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Jean Baptiste Yohanan
January 7, 2017 6:07 AM
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Contrairement aux idées reçues, il est bon pour la santé de ne rien faire même si cela est généralement mal perçu en société, que ce soit dans la sphère privée ou professionnelle.
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Jean Baptiste Yohanan
December 18, 2016 10:33 AM
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Jean Baptiste Yohanan
November 25, 2016 3:10 AM
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Les centaines de millions d’observations médicales dont nous disposons comportent assez de données pour nous permettre de répondre à quelques-unes des questions que nous nous posons en matière de santé. Encore faut-il poser les bonnes questions. Comme souvent, les démarches les plus simples sont les plus porteuses. Celle d’Angelika Kögel-Schauz, une mathématicienne allemande, est d’une simplicité enfantine, et les résultats sont plutôt instructifs. -RI
Toute cette affaire de vaccination est pourtant si simple : il suffit de faire une analyse sur 10 000 enfants dont la moitié est vaccinée et l’autre pas. Puis, voir qui est en meilleure santé via le carnet de santé dans lequel tout est écrit !!!
C’est si simple que personne ne pense à le faire en France en 2016 car les résultats risquent de choquer le peuple…
La santé des enfants non vaccinés est nettement meilleure que celle des autres.
Ce fait, inattendu, est clairement établi par l’analyse d’une étude allemande de grande envergure, l’étude Kiggs.
Afin de connaître la santé réelle des enfants allemands, les autorités allemandes ont lancé une étude de vaste envergure, dite « Kiggs », de 2003 à 2006 portant sur 17 461 enfants de 0 à 17 ans. Cette étude approfondie, menée méthodiquement par la plus haute institution de santé allemande, l’institut Robert Koch, a donné lieu à plusieurs publications.
Fait singulier, les autorités n’ont pas pensé à comparer la santé des enfants vaccinés et ceux qui ne le sont pas, alors que ce critère figure en détail dans les données.
C’est là que Angelika Kögel-Schauz, mathématicienne et responsable de l’EFI, une association allemande pour l’information sur les vaccins, entre en scène. Elle réussit à se procurer l’intégralité de cette volumineuse étude et se lance dans l’analyse des 20 millions de données pour établir la comparaison de la santé des enfants sur le critère du statut vaccinal, sachant qu’en Allemagne la vaccination n’est pas obligatoire.
Les enfants non vaccinés ont moitié moins d’allergies que les vaccinés (22,9 contre 10,6 %) pour le rhume des foins on trouve 10,7 contre 2,6 % (4 fois moins), pour l’asthme et les bronchites chroniques 18,4 contre 2,4 % (7 fois moins), pour les neurodermites 13,2 contre 7 %, pour l’herpès 12,8 contre 0,2 % (64 fois moins !) et pour les migraines 2,5 contre 1,1 %.
Il en est de même pour le diabète, les problèmes thyroïdiens, les crises d’épilepsie, l’hyperactivité.
On observe également chez eux moins de scolioses que chez les autres, 5,3 % contre 0,5% (10 fois moins), moins de problèmes de langage, car le besoin d’orthophoniste est de 6,25 contre 2,11 % (7 fois moins).
Dr. Bertoud – Pédiatre homéopathe
http://etat-du-monde-etat-d-etre.net
Vous pouvez partager ce texte à condition d’en respecter l’intégralité, de citer la source et le site: http://www.elishean-aufeminin.com
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Jean Baptiste Yohanan
from Ethik, ethnik et chik!
November 1, 2016 11:05 PM
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Les beurres végétaux ont de nombreuses vertus. Zoom sur le beurre de karité, le beurre de mangue et le beurre de cacao... Pour tout savoir !
Via Dieynaba BA, Voix Africaine
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Jean Baptiste Yohanan
November 1, 2016 6:02 PM
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Une invitation dans le village de Saint-Quentin, au Nouveau-Brunswick, pour une conférence à l’occasion du Festival de l’érable m’a fait découvrir une passion des gens de la place pour un produit alors assez peu connu chez nous: le chaga. Tout le monde ou presque dans cette charmante bourgade est capable de vous parler du chaga, particulièrement pour ses vertus thérapeutiques millénaires. Il semblerait que ce champignon, qui parasite les troncs des bouleaux blancs, mais surtout des jaunes (merisiers), sous forme d’une grosse excroissance noire et crevassée, puisse causer la mort de l’arbre en quelques années. Il est, dit-on, antioxydant, anti-inflammatoire, il diminuerait l’hypertension, traiterait l’influenza, l’arthrite, les problèmes de peau et les ulcères d’estomac. La liste des bienfaits que peut vous apporter le chaga est longue. Selon les gens que j’ai croisés et qui étudient l’herboristerie, il est considéré comme un remède naturel des plus puissants.
Le chaga est appelé aussi le «champignon de Soljenitsyne». Ce dernier en parle dans son livre Le pavillon des cancéreux, dans lequel il décrit une région de la Sibérie épargnée par le cancer. Ce miracle serait dû à l’absorption d’une tisane faite à partir d’un champignon local: le chaga. On le trouve partout où il y a des bouleaux, donc en Sibérie, bien sûr, mais aussi dans les pays scandinaves, aux États-Unis, au Québec et dans le reste du Canada.
Alors, je suis reparti du village de Saint-Quentin avec quelques recettes de décoctions en me disant que l’on ne sait jamais et qu’avec le temps, un jour ou l’autre, j’en aurai sans doute besoin pour soigner un quelconque rhumatisme. Personnellement, je connaissais le chaga, mais sans avoir poussé l’expérience culinaire très loin. Ma fille en avait dans sa cuisine, à côté de son kombucha fait maison. Elle en fait parfois des tisanes à la saveur légère de vanille et d’eau d’érable, avec un soupçon d’amertume. Grâce à Céline Dufour et à François-Xavier Fauck, de la boutique Chapeau les bois du Marché du Vieux-Port de Québec, j’avais eu l’occasion de déguster la bière Chagga, produite en collaboration avec la Brasserie générale. J’ai joint Anthony Avoine, qui est le propriétaire d’Amyco et un spécialiste des champignons sauvages de la région de Charlevoix.
