/1000 litres en conventionnel et 503€/1000 litres en bio pour avril
Un nouvel accord a été conclu entre les deux parties le vendredi 8 avril 2022 : le prix « MonBBLait® » sera revalorisé en 2022 pour 100% de la collecte, et continue à assurer ainsi un lait durable et de qualité…
L'APBO et le Groupe BEL ont signé depuis 5 ans un partenariat matérialisé par un contrat-cadre. Celui-ci prévoit la possibilité de renégociation en fonction d'indicateurs définis. Dans ce contexte économique complexe, les 2 parties sont ainsi revenues à la table des négociations dès l'application de cette clause, début avril 2022 :
- Pour le prix « MonBBLait® », augmentation du prix de référence fixé à l'automne 2021 de + 50 € / 1000 L sur les mois de mars, avril, mai 2022 et de + 45 € / 1000 L de juin à septembre 2022. Pour le 4ème trimestre et afin de donner de la visibilité aux éleveurs, l'augmentation sera de minimum + 35 € / 1000 L, renégociable en septembre 2022 en fonction du contexte économique. Ainsi, pour un lait « MonBBLait® » Bel & l'APBO projettent un prix de référence 38/32 moyen annuel minimum de 413,25€/1000 L, incluant un prix de base, une prime alimentation sans OGM (<0.9%) de 15€/1000L et une prime Vaches aux Pâturages de 6€/1000L. Par ailleurs, le prix final payé aux éleveurs comprend en plus une prime liée au taux de matière grasse et matière protéique du lait livré.
- Pour le lait « MonBBLait® » Bio : augmentation du prix de base fixé à l'automne 2021 de + 25 € / 1000 L sur les mois de mars, avril, mai 2022 et de + 22,5 € / 1000 L de juin à septembre. De même pour le 4ème trimestre, augmentation de minimum 17,5 € / 1000 L, renégociable en septembre 2022 en fonction du contexte économique. Le prix de référence du lait « MonBBLait® » Bio revalorisé varie ainsi entre 503 et 495,5 euros / 1000L en fonction de la période.
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Les prix du lait conventionnel ont dépassé leur plus haut niveau historique en février, à 43,2 cents/kg en moyenne. Le pronostic : on peut s'attendre à un prix moyen du lait de 50 cents cet été…
La quantité de lait livrée en Allemagne reste inférieure à celle des années précédentes. Les prix de la poudre, du beurre et du fromage montent en flèche…
Dans le même temps, les coûts de production s'envolent, engloutissant littéralement les revenus supplémentaires…
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Le prix du lait européen connaît une croissance ininterrompue depuis le début de l’année 2021, il n’en finit pas de grimper. En février 2022, la Commission européenne l’estime à 426 €/1 000 litres, soit une hausse de 1,9 % sur un mois et de 21,8 % sur un an.
La hausse annuelle frôle les 40 % en Belgique (455 €/1 000 litres). Le prix du lait progresse de presque 35 % au Danemark (462 €/1 000 litres). Il gagne autour de 28 % en Allemagne (442 €/1 000 litres), en Irlande (475 €/1 000 litres) et aux Pays-Bas (450 €/1 000 litres). Enfin, le prix réel a augmenté d’environ 12 % en France (412 €/1 000 litres), en Espagne (367 €/1 000 litres) et en Italie (406 €/1 000 litres), toujours entre février 2021 et février 2022...
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Les livraisons de lait au Royaume-Uni sont estimées en baisse de 3,8 % en mars par rapport aux niveaux de l'année précédente…
Les prix de tous les principaux produits laitiers ont augmenté régulièrement jusqu'à présent cette année, et on s'attend à ce que cela se poursuive au moins jusqu'à la fin du printemps/début de l'été, car les approvisionnements restent serrés…
Alors que les prix du lait contribuent à compenser la hausse des coûts des intrants, nous prévoyons que la saison 2021/22 se terminera 1,6 % en dessous de celle de 2020/21. Nos prévisions de production de lait pour la saison 2022/23 prévoient une nouvelle baisse de 0,8 %...
