Die Geheimdienste wollen erfahren, wie sie beim Angriff auf Rechner den Virenschutz umgehen können. Auch der deutsche Hersteller Avira wurde offenbar bespitzelt.
Fast zwei Wochen nachdem bekannt wurde, dass Anti-Viren-Hersteller Kaspersky Ziel eines Hackerangriffs geworden war, scheint jetzt wahrscheinlich, dass die NSA und ihr britisches Gegenstück GCHQ dahinter steckten. Auch war der Angriff wohl kein Einzelfall, wie die Snowden-Dokumente nahelegen. Konkurrenten von Kaspersky wie Avast, AVG, Eset, F-Secure und der deutsche Hersteller Avira sollen ebenfalls ausspioniert worden sein.
Dabei ging es den Geheimdiensten wohl gezielt darum, zu erfahren, wie der Virenschutz der einzelnen Hersteller beim Angriff auf Zielrechner umgangen werden kann.
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- http://www.scoop.it/t/securite-pc-et-internet/?tag=Cyberespionage
Les éditeurs de logiciels antivirus n’ont pas échappé à la surveillance de masse pratiquée par le renseignement américain.
Ils ont même constitué des cibles de choix pendant de longues années, à en croire une nouvelle série de documents exfiltrés par Edward Snowden et dont The Intercept s’est fait l’écho.
L’Agence américaine de sécurité nationale (NSA) et son homologue britannique (le GCHQ) ont inscrit plus d’une vingtaine de firmes à leur tableau de chasse. En tête de liste, Kaspersky Lab, qui revendique aujourd’hui plus de 400 millions de postes protégés et 270 000 entreprises clientes.
F-Secure en Finlande, AVG et Avast en République tchèque, Avira en Allemagne, ESET en Slovaquie, Checkpoint en Israël, BitDefender en Roumanie, FSB Antivirus en France… la liste est longue, mais ni McAfee, ni Symantec, les deux