«Comme tout ce qui se ramasse dans nos forêts, il y a des précautions à prendre pour assurer une pérennité de la ressource, car, comme on le sait, il y a de plus en plus de cueilleurs intéressés aux produits sauvages. Ce qui est important, c’est de faire une coupe franche avec une scie mécanique ou un bon couteau-scie et en laisser suffisamment sur l’arbre pour faciliter la repousse. Deuxième précaution: il faut faire sécher le chaga rapidement afin d’éviter la moisissure. Je le coupe en morceaux et le fais sécher à l’intérieur d’un déshydrateur», m’a dit Anthony. À la question: est-ce que le chaga est un parasite du bouleau? Anthony laisse planer un doute. «La question reste ouverte, ce n’est apparemment pas si clair que ça. Des études sont en cours afin de déterminer si cette excroissance sur le bouleau est un parasite.» Subtilité et nuances
Au point de vue du goût, la première réaction serait de dire «qu’il n’y a rien à écrire à sa maman», comme disait mon oncle. Néanmoins, sa subtilité et ses nuances méritent que l’on s’y attarde et que l’on s’y intéresse. Je pense particulièrement à la production d’infusions corsées qui accentueraient l’amertume et viendraient se fondre dans une recette aussi bien salée que sucrée. Vous pourriez l’utiliser comme un fond de veau ou de gibier, voire de fumet de poisson, afin de pocher ce dernier et récupérer le fond de cuisson pour faire la sauce. Vous trouverez le chaga sous forme de poudre ou en morceaux dans les magasins d’aliments naturels. En ce qui me concerne, je passe régulièrement au Marché du Vieux-Port de Québec, où le spécialiste des champignons Chapeau les bois est bien garni en toutes sortes de champignons frais et séchés, dont le chaga. Faites-en l’essai! Dans le pire des cas, il vous guérira d’un petit bobo.
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Jean Baptiste Yohanan
November 1, 2016 11:51 AM
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VIDÉO. À Srinagar, une vieille sépulture est attribuée à Yuz Asaph, né d'une vierge en Galilée. Pour les adeptes du mouvement Ahmadiyya, il s'agit de Jésus.
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Jean Baptiste Yohanan
October 24, 2016 2:45 PM
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Selon une étude de l’Ipsos, à peine plus de la moitié des personnes interrogées considère que la vaccination présente plus de bénéfices que de risques.
Les vaccins font l’objet d’un scepticisme record de la part des Français, dont la méfiance augmente également pour la plupart des catégories de médicaments, comme envers les professionnels de santé, selon une étude annuelle publiée lundi 24 octobre. Le sondage a été effectué auprès d’un échantillon représentatif de 1 000 personnes en France, interrogées via Internet du 9 au 16 juin 2016.
Seulement 69 % des personnes interrogées font confiance aux vaccins (moins deux points par rapport à 2015), soit le taux le plus bas depuis le lancement de cet Observatoire sociétal du médicament, réalisé depuis 2012 par l’institut Ipsos pour le compte de l’organisation française des industriels du secteur, le Leem.
Les jeunes plus méfiants
Par ailleurs, à peine plus de la moitié (52 %) des personnes interrogées considère que la vaccination présente plus de bénéfices que de risques, 33 % estimant qu’elle comprend autant des deux, et 15 % plus de risques que d’avantages. Ces perceptions varient toutefois d’une génération à l’autre : la génération des 25-34 ans est ainsi la plus méfiante vis-à-vis des vaccins, et celle des 55-59 ans la plus confiante.
Sur l’ensemble des sondés, 34 % déclarent ne pas être certains d’être à jour dans leur vaccination et 6 % n’en ont aucune idée.
Plusieurs controverses ont entouré des vaccins ces dernières années, notamment le vaccin contre l’hépatite B, ceux contre les infections dues aux papillomavirus (HPV), à l’origine de cancers génitaux, ou encore le vaccin contre la grippe pandémique A (H1N1) en 2009.
Pour tenter d’y remédier, une « concertation citoyenne » sur les vaccins a été lancée cette année par le ministère de la santé auprès du grand public et des professionnels de santé, avec une synthèse et des recommandations attendues avant la fin de l’année.
La parole des lanceurs d’alerte de plus en plus estimée
Pour les médicaments en général, 84 % des sondés déclarent avoir confiance, un niveau restant élevé mais en baisse d’un point sur un an. Une érosion apparaît dans la quasi-totalité des catégories, en particulier les médicaments sur ordonnance (– 5 points) et les médicaments remboursés (– 4 points), deux catégories qui demeurent toutefois à un niveau de confiance très élevé (88 %).
Seule l’homéopathie progresse (73 %, + 2 points), tandis que les génériques restent stables par rapport à 2015, à 68 %.
La confiance dans les professionnels de santé pour informer sur les médicaments demeure également élevée (de 88 % pour les pharmaciens à 93 % pour les médecins traitants) mais décline sur un an, tandis que celle accordée aux lanceurs d’alerte explose (69 %, + 24 points).
"Un jour, dans une soirée, une copine m'a présenté un paysan" C'est ainsi que le personnage principal de cette BD, une citadine sensible aux enjeux environnementaux, rencontre un paysan de la Confédération paysanne, Michel. Elle est déçue car il n'a pas de moustache... Cette BD développée sur un ton humoristique présente de façon simple et pédagogique l'agriculture paysanne et ses 6 thèmes : autonomie, répartition, travail avec la nature, développement local, qualité des produits et transmissibilité des fermes. La BD retrace l'expérience des parents de Michel qui à travers la rencontre de nombreux paysans de la Conf' essaient de reprendre la main sur leur mode de production et sur le sens de leur métier. A diffuser largement !