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D’après CER France Normandie Maine, la demande mondiale est soutenue et l’offre de lait limitée. Ce contexte a tendu les prix sur l’année 2021 et le début 2022. La guerre en Ukraine ajoute de la tension et de l’inflation sur les marchés. Les prix de revient vont augmenter. Chaque éleveur doit adapter ses pratiques en cohérence avec son système. Le prix du lait pour les clôtures de l’été 2022 est estimé de 350 à 380 € / 1 000 l…
Sur l’année civile 2021, le prix de base du lait conventionnel français se situe entre 335 et 345 € / 1 000 l., soit une hausse de + 5 € à + 20 € / 1 000 l. sur un an, selon les laiteries. Tous les postes contribuant à la fixation du prix du lait ont eu un effet positif. La hausse de la valorisation beurre–poudre explique à elle seule 50 % de la hausse du prix de base. En pratique, chaque laiterie adapte les critères à ses spécificités. Mais force est de constater qu’au final, les écarts de prix entres laiteries sont faibles, pour 2021...
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Le prix fixe du lait pour 2022 sera de 42 c/L, puis ramené à 40 c/L pour 2023 et 2024. Le prix fixe du lait sera ajusté en fonction des composants réels. Le transformateur prévoit également de verser des primes saisonnières et de durabilité en plus du prix fixe du lait.
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Sur sa lancée de 2021, le prix du lait des leaders de l’industrie s’est envolé au T1 avec la hausse des cotations des ingrédients et du prix allemand…
Toujours pas grâce à Égalim : D’après notre estimation, sur les + 70,40 €/1 000 l de la formule Lactalis-Unell au T1 avant correctif environnement, la flambée de la valorisation beurre-poudre explique les + 54,70 €, la hausse du prix allemand, + 12 €. La revalorisation du marché des PGC France ne joue, elle, que pour + 1,80 € et la revalorisation du coût de production pour + 1,90 €…
De ce bilan du T1, on retiendra que Lactalis est celui qui, des poids lourds de l’industrie, a le mieux payé. Et son prix a été raboté de l’ordre de 9 € en janvier-février et de 3,60 € en mars !
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Le britannique Tesco augmente d'un cinquième le prix qu'il paie aux fournisseurs de lait..
Le plus grand détaillant britannique Tesco va augmenter le prix qu'il paie pour tout son lait frais de près de 20 %, car les fournisseurs luttent contre des niveaux sans précédent d'inflation dans les exploitations, a-t-il déclaré mercredi…
Le groupe, qui détient une part de 27,4 % du marché britannique de l'alimentation, a déclaré que les 520 producteurs laitiers britanniques qui composent le Tesco's Sustainable Dairy Group (TSDG) verront le détaillant leur payer 40,84 pence le litre en mai, contre 34,16 pence le litre actuellement…
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« Cette conjoncture de baisse de production chez les principaux pays exportateurs entraîne mécaniquement une réduction des fabrications et principalement des disponibilités pour le débouché export, ce qui conduit à une très forte hausse des prix des commodités laitières. Dans ce contexte, les prix du lait payés au producteur augmentent également », détaille l’Institut technique…
Ainsi, en Nouvelle-Zélande, le prix de base a été revu à la hausse à 9,30-9,90 $/kg de matière sèche, soit un prix supérieur à 500 €/1 000 l. Dans L’UE-27 aussi, le prix du lait a atteint des niveaux inédits en janvier, à 420 €/t (+ 21 % par rapport à 2021) et 422 €/t en février…
« Cette progression est bien sûr liée à la flambée de la valorisation du lait transformé en beurre/poudre maigre qui a atteint 530 €/1 000 l fin février, estime l’Idele.
Les pays de l’Europe du Nord, exportateurs d’ingrédients laitiers, voient leur prix bondir d’environ +30% sur un an : les Pays-Bas (450 €/t), le Danemark (437 €/t), la Belgique (457 €/t), l’Irlande (490 €/t) et l’Allemagne dont le prix payé atteint 430 €/t. La revalorisation des prix est moins spectaculaire dans les pays dont la production laitière est davantage tournée vers leur marché intérieur (+9 % /2021 en Espagne, +13% en France) ou vers la fabrication de fromages de garde (+11% en Italie). »
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Le prix du lait a baissé de 7% en 10 ans selon le géant laitier Arla. Mais les coûts de production du lait ont augmenté de 30 % en un an. Le prix du lait aux consommateurs doit augmenter…
Au cours des 10 dernières années, les prix à la consommation ont augmenté de 26 %, tandis que le prix du lait a chuté de 7 % au cours de la même période…
Nous avons vu l'inflation dans les fermes, sur les aliments pour animaux, les engrais et le carburant, à partir de juin ou juillet de l'année dernière. La pression s'accumulait, mais depuis la crise ukrainienne, cela n'a fait qu'augmenter de façon exponentielle, en particulier des choses comme les engrais...
