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February 13, 2018 4:54 PM
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LE #NUCLÉAIRE, UNE EXCEPTION FRANÇAISE - Jean-Marie Brom #énergie #écologie #environnement #Afrique #Mali #France #uranium - vidéo 40 mn - 13.02.2018

LE #NUCLÉAIRE, UNE EXCEPTION FRANÇAISE - Jean-Marie Brom #énergie #écologie #environnement #Afrique #Mali #France #uranium - vidéo 40 mn - 13.02.2018

Jean-Marie Brom, directeur de recherche en physique des particules au CNRS, a été auditionné sur le bilan énergétique et l'exception française que constitue l'énergie nucléaire.

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August 1, 2017 6:03 PM
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interview #JoséPluki . ingénieur en #énergie  - Thinkerview - 1.8.17 - 46 mn - #NUCLEAIRE #ACCIDENTNucléaire

interview #JoséPluki . ingénieur en #énergie - Thinkerview - 1.8.17 - 46 mn - #NUCLEAIRE #ACCIDENTNucléaire

Interview de José Pluki en direct. Son site : http://du-goudron-et-des-plumes.fr/ ECOUTER EN PODCAST AUDIO : https://thinkerview.com/feed/podcast

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March 16, 2017 3:07 AM
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#USA -#ArabieSaoudite : une nouvelle relation spéciale ? #RachelMarsden entrevue avec #PepeEscobar (dès la mn 3)

#USA -#ArabieSaoudite : une nouvelle relation spéciale ? #RachelMarsden entrevue avec #PepeEscobar (dès la mn 3)

Diffusé en direct il y a 14 heures

Désordre Mondial avec Rachel Marsden

Au programme hier du président Donald Trump, un déjeuner avec le ministre de la Défense et le vice-prince héritier saoudien, Mohammed bin Salman. Leur entretien devait concerner des investissements dans le royaume et les efforts de paix en Syrie. Après la présidence Obama qui avait mis fin, semble-t-il, à cette relation bilatérale privilégiée, que peut-on attendre de l’administration Trump vis-à-vis de Riyad ?

Invité : Pepe Escobar est chroniqueur avec Sputnik et RT TV et l’auteur de plusieurs ouvrages. Né au Brésil, il est un correspondant à l’étranger depuis 1985, et a vécu à Londres, Paris, Milan, Los Angeles, Washington, Bangkok et Hong Kong. Il est spécialiste du Moyen-Orient, de la géopolitique, et des guerres pétrolières.

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February 10, 2017 10:52 AM
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[Fil d’Actu #57] Métropole, Roumanie & EDF #news #actus #alterinfo

[[Fil d’Actu #57] Métropole, Roumanie & EDF #news #actus #alterinfo

Ajoutée le 9 févr. 2017

Voici le nouveau Fil d'Actu!
Au sommaire cette semaine :
- Lyon : quand les élus se partagent le gâteau
- Roumanie : les citoyens font reculer les corrompus
- Suppression de postes à EDF : une logique suicidaire

Abonnez-vous pour ne rien rater des futurs numéros : http://bit.ly/fildactu
Pour nous soutenir : http://bit.ly/tipeeeActu

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February 6, 2017 10:16 AM
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VOS FACTURES #EDF VONT EXPLOSER : LE VRAI COÛT DU #NUCLÉAIRE - chronique Mediapart 6 - 06.02.17

VOS FACTURES #EDF VONT EXPLOSER : LE VRAI COÛT DU #NUCLÉAIRE - chronique Mediapart 6 - 06.02.17

Ajoutée le 6 févr. 2017

Et si l'énergie nucléaire n'était pas si bon marché ? Osons Causer examine les dépenses à venir pour l'entretien et la prolongation des centrales nucléaires françaises. 100 milliards d'euros pour le "grand carénage", des dizaines de milliards pour l'enfouissement des déchets ou pour les EPR, EDF va faire face à des investissements très importants financés par nos factures. A l'heure où le nucléaire est une énergie de plus en plus contestée, découvrez un de ses aspects méconnus : son prix de plus en plus important.