Via Eloy SOGLOHOUN
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Jean Baptiste Yohanan
October 16, 2016 5:18 PM
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Le fait que l'agriculture biologique utilise des pesticides vous surprend ? Vous n'êtes probablement pas seul(e) : il semble qu'un Français sur deux l'ignore. C'est ce qui a motivé le journaliste Erwan Seznec, qui contribue depuis des années au magazine Que Choisir, à écrire un article sur les pesticides utilisés par l'agriculture bio. Cet article, tout à fait…
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Jean Baptiste Yohanan
September 18, 2016 4:15 AM
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Des neuroscientifiques américains ont montré qu'un mécanisme physiologique bien connu permettait d'expliquer les bienfaits de cette science orientale sur certaines douleurs locales. L'acupuncture a beau être une science orientale vieille de plus de 4000 ans, ses mécanismes restent largement méconnus. C'est tout un pan de la médecine chinoise qui est d'ailleurs souvent méprisé par les scientifiques occidentaux. Une étude américaine menée par Maiken Nedergaard, neuroscientifique à l'université de Rochester à New York, va peut-être permettre de changer un peu cet état de fait. Dans ce papier publié en ligne dimanche dans Nature Neuroscience, la chercheuse lève le voile sur un processus physiologique permettant d'expliquer comment l'acupuncture permet de soulager les souris d'une douleur localisée. Ces résultats établissent un pont intéressant entre médecines orientale et occidentale. Les séances d'acupuncture menées par Maiken Nedergaard ont duré une demi-heure pour chaque animal. A chaque fois, elle a enfoncé une aiguille dans un point bien identifié situé dans la patte douloureuse d'un cobaye et a tourné l'aiguille, selon une méthode traditionnelle, toutes les cinq minutes. Elle a alors prélevé un peu du liquide qu'elle trouvait dans la zone piquée, et a mesuré la teneur en adénosine, un anti-douleur naturel sécrété par certaines cellules. A la fin de la séance, celui-ci était 24 fois plus élevé qu'au début. Par ailleurs, les chercheurs ont constaté que cela coïncidait bien avec une diminution importante de la souffrance pour deux tiers des souris traitées. L'acupuncture traditionnelle peut être améliorée
Afin d'assurer que c'était bien ce mécanisme qui expliquait la réussite des séances d'acupuncture, son équipe a mené la même expérience sur des souris génétiquement incapables d'utiliser l'adénosine (elles n'ont pas le gène qui permet de synthétiser les récepteurs indispensables à l'action antalgique de la molécule). Les séances d'acupuncture n'ont alors eu aucun effet sur elles. En injectant de l'adénosine directement dans la patte de la souris, la chercheuse a d'ailleurs obtenu des résultats sensiblement similaires à ceux observés après traitement par acupuncture. Pour finir, les scientifiques ont utilisé un médicament contre la leucémie, la deoxycoformycine, connue pour ralentir la disparition de l'adénosine dans les cellules musculaires. Les bienfaits des séances d'acupuncture ont ainsi été prolongés trois fois plus longtemps. Maiken Nedergaard a donc bien montré qu'il était possible, dans le principe, d'améliorer l'acupuncture en l'assistant par la médecine occidentale. Elle aura aussi démontré par la même occasion qu'il était réducteur d'invoquer constamment l'effet placebo, comme le font les sceptiques, pour expliquer certaines réussites de l'acupuncture.
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Jean Baptiste Yohanan
September 3, 2016 5:53 PM
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En 2015, 6 115 médecins français ont déclaré un titre ou une orientation de médecine alternative et complémentaire, selon l’ordre des médecins. Un sur cinq exerce à l’hôpital.
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Jean Baptiste Yohanan
September 2, 2016 12:56 PM
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Image crédit :www.topsecret.fr
Les Hôpitaux s’ouvrent aux guérisseurs
Ils sont rebouteux, magnétiseurs ou coupeurs de feu. Ils posent leurs mains, récitent des prières et soulagent les patients. Entre ces thérapeutes aux pratiques mystérieuses et les médecins, le dialogue s’est enfin instauré.
Demander l’assistance d’un barreur de feu
Cela peut arriver à n’importe qui. Vous vous êtes brûlé, vous courez aux urgences. Vous souffrez affreusement malgré les antalgiques. Vous hélez l’infirmière qui réagit de façon imprévue : elle vous demande si cela vous dirait d’appeler un coupeur de feu. « Un quoi ? » Elle vous tend une liste de numéros de téléphone et dit à voix basse : « Ça peut paraître bizarre, mais ils ont déjà soulagé quantité de patients. Rien d’officiel, mais nous vous garantissons que c’est sans danger. » La douleur est telle que vous n’hésitez pas longtemps avant de pianoter sur votre portable. Une voix vous demande juste votre nom. Vingt minutes plus tard, la souffrance a disparu.
Cette scène est devenue presque banale dans certains services hospitaliers, à Saint-Brieuc, Rodez, Annemasse ou Marseille, où l’on nous confirme – de façon en général officieuse – que l’on fait régulièrement appel aux « coupeurs (ou barreurs) de feu ». Pour soulager la douleur, pour accélérer la cicatrisation des brûlures suite à un accident ou lors d’un traitement du cancer par radiothérapie.
Collaboration entre médecins et guérisseurs
Cette étrangeté n’est que la partie émergée d’un vaste ensemble. Contre toute attente, à l’ère scientifique, même dans notre très cartésienne France, médecins et guérisseurs (ou magnétiseurs, coupeurs de feu) collaborent de multiples façons. Pour traiter des urgences ou des troubles chroniques réputés inguérissables. Quels médecins osent en parler?
Rarement les pontes, dont la plupart ne sont d’ailleurs pas au courant. Patron des urgences à l’hôpital Nord de Marseille, le docteur Philippe Jean lève un sourcil perplexe : « Coupeur de feu ? Connais pas. Mais je vais demander à mes infirmières si elles en ont entendu parler. » Ces dernières lui répondront par l’affirmative… sans s’avancer davantage, le sujet est risqué. Même curiosité étonnée de la part de la cancérologue Laure Copel, à l’institut Curie. Chef du service d’oncologie médicale à l’hôpital européen Georges-Pompidou, à Paris, le professeur Jean-Marie Andrieu, lui, a déjà eu vent de ces « magnétiseurs censés vous retirer le feu ». Mais il doute du sérieux de l’affaire : « Ça se saurait ! Dommage, je ne demanderais pas mieux, on a tant de complications en radiothérapie. Ramenez-moi un seul cas traité par vos magiciens et observé selon les critères scientifiques et on en reparle. »
Le flirt entre système hospitalier et guérisseurs se joue davantage dans le monde des infirmières que dans celui des médecins. Discrètement informés, les chefs de clinique laissent souvent faire… à condition que l’on n’en sache rien. Toutefois, certains s’y intéressent, avec un mélange de perplexité et de fascination, et prennent le risque d’en parler.
Leur diagnostic, un vrai scanner
Ancien chef de clinique en cardiologie puis en médecine interne, devenu psychiatre, enseignant en psychothérapie à la faculté de Bordeaux, le professeur Gérard Ostermann a depuis longtemps repéré les facultés hors normes de certaines guérisseuses. La première s’appelait Claudine. On la consultait discrètement à l’Institut de cancérologie de Reims, soit pour aider à déceler la source d’un mal qu’on ne parvenait pas à élucider, soit pour confirmer une hypothèse peu sûre.
