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Évolution des prix du lait dans l’UE, aux États-Unis et en Nouvelle-Zélande
En juin, le prix du lait classe III aux USA est de 56,9 €/100 kg, à 49,4 €/100 kg dans l’UE et celui de la Nouvelle -Zélande 41,1 €/100 kg… En France le prix du lait de juin 2022 est de 43,8 €/100 kg en hausse de 19,7% par rapport à juin 2021...
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Après quinze jours de bras de fer, l’administration américaine a décidé d’exempter l’Union européenne de sa surtaxation... Le niveau des barrières douanières imposé par les deux zones apparaît sensiblement identique : en moyenne, l’Union européenne taxe à 3 % les produits qu’elle importe d’outre-Atlantique, contre 2,4 % pour les biens européens vendus aux États-Unis.
Toutefois, cet équilibre masque des « pics tarifaires » : par exemple, sur les chaussures (taxées à 48 %, contre 17 % dans l’UE au maximum), le textile et les produits laitiers (140 %, contre 40 %) ou l’huile d’arachide. De son côté, l’UE applique des droits de douane importants sur les produits agricoles, en particulier sur les viandes (45,1 % et jusqu’à 140 %, contre 4,7 % aux États-Unis) ou les légumes.
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La forte croissance continue de la production laitière dans les États du Midwest voit la production de lait des États-Unis augmenter en octobre. L'USDA a mis à jour ses prévisions pour la production de lait aux États-Unis pour l'année 2017 pour atteindre 94,6 milliards de litres.
Et aussi : La collecte de lait de l'UE en hausse de 3,7% en septembre sur https://www.farmersjournal.ie/eu-milk-collections-up-3-7-in-september-325676
On estime que la collecte de lait de l'UE en septembre atteint 12,37 millions de tonnes, soit une augmentation de 3,37% par rapport à la même période l'année dernière. La collecte de l'UE jusqu'en septembre de cette année est estimée à 118,07 millions de tonnes, soit 0,51% de plus que la même période l'an dernier.
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« Le dynamisme sur les marchés européen et américain est en tête de la reprise. » La production globale de lait a augmenté de 0.9% en 2016 par rapport à des taux de croissance de 2% et plus au cours des dernières années.
La Nouvelle-Zélande reste le premier exportateur mondial de produits laitiers avec une part de marché de 29%, suivie de près par l'UE à 28% et les États-Unis à 24%. Et nous voyons maintenant une plus forte demande pour les produits laitiers en 2017.
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Les industries laitières américaines et mexicaines ont publié aujourd'hui une liste commune de neuf priorités, dont la modernisation de l’ALENA, pour répondre aux préoccupations concernant les politiques laitières canadienne et européenne.
L'UE cherche à imposer de nouveaux obstacles au commerce des produits laitiers par l'abus des indications géographiques par des négociations directes avec le Mexique, alors que les négociations de l'ALENA continuent. C'est une préoccupation majeure pour les fabricants de fromage aux États-Unis et au Mexique, car cela donnerait à l'UE l'usage exclusif de noms de fromages communs comme asiago, gorgonzola et feta.
Le Canada perturbe également le commerce des produits laitiers en Amérique du Nord et au-delà, avec son nouveau système de tarification qui réduit intentionnellement les exportations de protéines laitières des États-Unis.
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L’Europe et les Etats-Unis sont deux grandes puissances agricoles qui se plaisent à se combattre dans le cadre des négociations commerciales internationales. Ils s’accusent mutuellement de protectionnisme. Quels sont les rapports de force et les politiques mises en œuvre par les pouvoirs publics pour soutenir leur agriculture ?
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Les prix du beurre sont à des niveaux historiques en Europe. La production a chuté, alors que la demande mondiale est forte. L'Europe s'est mise à exporter du beurre… jusqu'aux Etats-Unis. Le fait que McDonald's ait réintroduit le beurre dans ses produits n'est pas étranger à la hausse des prix de cette matière grasse, jusqu'en Europe : la tonne de beurre européen se vend 4 500 euros contre 2 500 euros en avril dernier. Une hausse de 80% !