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December 9, 2016 12:37 PM
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Audio 5 mn RTS: L'ouverture d'une usine #CocaCola dans la bande de #Gaza suscite la polémique #Eau #Environnement

Audio 5 mn RTS: L'ouverture d'une usine #CocaCola dans la bande de #Gaza suscite la polémique #Eau #Environnement | Infos en français | Scoop.it

Audio 5 mn RTS: L'ouverture d'une usine #CocaCola dans la bande de #Gaza suscite la polémique #Eau #Environnement

Coca-Cola a inauguré sa première usine dans la bande de Gaza. Cette ouverture est une bonne nouvelle pour l'économie de la région, mais suscite la polémique dans une partie de la population. L'entreprise consomme beaucoup d'eau dans un territoire où la ressource est très difficilement accessible.

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June 24, 2016 11:57 AM
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#Brexit:  pas d'impact pour #EDF et son projet #nucléaire à Hinkley Point -AFP #BusinessIsBusiness #énergie #Europe

#Brexit:  pas d'impact pour #EDF et son projet #nucléaire à Hinkley Point -AFP #BusinessIsBusiness #énergie #Europe | Infos en français | Scoop.it

#Brexit:  pas d'impact pour #EDF et son projet #nucléaire à Hinkley Point -AFP #BusinessIsBusiness #énergie #Europe

Paris - Le Brexit n'a pas d'impact sur l'activité et la stratégie d'EDF au Royaume-Uni, notamment son projet de construire une nouvelle centrale nucléaire à Hinkley Point (Angleterre), a déclaré vendredi le PDG de l'électricien public français, Jean-Bernard Lévy.

Aujourd'hui, nous estimons que ce vote n'a pas d'impact sur notre stratégie, et notre stratégie (...) pour notre filiale britannique n'est pas modifiée, a assuré le dirigeant à des journalistes, avant de décoller pour Perpignan où il devait inaugurer un nouveau parc éolien d'EDF.

Notre stratégie d'entreprise n'est pas liée à l'appartenance politique de la Grande-Bretagne à l'Union européenne, donc nous n'avons pas de raison de changer cette politique, a-t-il ajouté.

EDF Energy, la filiale britannique d'EDF, dit produire environ un sixième de l'électricité du Royaume-Uni, par le biais de centrales nucléaires, thermiques ou éoliennes qui alimentent environ 5,5 millions de particuliers et d'entreprises. Elle emploie environ 15.000 personnes.

Jean-Bernard Lévy a notamment dit ne pas craindre une remise en cause de la construction de deux réacteurs nucléaires EPR à Hinkley Point (sud-ouest de l'Angleterre), un gigantesque projet de 18 milliards de livres (environ 22 milliards d'euros au taux de change actuel) contesté par les syndicats français du groupe et pour lequel une décision finale d'investissement se fait attendre.

Je voudrais juste souligner que, dans les derniers jours, il est apparu clairement que les porte-parole du camp du Brexit sur les sujets d'énergie, en particulier Mme Andrea Leadsom - qui est la secrétaire d'État à l'Energie (...) -, à de nombreuses reprises et encore ces derniers jours, a pris position en faveur du maintien de la politique de décarbonation, du maintien du choix du nucléaire et du maintien du projet Hinkley Point. Donc, nous n'avons aujourd'hui pas de conséquences à tirer de ce vote, a insisté le PDG.

Le comité central d'entreprise d'EDF, qui doit se prononcer sur ce projet - avec une séance prévue le 4 juillet -, a engagé cette semaine des démarches pour saisir la justice afin d'obtenir des documents supplémentaires, estimant qu'il ne dispose pas de tous les éléments pour émettre valablement un avis. L'audience a été fixée au 22 septembre, ont indiqué vendredi à l'AFP deux sources proches du dossier.

Interrogé, EDF, qui a assuré mercredi avoir fourni une information complète au CCE, n'a pas souhaité commenter.

La décision finale d'EDF sur le projet Hinkley Point était initialement attendue début mai, après un précédent report.