La pertinence de son ressenti était stupéfiante. Elle devenait moins fiable quand elle tentait d’intellectualiser la chose et se piquait de donner ses interprétations. Depuis, des guérisseurs, j’en ai connu plusieurs. Leur capacité à soigner toutes sortes de maux de façon “énergétique” est indéniable – des brûlures aux rhumatismes, des abcès aux calculs. Je reste fasciné par leur diagnostic, un vrai scanner, et par leur humilité : « la majorité ne se fait pas payer. Les guérisseurs ne deviennent dangereux que lorsque leur ego enfle et qu’ils prétendent faire de la science. Globalement, ce qu’ils font bouleverse notre vision de la maladie, du corps, de la médecine, du réel… Tout est à revoir ! » Pour la plupart des médecins qui osent évoquer leur collaboration avec les guérisseurs, celle-ci se justifie de façon très pragmatique. Ainsi, le docteur Alain Marre, chef du service de radio-oncologie du centre hospitalier de Rodez (Aveyron) : « Voilà plus de trente ans que j’oriente mes patients vers des guérisseurs pour soulager les douleurs, sans a priori : j’ai juste constaté que cela améliorait leur état. Dois-je refuser sous prétexte qu’on ignore comment ça marche ? »
Ils palpent des flux invisibles
D’une dizaine d’interviews de guérisseurs se dégage un profil type. Rares sont ceux qui voient leur « don » se déclencher en cours de vie, telle Patricia Alleli, d’Aix-en-Provence, qui l’a découvert à 48 ans, après un accident cérébral. Généralement, ça commence très jeune. Dès l’âge de 4 ans, Jean-Luc Bartoli ne supporte pas de voir quelqu’un souffrir et pose compassionnellement ses mains sur lui. Au même âge, Brigitte, de Besançon, sauve des lapins mortellement malades de sa grand-mère : ceux sur le ventre desquels elle a posé les mains. À 5 ans, Corinne, de Marseille, fait du bien à tous ceux qu’elle touche, notamment l’une de ses tantes souffrant d’arthrose : très vite, le voisinage entier sait que ses mains soignent.
Pour Josette, de Montélimar, le phénomène a démarré à 2 ans. « Je croyais que tout le monde était comme ça : quand je pose ma main sur quelqu’un, je ressens de l’électricité. Et quand j’arrive sur une zone souffrante, ça me pique, comme si une pointe jaillissait. Si je laisse ma main un moment, la piqûre s’en va et la souffrance de la personne aussi. Aujourd’hui, j’ai 85 ans et j’en ai soigné, des gens ! Jamais je ne me suis fait payer : ce don me dépasse, impossible de le monnayer. Je ne crois pourtant pas au bon Dieu… » Vivant de sa pension de veuve de gendarme, elle précise : « Si vous voulez que je vous soigne, ne me dites pas ce que vous avez !
Ma tête doit rester au repos. Si elle se met à gamberger, je ne suis plus bonne à rien. » Notre esprit rationnel a d’autant plus de mal à comprendre que les guérisseurs ne se contentent pas de poser leurs mains sur leurs patients. Ils palpent aussi des flux invisibles qu’ils semblent peigner, ou rassembler, ou recoudre, vous expliquant, comme Pierre. Yonas qui soigne l’équipe de handball de Savigny-sur-Orge : « J’ai senti une fuite d’énergie au niveau de l’omoplate d’un joueur, je l’ai colmatée. » L’affaire se corse quand on découvre que beaucoup soignent aussi à distance, souvent en se concentrant sur une photo du patient, et parfois à l’insu de la personne souffrante, celle-ci pouvant être un bébé ou un animal. « Par exemple, mes chevaux, dit Michelle,que je soigne depuis des années, après avoir appris, non seulement à les toucher, mais à me mettre à l’intérieur d’eux, à leur place. »
Hypothèses d’explication
Les guérisseurs eux-mêmes reconnaissent ne pas savoir « comment ça marche ». Beaucoup évoquent une grâce divine et quasiment tous insistent pour dire qu’ils ne servent que de catalyseur réveillant les capacités de guérison internes du patient. Nous interrogeons Brigitte Grimm-Laforest, présidente du Groupement national pour l’organisation des médecines alternatives (Gnoma) et vice-présidente du Syndicat national des magnétiseurs et praticiens des méthodes naturelles et traditionnelles (Snamap). « Notre vocation est d’abord de soigner, dit-elle. Des dizaines d’entre nous travaillent en France avec des médecins. Mais scientifiquement, nous sommes incapables d’expliquer notre efficacité. Aux chercheurs qui nous traitent de charlatans, nous renvoyons la balle : venez donc nous étudier et dites-nous pourquoi ça marche ! Après tout, c’est votre boulot, pas le nôtre. »
Ces guérisseurs soignent … Les scientifiques étudiant ces pratiques ne sont pas légion : le sujet est tabou. Mais des recherches existent. Ces mains qui soignent, se dit-on, dégagent probablement un genre d’électromagnétisme dont on devrait pouvoir découvrir comment il guérit. Cela rejoindrait le courant de pensée selon lequel une médecine « quantique », fondée sur les rayonnements, devrait compléter au XXIe siècle la médecine « chimique », fondée sur les molécules. Mais avant cela, il y a l’explication « placebo » : l’influence des guérisseurs, surtout psychologique, reposerait sur la croyance et la confiance du patient.
À la question du « comment » les réponses des guérisseurs eux-mêmes sont divisées. Les uns pensent être traversés par une force « sacrée » que nulle science ne pourra jamais appréhender. Les autres affirment qu’il n’y a rien de magique dans ces phénomènes de libération énergétique et que la science médicale aurait tout intérêt à les étudier de près. Voyez-vous une troisième solution Patrice van Eersel, Marie Borrel Retrouvrez l’article dans son intégralité dans le Hors-Série Santé de CLES www.cles.com Source : Energie Santé
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Jean Baptiste Yohanan
August 17, 2016 6:02 AM
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Aujourd'hui, la majorité des gens pensent que le Baume du Tigre est un remède de grand-mère démodé.Mais les personnes nées avant les années 80
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Jean Baptiste Yohanan
December 23, 2016 8:00 AM
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68% des Français considèrent que l'agroécologie est une solution contre la famine. Une fois de plus, force est de constater que les citoyens sont plus pertinents dans leur analyse de la situation que les décideurs internationaux, incapables, à la sortie de la COP22, d'avoir pris de véritables décisions pour l'agriculture.
