Entre déconnexion de plus en plus problématique de la demande de matière grasse et de celle de protéines, hausse de l’offre européenne et mondiale et fermeture de l’intervention, les marchés laitiers risquent de s’alourdir dans les mois qui viennent et de peser sur le prix du lait. L’appréciation de l’euro pourrait aussi pénaliser les opérateurs européens, notamment face aux néo-zélandais.