M. Lévy s'est également voulu rassurant sur l'impact financier de la chute de la livre sterling sur les comptes d'EDF. Nous sommes un opérateur sur les marchés comme toute grande entreprise, et nous avons fait en sorte de ne pas prendre de position dite directionnelle. C'est-à-dire que nous sommes dans une situation de neutralité vis-à-vis des mouvements qui pourraient se produire sur les marchés, a-t-il dit.

Les économistes de marché pensent que la livre va baisser mais si la monnaie baisse, l'économie devient plus compétitive. Je pense que nous devons nous adapter à des situations économiques ou à des taux de change qui peuvent évoluer, a-t-il précisé.

mhc-mpa-sp/cb/gib

EDF - ELECTRICITE DE FRANCE

AREVA


(©AFP / 24 juin 2016 15h59)

 

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May 16, 2016 2:50 PM
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#France En catimini, le Sénat veut donner le feu vert à l’enfouissement des déchets #nucléaire s #environnement #énergie

#France En catimini, le Sénat veut donner le feu vert à l’enfouissement des déchets #nucléaire s #environnement #énergie | Infos en français | Scoop.it

#France En catimini, le Sénat veut donner le feu vert à l’enfouissement des déchets #nucléaire s #environnement #énergie

Bientôt une nouvelle étape vers l’enfouissement de nos déchets nucléaires les plus dangereux ? Mardi 17 mai, une proposition de loi destinée à mettre un coup d’accélérateur au projet Cigéo sera discutée au Sénat. Les opposants dénoncent un déni de démocratie et préparent leurs mobilisations.

Les partisans du projet de centre de stockage géologique de déchets radioactifs Cigéo reviennent à la charge. La proposition de loi du sénateur (LR) de la Meuse Gérard Longuet, qui apporte plusieurs précisions sur le projet (...)

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April 30, 2016 11:26 AM
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#Bugey, #Fessenheim: prquoi ces centrales #nucléaire s françaises dérangent tant les #Suisse s? 30.4.16 - rts -15mn #France #énergie

#Bugey, #Fessenheim: prquoi ces centrales #nucléaire s françaises dérangent tant les #Suisse s? 30.4.16 - rts -15mn #France #énergie | Infos en français | Scoop.it

#Bugey, #Fessenheim: prquoi ces centrales #nucléaire s françaises dérangent tant les #Suisse s? 30.4.16 - rts -15mn #France #énergie

30 ans après la tragédie de Tchernobyl, plusieurs cantons exigent la fermeture de deux centrales nucléaires en France voisine. D'un côté, la Ville et le canton de Genève ont annoncé cette année le dépôt d'une plainte pénale contre X concernant la centrale nucléaire française du Bugey (Ain). Les motifs invoqués sont la mise en danger de la vie d'autrui et la pollution des eaux.

De l'autre côté du pays, le Gouvernement jurassien, appuyé par les deux demi-cantons bâlois, a réclamé le mois dernier une nouvelle fois la fermeture de la centrale nucléaire de Fessenheim (Haut-Rhin).

Pourquoi ces centrales nucléaires dérangent-elles tant? Y-a-t-il réel danger? Qui sont ces contestataires suisses et comment, au-delà des actions symboliques, s’organisent-ils? Enfin, notre pays, qui possède la plus vieille centrale nucléaire au monde, est-il bien placé pour faire la leçon à son voisin?

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March 13, 2016 6:37 PM
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La grande interview politique du dimanche 13.3.16-rts - 13 mn #PhilipppeRoch #Suisse #Energie #Nucléaire #Alpic

La grande interview politique du dimanche 13.3.16-rts - 13 mn #PhilipppeRoch #Suisse #Energie #Nucléaire #Alpic | Infos en français | Scoop.it

La grande interview politique du dimanche 13.3.16-rts - 13 mn #PhilipppeRoch #Suisse #Energie #Nucléaire #Alpic

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March 3, 2016 8:55 AM
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#Genève porte plainte c/ X pr mise en danger vie d'autrui concernant centrale #nucléaire frontalière en #France avec l'aide de #CorinneLepage - RTS #environnement