Aux COP et cetera...
L'agriculture, et celle du continent africain tout particulièrement, aurait dû être au cœur des débats de la conférence sur le climat, la COP22 à Marrakech. Malgré la situation gravissime et la taille des enjeux, peu de décisions concrètes ont été prises. Les initiatives mises en avant sont restées dans le vague, et les approches divergentes. A chaque fin d'année, la COP fredonne la même lamentation. Mais la situation agricole est trop grave pour attendre d'hypothétiques décisions politiques.
Les citoyens le savent: pour agir efficacement, il faut faire confiance à ceux qui démontrent des impacts positifs sur le terrain. C'est l'expérience en prise avec le réel qui fait la différence. Ceux qui mettent la main dans la terre, ceux qui chaque jour sont au contact des paysans, ceux qui vivent la réalité du climat. Ils témoignent et connaissent les solutions.
Pendant que la COP patinait, Terre et Humanisme agissait
Après l'accord de Paris, on s'aperçoit à Marrakech que les politiques n'ont pas encore mis en place les moyens d'appliquer les mesures nécessaires. Pourtant, il faut agir. En 2016, Terre & Humanisme a engagé de grands projets en lien avec les acteurs du terrain et apporté des réponses concrètes pour faire connaître l'agroécologie au plus grand nombre, partager et diffuser les pratiques vers le changement de paradigme.
A l'international, Terre & Humanisme et ses partenaires structurent un programme triennal en Afrique de l'Ouest sur 3 pays. Au Mali, au Burkina Faso, au Togo, elle coordonne les actions de neuf partenaires, dont 4 centres de formation. 150 groupements de paysans et villages sont accompagnés chaque année. En 2016 près de 4000 familles, soit 25.000 personnes bénéficient des retombées économiques et sociales positives.
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Jean Baptiste Yohanan
November 25, 2016 3:15 AM
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Nous savons tous que fumer est néfaste pour notre santé. Cependant, arrêter de fumer n’est pas une chose aussi simple que ça. Pour certaines personnes, c’est en effet la chose la plus difficile à faire. C’est la nicotine qui pousse les fumeurs à continuer de fumer. Elle est addictive et rend le corps dépendant. Ainsi, plus vous fumez, plus votre corps a besoin de nicotine.
Lorsque vous ne donnez pas à votre corps ce dont il a besoin, vous vous sentirez perturbé, capable de tout pour une simple cigarette. C’est la phase d’arrêt, et il vous faut du temps avant de vous habituer à vivre sans cigarettes. Les signes physiques disparaissent au bout d’une semaine, mais le besoin de fumer restera encore plus longtemps.
La Stevia pour arrêter de fumer: Utilisez la Stevia pour arrêter de fumer rapidement et plus facilement.
Le pouvoir de la Stevia : Une étude allemande récente a montré que la Stevia pouvait vous aider à arrêter de fumer et de boire.
Cette plante appartient à la famille des chrysanthèmes, originaire du Paraguay. Elle a été utilisée comme édulcorant depuis longtemps.
Elle bloque les signaux de manque qu’envoie votre cerveau, et vous empêche ainsi de ressentir l’envie de fumer. Utiliser la Stevia pour arrêter de fumer est donc une excellente solution.
En effet, deux gouttes de Stevia feront l’affaire ! Mettez-les directement sur votre langue chaque fois que vous ressentez l’envie de fumer. Cette astuce a un effet instantané et réduit le besoin de fumer.
Vous pouvez trouver l’huile et la poudre de Stevia dans les supermarchés ou les magasins bio.
Elle est également recommandée pour ceux qui essaient de perdre du poids ou de régler leur pression artérielle, et agit également sur le diabète. Mais comme nous l’avons déjà dit, sa plus grande vertu est son pouvoir à abolir le manque de nicotine. Vous pouvez aussi l’utiliser comme masque car elle nourrit, serre et adoucit la peau. La Stevia est également un excellent produit contre l’acné et la dermatite.
Comment cultiver la Stevia à la maison : La Stevia est une plante pérenne. Elle aime le soleil chaud et ne peut pas survivre en froid extrême.
Plantez-là dans des récipients de 30 cm de diamètre et assurez-vous d’utiliser du terreau de bonne qualité. Gardez-là en plein soleil et arrosez-là à chaque fois que la surface du sol est sèche.
Plantation et soins : Assurez-vous que votre plante ait suffisamment d’espace, comme un pot de 30 cm de diamètre. Plantez-la dans un sol lâche, limoneux et bien drainé. Elle atteindra 30-90 cm de hauteur. Bien sûr, cela dépendra de la saison. Attendez que le froid passe avant de planter votre Stevia. Utilisez du compost, de l’herbe Bonnie ou des légumes pour bien nourrir le sol. Un paillis empêchera également votre plante de se dessécher en été.
Indications : Gardez à l’esprit que la Stevia n’aime pas le sol détrempé, alors assurez-vous de bien l’arroser afin de préserver les racines. Si vous remarquez que votre plante est toujours flétrie même après l’avoir arrosée, c’est que ses racines sont probablement déjà pourries. Certains insectes aussi peuvent nuire à votre plante. Evolution : La Stevia fleurit en automne, donc couper les fleurs permettra à de nouvelles feuilles de pousser. En effet, la Stevia a de petites fleurs blanches en automne, et en cette période de l’année, elle s’étend et n’a pas beaucoup de bonnes feuilles. Coupez les fleurs et votre plante aura de nouvelles feuilles.
Les feuilles de Stevia sont plus sucrées en automne. La plante a un goût bien meilleur avant de commencer à fleurir.
Faites sécher les feuilles pour les conserver plus longtemps. Pour ce faire, commencez par couper les tiges et enlever les feuilles, puis éparpillez-les sur un tissu fin et laissez-les sécher à l’extérieur au soleil.
Les feuilles sèchent en une seule journée. Recueillez-les dans un récipient avant qu’elles ne soient humides. Broyez vos feuilles séchées ou utilisez un robot culinaire pour les poudrer.
Conservez la poudre obtenue dans des récipients hermétiques. Cette poudre ne se dissout pas mais elle donnera un excellent gout sucré à vos boissons et vos plats. Source:www.naturalcuresandhomeremedies.com/Traduit et adapté par:aidersonprochain.com
Partager la publication "Vous voulez arrêter de fumer ? Cette herbe détruit votre manque de nicotine définitivement."
