Carte d'identité des alternatives possibles au bisphénol A
Ses différents travaux d’expertise sur les risques sanitaires liés à l’exposition au bisphénol A ont amené l’Anses à conclure qu’il existait des données scientifiques suffisantes pour considérer comme prioritaire la réduction des expositions des populations les plus sensibles : les nourrissons, les jeunes enfants, les femmes enceintes et allaitantes. Depuis janvier 2015, le bisphénol A est par exemple interdit dans les contenants alimentaires mis sur le marché en France. Il est donc nécessaire de disposer d’alternatives au bisphénol A.