#Genève porte plainte c/ X pr mise en danger vie d'autrui concernant centrale #nucléaire frontalière en #France avec l'aide de #CorinneLepage - RTS #environnement | Infos en français | Scoop.it

#Genève porte plainte c/ X pr mise en danger vie d'autrui concernant centrale #nucléaire frontalière en #France avec l'aide de #CorinneLepage - RTS #environnement

Interview de Rémy Pagani, conseiller administratif de la Ville de Genève
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January 14, 2018 11:16 AM
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#PhilippeBihouix : Le mensonge de la croissance verte ? Thinkerview #lowtech #décroissance #énergie #environnement #écologoie

#PhilippeBihouix : Le mensonge de la croissance verte ? Thinkerview #lowtech #décroissance #énergie #environnement #écologoie

Interview de Philippe Bihouix, ingénieur centralien, membre de l'Institut Momentum et auteur de l' "L'Âge des low tech : vers une civilisation techniquement soutenable" en direct à 19h00 le 11/01/2018.

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July 12, 2017 8:19 PM
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#NUCLEAIRE : #NicolasHulot répond à la députée M. #Panot ( #FI ) sous l'oeil attentif de #Mélenchon ... #environnement

#NUCLEAIRE : #NicolasHulot répond à la députée M. #Panot ( #FI ) sous l'oeil attentif de #Mélenchon ... #environnement

Ajoutée le 12 juil. 2017

Quand Nicolas Hulot, "ministre de la transition écologique et solidaire", va devoir affronter les députés de la France Insoumise après avoir tant loué leur programme écologique L'avenir en commun (et déjà L'humain d'abord en 2012)...

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March 8, 2017 9:56 PM
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#Qatar - #Russie : une lune de miel énergétique à l’ombre de la crise de #Syrie  - Bouger les lignes #énérgie #gaz

#Qatar - #Russie : une lune de miel énergétique à l’ombre de la crise de #Syrie  - Bouger les lignes #énérgie #gaz | Infos en français | Scoop.it

L'émir du Qatar, Tamim ben Hamad Al Thani, et le président de la Fédération de Russie, Vladimir Poutine.
ublié le 26 février 2017 par Caroline Galactéros 

 

l est parfois des couples improbables et discrets qui se forment à l’abri du tumulte du monde, sur la base d'intérêts tactiques bien compris voire de long terme. Ainsi en va -t-il de la Russie et du Qatar. L’idylle est aujourd’hui de nature d’abord énergétique, mais pourrait toucher demain l’industrie et la coopération militaires. A première vue, tout donne l’impression que la Russie sépare de manière étanche sa politique économique de sa politique diplomatique, dans la mesure où le Qatar et la Russie sont officiellement opposés sur le dossier syrien (le Qatar soutenant les Frères musulmans en Syrie, notamment le groupe Ahrar Al-Sham, quand la Russie défend mordicus le régime syrien alaouite, membre de l’axe chiite). Le présent article tend à montrer la complexité et les nuances qui viennent tempérer cette doxa et démontrent qu’il n’y a pas de réel hiatus entre la politique économique et la politique étrangère de Moscou mais une manœuvre stratégique fort habile, qui voit et vise loin.

Rosneft, Novatek, accord de coopération militaire … une corbeille de la mariée richement dotée

Quelques points de chronologie d’abord. Le 20 février, l’ambassadeur de Russie au Qatar, Nurmakhmad Kholov, a annoncé à l’agence russe Tass que « le Qatar investissait près de 2 milliards de dollars dans les activités de l’entreprise russe Novatek, plus important producteur indépendant de gaz de Russie ». Kholov a précisé que « la Russie et le Qatar ont réussi ces trois dernières années à obtenir de bons résultats en matière d’économie et d’échanges commerciaux grâce au travail conjoint de la commission intergouvernementale pour le commerce, l’économie, la science et la coopération technique » entre les deux pays. Avant de conclure : « Le Qatar exprime un grand intérêt pour les produits agricoles russes ainsi que pour les projets russes en matière de pétrochimie et de sources énergétiques, autant que dans le domaine de la construction ».