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Pour Bernard Valluis et Frédéric Courleux, les évolutions du Farm Bill américain entreprises depuis 2002 sont en totale rupture avec les règles imposées par l’OMC. Dans ce contexte, il est, selon eux, recevable de « mettre en avant le TTIP pour atteindre l’objectif d’une convergence des économies agricoles américaines et européennes ». Analyse.
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Entre 188 000 et 300 000 opposants à l’accord de libre-échange entre l’Union européenne (UE) et le Canada ont manifesté le 17 septembre dans sept grandes villes allemandes ainsi qu’à Vienne, en Autriche. L’Accord économique et commercial global (AECG ou CETA en anglais) doit encore être ratifié par l’UE et ensuite par les parlements des …
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L’accord de libre échange conclu avec le Canada, le CETA, est à l’ordre du jour du conseil européen des Affaires étrangères ce vendredi 13 mai pour préparer son adoption en septembre par le Conseil et une entrée en vigueur dès 2017. Alors que les dangers associés à ce traité apparaissent au grand jour, le gouvernement français continue de le défendre point par point, allant même jusqu’à le qualifier d’anti-TAFTA. Pour la Fondation Nicolas Hulot et foodwatch, le gouvernement doit faire preuve de cohérence et s'opposer demain à toute entrée en vigueur du CETA, qui menace la capacité de nos institutions démocratiques à protéger les citoyens et l’environnement.
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Vu les modes de productions des élevages aux États-Unis et la performance des outils d’abattage, les filières d’élevage françaises n’ont …
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Alors que l'industrie laitière évolue et se modernise, les entreprises laitières cherchent à tirer parti de l'augmentation de la production de lait grâce à des joint-ventures internationales.
Alors que les États-Unis ont fortement investi dans la production de lait, l'Europe et d'autres régions confrontées à des contraintes de production ont concentré leurs efforts et leurs investissements sur les technologies de la transformation.
En 2017, de nombreuses entreprises laitières et partenaires internationaux des États-Unis ont collaboré pour tirer parti des forces de chacun.
Beaucoup de coopératives américaines manquent de capitaux pour prendre en charge de nouvelles installations de traitement coûteuses - une usine de fabrication de fromage peut coûter entre 300 et 500 millions de dollars - tandis que de nombreux transformateurs internationaux envisagent la possibilité de diversifier leurs offres aux États-Unis et dans le monde.
"Ce modèle présente de nombreux avantages, car les partenaires de ces coentreprises partageront les coûts de démarrage et réduiront les risques et les coûts tout au long de la chaîne d'approvisionnement", a déclaré M. Laine. "Ces nouvelles usines bénéficient également aux producteurs, car la capacité supplémentaire réduit les distances de transport."
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Fonterra a annoncé coup sur coup deux investissements qui marquent sa volonté de diversifier et sécuriser son sourcing en lactosérum sur les marchés nord-américain et européen.
Aux États-Unis tout d’abord, Fonterra a rejoint la coopérative laitière TCCA (Tillamook County Creamery Association) et la producteur Threemile Canyon Farms comme actionnaire à parts égales dans leur joint-venture Columbia River Technologies, spécialisée dans la valorisation du lactosérum fromager en lactose et concentré de protéines sériques. Depuis sa création en 2013, Fonterra dispose un contrat d’exclusivité sur la vente de ces produits.
En Europe ensuite, Fonterra a investi 6,9 M€ pour acquérir 10 % des actions du plus grand producteur de lait lituanien, AB Rokiskio Suris, qui est aussi un des plus grands fromagers d'Europe de l'Est et d'Europe Centrale.
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L'industrie laitière américaine appelle les autorités japonaises à la vigilance dans leur négociation d'un accord de libre-échange avec l'Union européenne.
L’UE tente de monopoliser l’utilisation d’une longue liste de noms génériques de fromages qui font partie du domaine public sous couvert d'indications géographiques dans ses accords commerciaux avec le Japon et d'autres pays. Ainsi, "Parmigiano Reggiano" est un terme géographique acceptable, mais pas le nom générique du "parmesan", largement utilisé au Japon et ailleurs.