Les récents accords plus équitables entre les supermarchés et les laiteries n'ont pas suffi à compenser les énormes hausses de prix récentes. Comme pour de nombreux pans de l'économie, l'agriculture fait face à des coûts exorbitants…
Le plus grand fournisseur de lait frais du Royaume-Uni, les produits d'Arla peuvent être repérés dans les rayons des supermarchés du pays. Ils comprennent Cravendale, Lactofree, Lurpak et Anchor.
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La forte remontée du prix du lait de vache semble amorcer un mouvement de reprise de production dans l’UE-27, en premier en Pologne et dans les pays de l’Est…
En France, la production est moins ralentie en février grâce à un ralentissement des réformes. Elle pourrait se rétablir si les conditions météorologiques demeuraient favorables ce printemps. Mais la forte hausse des charges attendue dans le même temps pourrait contenir voire annuler ce mouvement de reprise…
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La collecte a diminué dans tous les bassins laitiers en début d’année, sauf dans le Grand-Ouest. « En février 2022, la collecte de lait de vache recule de 0,8% par rapport à février 2021. Ce repli, bien que léger, prolonge la baisse observée depuis septembre 2021 »…
« Sur un an, le prix du lait standard conventionnel (hors bio et AOP/IGP) progresse de 16,9% et s’établit à 382 €/1000 l. Tous types de lait confondus, le prix s’établit en moyenne à 398 €/1000 l, en hausse de 14,2% sur un an. »…
« Le prix du lait de vache bio standard poursuit sa baisse et s’établit fin février à 469 €/1000 l, soit 0,8% de moins qu’en février 2021. Celui à teneurs réelles recule quant à lui de 0,5% sur un an. Entre janvier 2021 et janvier 2022, les indices de prix des autres laits augmentent fortement : +6,8 points pour le lait AOP/IGP. En février, la part du lait de vache bio dans la collecte totale atteint 5,0%, légèrement au-dessus du niveau de l’an dernier. La collecte de lait AOP/IGP représente 16,9% de la collecte totale, toujours en dessous du niveau de 2021. »…
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La chaîne de supermarchés britannique Tesco veut augmenter les prix aux producteurs de lait par litre de lait livré de 40,72 cents à 48,68 cents. C'est une augmentation de 20 %. Cela profite à 520 agriculteurs britanniques…
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L'écart sud-nord des prix du lait, courant depuis des années, s'est inversé. Soudain, les producteurs laitiers du Nord ont un avantage…
Pendant de nombreuses années, les producteurs de lait du nord de l'Allemagne n'ont pu que regarder avec frustration les laiteries du sud de l'Allemagne payer mois après mois les prix à la production plus élevés. La Bavière et le Bade-Wurtemberg étaient régulièrement en tête des classements régionaux, tandis que le Schleswig-Holstein vivait en deçà…
Le prix de base conventionnel en 2020 dans le Bade-Wurtemberg était de 1,84 cents et en Bavière de 1,51 cents au-dessus de la moyenne nationale de 32,84 cents/kg. Dans le Schleswig-Holstein, en revanche, les producteurs de lait recevaient en moyenne 1,76 centime de moins que la moyenne nationale. La différence de prix totale entre le Bade-Wurtemberg et le Schleswig-Holstein était de 3,6 centimes en faveur du sud de l'Allemagne. C'est une énorme différence de plus de 10%...
