Durant sa présidence du Conseil de l’UE, le Danemark souhaite éviter les sujets qui divisent. Le ministre danois de l’Agriculture, Jacob Jensen, a confié à Euractiv que son pays ne comptait pas s’engager dans les controverses autour de la viande artificielle ou la prochaine Politique agricole commune (PAC).

Le Maine-et-Loire compte de moins en moins de vétérinaires ruraux. Une conséquence de la baisse du nombre d’agriculteurs, mais aussi une adaptation aux nouveaux besoins.

Sébastien Bobinet et Emeline Calvez, viticulteurs au Domaine Bobinet à Saumur, sont les lauréats du Prix de la Dynamique Agricole 2024 dans le Maine-et-Loire dans la catégorie Performance entrepreneuriale.

Chez Vilmorin-Mikado, leader mondial des semences potagères basé près d’Angers (Maine-et-Loire), les chercheurs sont mis à rude épreuve par l’accélération des nouvelles pathologies sous l’effet du réchauffement climatique.

A l’occasion de la Journée mondiale du lait, la laiterie Saint-Père, à Saint-Père-en-Retz, ouvre ses portes au public les vendredi 27 et samedi 28 juin 2025.

Une enquête publique est ouverte jusqu'au 27 juin concernant un projet porté par Total Energies dans la vallée du Treulon, à cheval entre Sarthe et Mayenne. Cette implantation de panneaux photovoltaïques sur 35 hectares suscite des oppositions.

Nous produisons en moyenne 1 litre et demi d'urine par jour, un liquide riche en azote. Une entreprise angevine étudie de près sa possible utilisation pour fertiliser les terres agricoles. Elle a organisé un point de collecte à destination de la filière horticole. Et les tests menés sur les végétaux sont plutôt probants.

Dans un contexte géopolitique qui incite à renforcer la production agricole, sans pour autant ralentir la nécessaire transition énergétique, peut-on produire efficacement de l’énergie à partir des terres agricoles ?

La ministre déléguée au tourisme Nathalie Delattre a annoncé un plan pour faire de la France le leader de d’oenotourisme en 2030 : qu’en est-il déjà en Anjou ? Pourquoi ? comment ? où ? Avec Anne Sophie BODINEAU, du Domaine Bodineau, les Verchers sur Layon près de Doué la Fontaine, Anne DEROUET, Maison Louis de Grenelle à Saumur, l’une des six caves de Saumur, Carole DIARD conseillère et formatrice, Chambre d’agriculture des Pays de La Loire, Frank et Catherine GOURDON, gérants et propriétaires du Domaine de Piedflond à Martigné Briand, et Cécile RENOU co gérante du Domaine des Galloires, près de Champtoceaux et d'Ancenis

Frédéric Robert, n° 2 départemental de la FDSEA, succède à Laurent Lelore à la tête de l’antenne locale de Segré de la Chambre d’agriculture.

La « data agricole » fait peu parler d’elle, mais sa valeur est considérable. Générées par des fermes de plus en plus connectées, ces données sont ensuite exploitées par les constructeurs… à l’étranger le plus souvent. Mais le flou demeure quant à leur destination et leur usage.

L’entreprise Pierre Turc a célébré en l’espace de quelques mois ses 80 ans, reçu la visite de la ministre de l’Agriculture et le prix des Trois Grâces botaniques à la prestigieuse fête des plantes de Chantilly dans l’Oise. L’occasion d’aller à la rencontre de ses patrons, Cécile et Mark Hodson.

Les changements climatiques impactent déjà, de manière tangible, les conditions de vie dans la région des Pays de la Loire. Le GIEC publie : un habitant de la région sur deux se déclare à la fois exposé et vulnérable.

La 9e édition des Assises nationales de l’Agriculture et de l’Alimentation, organisées par Ouest-France, se tiendra le mardi 25 novembre 2025 à Cesson-Sévigné, près de Rennes (Ille-et-Vilaine).

Depuis un an, une nouvelle activité est venue rejoindre l’élevage de chèvres et la fromagerie du Bois-Nozay. Un pari gagnant pour Mathilde, Maëva et Morgane, trois exploitantes qui « partagent les mêmes valeurs », au service de la qualité et la transparence. Elles accueilleront le public samedi 28 juin.

Bonne poire, le consommateur ? Alors qu’il est encouragé à acheter des fruits et légumes produits dans l’Hexagone, une enquête menée par la Direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes (DGCCRF) a démontré que 33 % des commerces contrôlés vendaient des produits faussement étiquetés « origine France ». Une mauvaise foi qui fait mal au porte-monnaie et à la planète.

Sur nos territoires ruraux, la vie agricole est riche, dynamique, en constante évolution. Pourtant, il n’est pas toujours facile de rester informé des initiatives locales, des projets innovants ou des rendez-vous qui rythment la vie de nos campagnes.

Trois étudiants en agriculture ont guidé des enfants de CM1/CM2 lors d’une visite à la ferme de Villedieu-la-Blouère (Maine-et-Loire), lundi 23 juin 2025. Leur objectif est de réduire l’écart entre les mondes rural et urbain.

Sardines, jambons et autres canards vont faire leur apparition sur des panneaux signalétiques le long des routes de Vendée, pour promouvoir le « savoir-faire des Vendéens » en matière de gastronomie.

Souvent cible de critiques sociétales, l’élevage intensif est accusé de générer des émissions de gaz à effet de serre, d’entretenir une dépendance aux intrants, de contribuer à l’antibiorésistance, de menacer la biodiversité, bref : d’être incompatible avec la durabilité. Doit-on pour autant tirer un trait sur ce type d’élevage en France ?

Créé en 2011 à l’initiative du G20, le réseau AMIS vise à améliorer la transparence des marchés agricoles mondiaux et la coordination politique entre États. S’il ne dispose d’aucun pouvoir de régulation, ce dispositif multilatéral permet d’observer finement les dynamiques de marché et d’amortir les chocs en période de crise.

Le monde agricole du Bassin Loire-Bretagne, Jeunes Agriculteurs et FNSEA en tête, demande au Premier ministre un moratoire sur les études HMUC, censées fixer les règles quantitatives d’usage de l’eau.

L’ancienne cheffe de cuisine Charlène Foucher, 33 ans, s’est installée cette année à La Jaille-Yvon (Haut-Anjou) pour y produire des fleurs sur moins de 2 000 m2 et les vendre en direct. Elle ouvre les portes de sa ferme dimanche 29 juin.

Jeudi 12 juin, lors du conseil municipal, les élus ont voté un dispositif de mise en réserve d’une ferme. L’objectif : maintenir une agriculture biologique compatible avec l’aire d’alimentation de captage en eau potable de Machecoul-Saint-Même (Loire-Atlantique).

Après deux ans d’exploitation, le méthaniseur de Doué-en-Anjou (Maine-et-Loire) peine encore à satisfaire pleinement les éleveurs qui l’alimentent. Le Bioparc, qui y envoie le fumier produit par ses grands herbivores, est quant à lui ravi de cette valorisation.