Les industriels américains réunis dans le Consortium for Common Food Names (CCFN) cherchent des solutions pour protéger à la fois les indications géographiques légitimes et les noms génériques. L'objectif de l'UE profiterait aux seuls industriels européens, en étouffant l'accès équitable aux marchés, le libre commerce et une saine concurrence internationale. La décision du Canada d'accepter la pression de l'UE a eu une incidence négative pour ses producteurs, ses consommateurs et ses partenaires commerciaux.
Il est impératif que les noms génériques des fromages restent accessibles à tous. Le Japon doit rejeter les tentatives de l'UE. Sinon, la capacité des fabricants de fromage des États-Unis et d’autres pays à faire des affaires au Japon serait injustement limitée, avec un impact négatif sur les consommateurs et les producteurs de fromage japonais.
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Les coûts de production du lait croissent tout en restant sensiblement différents de part et d’autre de l’Atlantique et entre pays européens. Mais pas les points morts (c'est-à-dire les prix à partir desquels les exploitations commencent à rémunérer la main-d’oeuvre non salariée) qui se resserrent.
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Le 27 mars, la Commission européenne a donné son feu vert à la fusion de deux géants pétrochimiques, Dow Chemical et DuPont, au grand dam des défenseurs de l’environnement...
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Protection des données personnelles, réglementation des VTC, scénarios fiscaux : les législations européennes et françaises peuvent avoir des effets importants sur les géants technologiques américains et leurs profits. Pour s'éviter des déconvenues budgétaires ou préparer la législation à leurs prochaines innovations, ces géants investissent dans le lobbying.
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« Au lieu de protéger les noms de quelques spécialités alimentaires, l'UE utilise les IG pour éliminer la concurrence. » Pour les Américains, les IGP constituent un énorme avantage commercial de l’industrie laitière européenne. Céder à l’Union européenne coûterait des milliards de dollars aux États-Unis, par la baisse de la consommation intérieure de fromage et l’augmentation des prix aux consommateurs. L'expansion continue des indications géographiques en Europe protège des termes longtemps considérés comme génériques. La baisse de la consommation de fromage américain pourrait se chiffrer à 2,3 milliards $ en ventes perdues en trois ans, et 5,2 milliards $ en 10 ans. «En 2025, nos producteurs laitiers perdraient jusqu'à 15% de leur revenu et le troupeau laitier américain se contracterait jusqu'à 9%, soit 850.000 vaches. Des milliers de producteurs laitiers seraient contraints à la faillite. »
Si la France a demandé l’arrêt des négociations sur le traité entre l’Europe et les Etats-Unis (Tafta), celles engagées avec le Canada (Ceta) continuent et soulèvent de gros problèmes de propriété intellectuelle entre paysans et multinationales.
Via IDELE Institut de l'Elevage
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La concurrence américaine est forte sur les marchés du fromage et du vin, et elle dénonce les appellations AOC.
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L'Europe est responsable de l'abondance de fromage aux États-Unis. Une offre excédentaire de lait, faisant plonger les prix, et un euro affaibli ont aidé les fournisseurs de l'Union européenne en déprimant les ventes américaines. Les exportations de beurre ont augmenté de 27% dans l'UE, et les exportations de fromage ont augmenté de 13%, selon la Commission européenne. Aux USA, les importations de beurre de l'UE ont doublé l'an dernier, tandis que les importations de fromage ont grimpé de 17% alors que la production laitière américaine voit une année record.
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Pendant la majeure partie de 2015, le prix du lait américain est resté sensiblement supérieur aux prix de l'UE et de la Nouvelle-Zélande. Mais le prix pour la première moitié de l'année 2016 aux États-Unis devrait avoisiner 13,50 $ à 14 $ (27.80 c à 28.7c / litre), beaucoup plus proche des niveaux européens. Le prix du lait en Nouvelle-Zélande reste nettement inférieur, à 4,60 NZ $ / kg (20 c / litre)...
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