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Jean Baptiste Yohanan
November 24, 2016 5:29 AM
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Au coeur de nos vies, nous avons tous des zones « pas très reluisantes », ou que nous voulons simplement garder pour nous, et des pans lumineux que nous souhaitons exposer fièrement de manière bien visible… Et nous nous questionnons souvent sur « comment équilibrer le tout »?
Nous sommes régulièrement tentés de gommer le « négatif » de nos quotidiens car il nous semble moins « joli » que le reste. Comme si nous pouvions décemment être parfaits et réussir en tout point?
Cette « quête de perfection » pour asseoir notre « réussite » peut nous amener à bien des excès qui ne sont absolument pas gages d’équilibre.
Posons-nous donc en nous-même pour accueillir le « bon » comme le « mauvais » et observons ce qui en ressort.
Si vous effacez vos « erreurs » que deviennent vos apprentissages?
En Santé, le « bon élève » qui ne cumule que des « bons points » sur le papier n’est pas assuré de se prémunir du moindre souci. Dans ce cas, « à quoi cela sert-il de vouloir bien faire »?
« Bien faire » et « bien être » sont des objectifs auquels nous aspirons tous pour nous épanouir.
Il est profitable de nous fixer des objectifs, des buts à atteindre car leur existence même entretient notre motivation. Cependant, notre but ne présuppose pas du parcours que nous allons sillonner pour espérer y arriver. Dans cette progression, l’ombre et la lumière ont toutes les deux leur place et chacune a son rôle à jouer, porteur de sens, pour nous aider à évoluer.
Nous pouvons apprendre de chaque chose et cela nous permet de grandir.
L’ombre et la lumière se contre-balancent, fluctuent et oscillent au fil du temps…et c’est tant mieux ainsi!
L’important c’est de continuer à avancer en tirant parti de ce qui se présente. Évitons de « stagner » (nous embourber à reproduire des schémas qui n’aboutissent pas), entretenons le mouvement. Dans la nature, ce qui ne croît plus commence aussitôt à décroître.
Le développement et la croissance n’étant pas systématiquement représentées par de belles et grandes lignes droites, regardez les ramifications des racines et des branches qui se frayent leurs propres chemins afin que les arbres soient porteurs de fruits…
Nos fruits sont issus et gorgés de nos ombres comme de nos lumières
Diane Le Berre
Ostéopathe D.O & aroma-olfactothérapeute
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Jean Baptiste Yohanan
November 1, 2016 10:33 PM
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En matière de nutrition il y a beaucoup d’écoles différentes, mais on prend peu le temps d’écouter ce que le corps nous dit… On a toujours entendu dire : « Le matin il faut que tu prennes des forces, c’est le repas le plus important de la journée », ou encore « Manger comme un roi le matin, comme un prince à midi et comme un mendiant le soir ». Ces adages sont-ils valables pour tous, à tous les moments de la vie? Ce genre de recette serait trop simpliste en diététique. Dé-jeuner signifie sortir du jeûne. La nuit est donc une période de jeûne, qui sert à détoxifier le corps : les organes d’élimination travaillent beaucoup, le sang circule facilement en position allongée, les activités conscientes sont arrêtées…on est en hypoactivité métabolique. Le premier ingrédient va être capital, car il va relancer la digestion après près de douze heures de repos. Commencez par un verre d’eau, les reins ayant beaucoup travaillé la nuit. Prenons l’exemple du petit-déjeuner continental traditionnel : il est constitué d’un café, possiblement au lait, un petit sucre blanc, des tartines de pain blanc ou des croissants, du beurre, de la confiture, un petit jus d’orange, et dans le meilleur des cas un fruit. C’est-à-dire qu’on passe de rien à sept ou huit ingrédients de nature différente, qui ont tous été transformés deux ou trois fois, de manière industrielle la plupart du temps. Le premier constat est qu’il n’y a aucun aliment vivant, naturel qui arrive dans le corps pour commencer la journée. Si je vide toutes mes batteries le matin, je ne vais pouvoir tenir qu’avec des stimulants ou un excès de nourriture.
Le deuxième aspect à observer est : Est-ce que ces aliments sont-ils compatibles entre eux? Les amidons nécessitent entre trois et cinq heures de digestion. À ces sucres complexes on ajoute le sucre raffiné, le sucre cuit, et celui du jus d’orange. Le lactose est aussi un autre de sucre, de nature animale cette fois-ci. Ces aliments sont incompatibles du point de vue physiologique, auxquels on rajoute l’hyperacidité du café et du jus de fruits. On peut se sentir bien rempli ! Cet agrégat de matière complexe à digérer n’a rien à faire dans l’organisme, puisque déjà au sortir du repos, il le fatigue. Il occasionne un stress de l’organisme déclenchant une série d’activations énergétiques dans le corps qui reçoit cette bouillie comme un élément toxique. Il ne faut pas oublier que notre corps est plus acide le matin et plus alcalin en allant vers le soir (on peut mesurer le PH tout au long de la journée avec des languettes prévues à cet effet).
Supposons que je déjeune à 7h, avec ce petit-déjeuner traditionnellement admis je vais avoir un petit creux vers 10h/10h30, accompagné parfois d’un mal de tête, c’est désagréable et en plus je vais être moins performant sur mon lieu de travail. Alors je fais une pause café avec un petit quelque chose à manger. Mais à ce moment là je termine la digestion de mon petit-déjeuner, qui devrait alors produire un effet sur les cellules. Or j’ai mon estomac qui gargouille. Ne serait-ce pas plutôt un symptôme qu’un signe de faim? Une tentative de remise en place de quelque chose qui aurait été malmené? Il y a tellement de sucs gastriques différents qui ont dû être produits par l’estomac qu’une fois que ce dernier est vidé, il fait le ménage. Car la véritable faim se passe au niveau salivaire, pas dans l’estomac. Avec notre encas du milieu de matinée on part sur un nouveau cycle de digestion jusqu’à 13h30. Mais comme je mange vers 12h30, je suis à nouveau en digestion jusqu’à 16h, où je vais goûter car j’ai un coup de barre. Ça m’amène à 17h30. Une fois rentré à la maison je vais grignoter un peu, et mon repas arrive vers 19h, je vais donc le digérer jusqu’à 22h. En réalité, de 7h du matin à 22h je n’aurai fait que digérer. J’aurai eu l’impression de faire trois repas principaux, mes deux en-cas n’étant pas vraiment considérés comme une alimentation, mais j’aurai quand même sollicité mon estomac toute la journée, en associant son travail à une sensation de faim. Il ne reste que la nuit au corps pour être en mode réparation. Or il n’est pas rare que l’on rogne sur notre temps de sommeil pour faire des choses, parfois on se couche stressé… Et on fait des cures parce que l’organisme n’a pas assez de temps pour gérer nos habitudes alimentaires qui le fatiguent (et le font vieillir prématurément).
