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C'est le constat dressé par NaturParif. L'Agence régionale pour la nature et la biodiversité publie ce mercredi sa liste rouge des papillons de jour menacés ou disparus. Sur les 135 espèces de l'Ile-de-France, 37% sont actuellement menacées ou ont disparu. Via Pescalune, La Bièvre - SMBVB 
La Bièvre - SMBVB's curator insight,
November 23, 2016 5:52 PM
Peut-on imaginer un monde sans papillon ? C'est pourtant le risque lorsque l'on voit les données de Natureparif reposant sur un recensement participatif. Les populations, comme celle des oiseaux, diminuent, les espèces disparaissent, et toujours les mêmes explications : réduction des habitats, pesticides, morcellement des espaces… Reconnecter les milieux, créer de nouveaux espaces végétalisés, laisser l'eau et la nature revenir en ville, c'est une urgence.
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agrodoc_ouest's curator insight,
March 2, 2015 8:00 AM
La huppe fasciée ne niche plus que dans le sud de la région. Moins _____________________________________________________________________ Le bruant jaune, encore bien répandu dans les campagnes franciliennes, a vu sa population diminuer de 20% en dix ans. A ce rythme, il pourrait être considéré comme "vulnérable" lors de prochaines éditions des listes rouges. (photo Denis Attinault) source : La biodiversité en Île-de-France décline à grande vitesse Julien Balboni, 2014 |
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Natureparif - le portail dynamique de la nature et de la biodiversité en Ile de France (IDF)
Via La Bièvre - SMBVB
La Bièvre - SMBVB's curator insight,
August 26, 2016 7:47 AM
Organisée par Natureparif, cette rencontre pose les bases d'une nouvelle façon de construire la ville. A partir de retours d'expériences, d'exemples symboliques comme le bâtiment arbre de Turin, venez trouver des solutions pour améliorer notre espace urbain. La rareté, et donc le coût, du foncier poussent à réduire les espaces verts, qu'ils soient publics ou privés. L'agglomération parisienne a ainsi réduit son taux d'espaces verts par personne depuis 10 ans, et les pressions sont de plus en plus fortes. Une solution pour compenser ces pertes consiste à lier bâtiment et biodiversité, en gommant cette frontière. Bien utilisé, le végétal dans le bâtiment peut devenir un véritable atout, symbolique comme fonctionnel. Il faut cependant prendre garde à l'effet de mode qui ne retient que la forme sans le fond et offre des solutions qui ne sont que des cache misère. Il faut aussi faire attention à ce que ces solutions ne soient pas un prétexte pour accélérer la disparition d'espaces de pleine terre, que la fameuse doctrine "éviter, réduire, compenser" ne soit pas réduite à la seule compensation par facilité.
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