Actuellement, cette différenciation des prix s'est inversée. Pour janvier, le Bade-Wurtemberg et la Bavière ont enregistré un niveau de paiement respectivement inférieur de 0,44 centimes et 0,34 centime à la moyenne nationale de 41,64 centimes par kg de lait. Les producteurs laitiers du Schleswig-Holstein, en revanche, se réjouissaient d'un paiement moyen de 43,55 cents. Cela leur donnait un avantage de 2,25 à 2,35 cents sur leurs collègues du sud…
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Depuis trois semaines, le lait Spot se négocie à 480 € départ Ouest. C’est 210 € de plus que l’an dernier. A ce niveau de prix, ce sont encore et toujours surtout des importateurs qui font le marché.
(Source : Enquête de l’Eleveur laitier)
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Négociations Lactalis-OPLGO : Pas d’accord sur le prix du lait d’avril
La tentative de Lactalis (comme Sodiaal) de faire appliquer un nouvel indicateur Beurre/Poudre non validé par le Cniel a bloqué les négociations. Pas d’accord non plus pour l’Unell…
Le prix imposé par Lactalis devrait tourner autour de 405,8 € (38/32) en Bretagne Pays de Loire
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France OP Lait conteste la valorisation B/P des industriels
« (…) Du jour au lendemain, il semblerait qu’une majorité de transformateurs souhaitent apporter de manière unilatérale une correction de l’Indicateur Beurre-Poudre : un correctif de -47.7 € correspondant à la réactualisation évaluée par ATLA des coûts de transformation supportés par la fabrication du beurre poudre. Ces derniers passeraient de 71.70€/1000L à 119.50€/1000L.
La part du beurre poudre variant de 10% à 50% dans certains mix industriels, l’impact sur le prix du lait (de 5 à 10%) en cette période de hausse de nos coûts de productions (énergies, aliments,… etc.) est inacceptable. (…) »
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En 2021, l’indice du prix du lait de centrale a enregistré une hausse notable pour atteindre 103,7 points en décembre, son plus haut niveau depuis 2010…
Le prix du lait payé aux producteurs en 2021 a également progressé de 5,7 % par rapport à l’année précédente pour s’établir à 69.80 ct./kg. Le genre de mise en valeur et la situation du marché en Suisse et à l’étranger sont, entre autres, les facteurs qui influent sur le prix du lait à la production...
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La coopérative Migros ne vend plus de lait genevois depuis un mois, jugeant que ce lait n’est pas assez écologique.. Cette décision de retirer le produit estampillé du label GRTA (Genève Région – Terre Avenir) fâche les milieux agricoles ainsi que le Conseil d’Etat…
Différence de prix
La Migros ne commercialise dorénavant plus que des laits bénéficiant du label IP-Suisse. Elle juge qu’il a l’avantage d’être connu par la clientèle et rappelle qu’il favorise une production respectant la biodiversité et le bien-être de l’animal.
Le directeur d’Agri Genève pense pour sa part qu’il s’agit avant tout d’une décision économique, puisque le lait GRTA est payé 1 franc le litre aux producteurs, contre seulement 80 centimes pour l’IP Suisse. Il confie aussi au quotidien genevois que si l’aspect environnemental est «peut-être plus poussé chez IP Suisse», les laits GRTA sont des produits locaux qui ne parcourent pas de longues distances…
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Le département américain de l'Agriculture (USDA) prévoit des niveaux record de prix du lait aux États-Unis en 2022, soit l'équivalent de 50 cents par kilogramme de lait, en raison de la rareté de l'approvisionnement en matières premières et de la hausse globale des coûts…
Selon l'USDA, la production de lait aux États-Unis en janvier était inférieure de 1,6 % à celle du même mois l'an dernier. Il s'agit de la plus forte baisse par rapport au chiffre de l'année précédente depuis mars 2004…
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C'est presque le double d'il y a un an et le niveau le plus élevé jamais atteint, en raison du prix du beurre à 7 200 euros la tonne et du prix du lait écrémé en poudre à 4 200 euros la tonne. Et ce n'est peut-être pas la fin de l'explosion des prix du lait et des autres produits agricoles…
Le 25 mars, la valeur marchande quotidienne du lait calculée par l'Institut Ife de Kiel à partir des prix du marché du beurre et du lait écrémé en poudre est passée à 67,8 cents pour avril et à 67,9 par kg pour mai…
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Le prix garanti pour avril s’établit à 48,50 euros pour 100 kilos de lait, en augmentation de 2,00 euros par rapport au mois dernier (46,50 euros).
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