Le petit-déjeuner est crucial oui, dans le sens où il va enclencher toutes les réactions de l’estomac pendant la journée. Si je mange adéquatement le matin, je n’aurai pas de fringale à 10h ni à 16h. Alors quel petit-déjeuner respecte notre physiologie?
La première question à se poser au réveil est : Est-ce que j’ai faim? Car on a tous connu des situations où l’on nous a obligés à manger le matin, sans avoir faim. Et si j’ai faim, vers quoi j’irai? Si j’ai peur d’être fatigué j’opterai pour le café. Mais on n’est pas vitalisés par le café, c’est le corps qui se met en excitation nerveuse pour éliminer ce produit qui est reconnu (par le corps) comme toxique.
Le meilleur petit-déjeuner selon moi c’est : des fruits doux (non acidifiants), dans les quantités que l’on veut. Ils prennent trente minutes à être digérés : ça passe mieux, je n’ai plus de coups de barres et j’ai plus d’énergie qu’avant. Au lieu de huit variétés d’aliments on en a une seule. Il est possible d’ajouter des oléagineux : noisettes, amandes, noix de cajou, pistaches… Et nous avons là des acides gras, des protéines, des vitamines, des minéraux, des glucides, et c’est suffisant! S’il y a du fructose en excès, il sera stocké au niveau du foie pour être libéré quand il y aura à nouveau besoin d’énergie. Le petit-déjeuner n’est pas le repas le plus important de la journée en termes de quantité mais d’association alimentaire, d’équilibre acido-basique et d’apport nutritionnel. Le petit-déjeuner le plus répandu n’est absolument pas pourvoyeur d’énergie, en aucune manière. En revanche il est pourvoyeur de calories et de stress pour l’organisme. J’invite les gens à essayer pendant dix jours et si ça ne leur plait pas ils peuvent toujours changer. Mais je n’ai connu personne qui soit revenu en arrière. Si on craint quand même les coups de barres, on peut prendre avec soi des fruits ou des fruits secs. Vous pouvez ainsi gagner huit à neuf heures par jour de repos pour l’organisme! Le mieux est de faire sa propre expérience, de tester en prenant le temps d’analyser ses journées, et d’ajuster en fonction des saisons et des besoins du corps, de nos activités.
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Jean Baptiste Yohanan
November 1, 2016 5:09 PM
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Les arbres aussi suivent un rythme circadien et "s'endorment" la nuit venue, voyant leur branches s'affaisser. Des chercheurs européens ont, pour la première fois, observé le phénomène en conditions réelles sur une espèce de bouleau (Betula pendula). Des bouleaux (Betula pendula) dans une forêt au Canada À quoi rêvent les grands feuillus ? Et si le bois dormant, sans sa belle, sommeillait lui-aussi comme une souche ? Une équipe de chercheurs finlandais, autrichiens et hongrois a mis en évidence, à travers un article publié dans Frontiers in Plant Science, le relâchement au cours de la nuit des branches et feuillage d'une espèce de bouleau (Bouleau verruqueux, ou Betula pendula)... et ce n'est pas de la faute du vent. Les branches voient leur hauteur nocturne fluctuer spontanément, l’amplitude du déplacement pouvant même atteindre 10 cm. En bref : l'arbre s'incline vers le sol par oscillations délicates puis se redresse au petit matin. Le schéma ci-dessous illustre un tel mouvement.
En ordonnée à gauche, l'amplitude du déplacement (%) en fonction de l'heure selon la hauteur des branches (étiquettes de couleur)
C’est un fait connu depuis des siècles : le règne végétal possède ses propres biorythmes, le tournesol (Helianthus annuus) représentant l'un des exemples les plus populaires. Directement dépendantes de la photosynthèse, les plantes doivent naturellement s’adapter au mouvement du soleil et à l’alternance jour/nuit. Les scientifiques avaient déjà réussi, en laboratoire, à observer le repos circadien d’espèces végétales de petite taille. Cette prouesse restait encore à accomplir sur le terrain, à l’échelle d’un grand arbre dans son environnement forestier.
Des lasers dans les cîmes
Mais comment observe-t-on un arbre dormir ? L'équipe de chercheurs a eu la bonne idée de recourir à des lasers en guise de capteurs, une instrumentation facile à déployer sur le terrain et capable de détecter les plus petites déformations géométriques. Afin de s’assurer que le vent ne puisse pas influencer les résultats, l’expérience a été répétée sur deux sites distincts en Autriche et en Finlande. Il a aussi fallu choisir des jours de météo clémente pour écarter toute action mécanique du vent, et suffisamment proches de l’équinoxe d’automne pour que le soleil soit le plus proche possible du zénith. Une telle technique d'imagerie laser appliquée aux arbres est une première dans le champ des sciences végétales, et demande désormais à être généralisée à d'autres espèces que le bouleau. D'autant plus que cette étude doit encore être doublée d’une analyse physiologique précise qui confirmera les causes exactes du phénomène : “Ces oscillations nocturnes sont certainement liées à des fluctuations dans la quantité d'eau et sa pression dans les branches”, estime Eetu Puttonen, auteur principal. De quoi intéresser la science, mais aussi les industriels. “Mieux comprendre les cycles d’activité végétaux pourra par exemple aider les sociétés forestières à mieux planifier leurs périodes d’exploitation.”
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Jean Baptiste Yohanan
November 1, 2016 9:43 AM
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Les arbres aussi suivent un rythme circadien et "s'endorment" la nuit venue, voyant leur branches s'affaisser. Des chercheurs européens ont, pour la première fois, observé le
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Jean Baptiste Yohanan
October 24, 2016 2:35 PM
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Le yoga, la méthode Pilates, la relaxation… Vous avez déjà essayé. Mais vous avez envie de changer. Après tout, c’est vrai, ça fait du bien de sortir de l’ordinaire ! Alors, pourquoi ne pas essayer le Qi Gong (à prononcer "tchi kong") ?
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Jean Baptiste Yohanan
October 20, 2016 10:43 AM
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La Théorie des signatures est une méthode d'observation du monde des plantes médicinales selon laquelle la forme et l'aspect des plantes seraient en lien avec ses propriétés thérapeutiques. Voici 8 aliments qui participent au bon fonctionnement et qui pourraient soigner les organes auxquels ils ressemblent.
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Jean Baptiste Yohanan
September 18, 2016 10:04 AM
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Après 10 ans de recherches et d analyses Judith Albertat l auteure de Lyme les solutions naturelles est persuadée qu on peut sortir d une maladie de Lyme chronique Grâce à une réforme alimentaire et
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Jean Baptiste Yohanan
September 8, 2016 8:43 AM
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Acciaroli est un charmant petit port de pêche situé dans le sud de l’Italie. Sa particularité ? Il compte sur 700 habitants dont 81 sont centenaires et en bonne forme ! Un véritable record qui intrigue les scientifiques. Quel est le secret de ces villageois ? Y a-t-il une recette pour vivre si vieux ? Des neurologues et des spécialistes du coeur italiens et américains apportent des premières réponses.
Plusieurs facteurs ont été pris en compte par les chercheurs. D’abord, le cadre de vie : un lieu entre mer et montagne, loin de la pollution urbaine. En 2012, la plage d’Acciaroli a été désignée comme la mer plus propre et plus belle d’Italie.
Ensuite, les habitudes de sa population et leur philosophie : ils ont érigé la lenteur comme un art de vivre. Voici un reportage de France pour découvrir les habitants d’Acciaroli et ce cadre de vie exceptionnel :
Ensuite, il faut considérer le régime alimentaire : du poisson frais, des légumes, des produits fermiers comme du lapin et du poulet, de l’huile d’olive et des herbes comme le romarin qui améliore les capacités du cerveau. Autrement dit, ils mangent principalement des produits qu’ils cultivent eux-mêmes, mais pratiquement pas de produits industriels. Mais l’alimentation ne suffit pas à tout expliquer. On retrouve les caractéristiques de ce régime dans d’autres villages en Italie.
L’autre point fort, c’est l’activité physique : pêche, jardinage, marche dans les rues escarpées du village et, plus surprenant pour des personnes âgées, l’activité sexuelle ! Mais cela n’est pas encore suffisant. Alors, des chercheurs de l’université de San Diego en Californie et de l’université La Sapienza à Rome ont fait de nombreuses analyses. 80 personnes dont 25 centenaires ont participé à cette étude.
Première constatation : aucun d’entre eux ne souffre de troubles cardiaques et de la maladie d’Alzheimer. C’est une piste que ces chercheurs ont explorée. Ils ont noté un point commun : l’absence d‘adrénomédulline dans l’organisme des villageois. De quoi s’agit-il ? C’est une substance qui dilate les vaisseaux sanguins. Les chercheurs ont conclu que cette spécificité « semble agir comme un puissant facteur de protection, en favorisant le développement optimal de la microcirculation. »
Autre remarque étonnante : des petites molécules présentes dans leur organisme pourraient aussi influencer la longévité exceptionnelle des habitants d’Acciaroli. Les chercheurs n’ont pas encore apporté plus de précisions.
Reste à savoir si ces constatations scientifiques sont l’effet ou la cause des facteurs cités précédemment : le cadre naturel, la lenteur, l’alimentation et la vie saine. D’après vous, quel est le secret de la santé de fer des centenaires d’Acciaroli ? Source: http://positivr.fr/acciaroli-italie-81-centenaires-record-cent-ans/
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Jean Baptiste Yohanan
September 2, 2016 5:08 PM
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Le Danemark vise désormais une agriculture 100% biologique ! Grâce à sa volonté sans faille et à des mesures concrètes, ce pays nordique pourrait bien atteindre son objectif ! Gros plan sur une ambition exemplaire.
Déjà très en pointe en matière d’écologie, le Danemark ne se fixe aucune limite et veut toujours aller plus loin. Son dernier objectif ? Atteindre une agriculture 100% biologique ! Un pari fou, mais complètement rationnel. Comment les Danois comptent-ils le gagner ? Réponse.
Déjà, il faut savoir que, dans le domaine, le Danemark ne part pas de zéro. Il y a déjà plus d’un an, au printemps 2015, le gouvernement danois avait décidé d’augmenter nettement la part de l’alimentation bio servie dans toutes ses institutions publiques (hôpitaux, crèches, cantines scolaires, ministères…) Une première action concrète et immédiate pour, dans un avenir proche, convertir toute l’agriculture nationale au biologique.
La mutation ne pourra se faire que progressivement mais, à force de volontarisme et de décisions ambitieuses, elle se fera.
D’abord, l’Etat entend bien montrer l’exemple. Comment ? En imposant les méthodes biologiques à toutes les terres qui lui appartiennent.
Aussi, pour inciter le privé à suivre le même chemin, des mesures incitatives seront mises en place. Parmi ces aides : le versement d’une allocation à tous ceux qui feront le choix du bio. Pourquoi ? Parce que la conversion au bio a un coût et qu’il faut encourager les agriculteurs à repenser leurs habitudes sans risque de faillite.
Parallèlement, toutes les marques favorisant le bio seront elles aussi récompensées par l’Etat danois.
Grâce à ces premières mesures, le Danemark espère très vite atteindre les 60% de bio en restauration collective (première étape vers les 100%).
Mais le gouvernement ne veut pas se limiter à la question de l’offre. Il veut aussi booster la demande et compte bien tout faire pour que les produits bio soient plus accessibles et plus attractifs.
Enfin, dernier volet de ce plan ambitieux, le Danemark entend bien faire exploser ses exportations de produits biologiques : pour y parvenir, il va squatter toutes les foires et tous les salons internationaux consacrés à ce domaine !
Exemplarité de l’Etat, aide aux producteurs, soutien aux distributeurs, coup de pouce aux consommateurs et encouragement des exportations : le Danemark tient sans doute la recette qui lui fera atteindre son but.
Comme quoi, à force de volonté politique et de décisions ambitieuses, tout est envisageable. Bravo le Danemark !
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Jean Baptiste Yohanan
August 31, 2016 9:23 AM
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L´agriculture naturelle est apparu dans les années 70 comme le résultat des 30 ans d´éxpériences faite par le microbiologiste japonais Masanobu Fukuoka. Elle trouve ses fondements dans une attitude opposée á celle de l´agriculture industrielle. L´idée est de réduire le controle et la manipulation du système agricole au minimum nécessaire pour avoir des ceuillettes, au […]
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