Ceci est dans la droite ligne de la privatisation du géant public russe du pétrole, Rosneft, qui a eu lieu au début du mois de décembre dernier. L’Etat russe qui possédait 50% de Rosneft, première entreprise pétrolière mondiale, en a cédé 19,5% du capital au fonds d’investissement Glencore ainsi qu’au fonds souverain du Qatar (dans une proportion que l’on ignore) pour un montant de 10,5 milliards de dollars, qui doivent servir au renflouement du budget russe via l’entreprise publique Rosneftegaz. Précisons que le Qatar est lui-même majoritaire au sein du fonds Glencore.

Précisions enfin, pour illustrer cette « lune de miel » qu’au delà de l'énergie, un embryon de coopération militaire existe entre les deux pays. Le 6 septembre 2016, Moscou et Doha ont en effet signé un accord militaire après une visite du ministre qatari de la Défense, Khalid bin Mohammad Al Attiyah à son homologue russe Sergueï Choïgou, lors du Forum international militaire et technique de Moscou « ARMÉE-2016 ». Cet accord faisait suite à la rencontre, en mai de la même année, du vice-ministre russe des Affaires étrangères Mikhaïl Bogdanov avec l’émir Tamim ben Hamad al-Thanin. « Nous avons signé un accord de coopération militaire avec la Russie, mais il ne comprend pas l’achat d’armes », a indiqué Saoud Bin Abdallah al-Mahmoud, Ambassadeur du Qatar à Moscou. Comme l’explique le site Opex360, « s’agissant d’éventuels contrats d’armement, rien n’est fermé du côté de Doha, le diplomate ayant assuré que son gouvernement examinerait cette ‘possibilité’ ». Dans ce nouveau contexte marqué par les progrès en matière de coopération énergétique, il n’est pas à exclure que des armes russes soient vendues au Qatar dans les deux ans, d’autant plus qu’elles ont, au grand dam de Doha, démontré toute leur efficacité en Syrie et que Moscou engrange déjà de précieux contrats d’armement dans la région (nous ferons un point d’ici peu sur ces contrats tous azimuts).

Une vieille discorde entre la Russie et le Qatar, aggravée par la crise syrienne

Le passif entre Moscou et Doha est pourtant ancien. La Tchétchénie fut un premier motif de discorde. Au commencement de la décennie 2000, le Tchétchène Zelimkhan Iandarbiev, alors au Qatar, était accusé par la Russie de financer des rebelles tchétchènes liés à Al-Qaïda et d’avoir participé à l’organisation de la prise d’otages dans un théâtre moscovite en octobre 2002 qui s’était soldée par 129 morts. Mais Doha a refusé à la Russie son extradition. En février 2004, toujours en exil à Doha, Zelimkhan Iandarbiev trépassa après qu’une bombe placée dans sa voiture eut explosé. Comme l’explique le site Opex360, « les services russes (SVR et GRU) furent accusés d’avoir commis cet assassinat, qui sera, plus tard, à l’origine de la première loi anti-terroriste adoptée par l’Emirat. En tout cas, deux suspects de nationalité russe appartenant effectivement au GRU furent interpellés et jugés à Doha pour assassinat et trafic d’armes. Après avoir été torturés selon Moscou, les deux hommes furent condamnés à la prison à vie, avant d’être finalement transférés en Russie pour y accomplir leur peine. On y a perdu leur trace ».

La relation russo-quatarie se dégrade brutalement dès le début de la Guerre civile syrienne en 2011. Alors que la Russie joue des circonstances pour consolider son alliance avec le régime syrien (pour ne pas laisser les mains libres à Téhéran), et vole ouvertement à son secours en septembre 2015 en intervenant militairement (une première pour Moscou depuis l’invasion de l’Afghanistan en 1979), le Qatar, proche des Frères musulmans, est en fait dès le début de la Guerre syrienne à la manœuvre pour faire tomber le régime de Bachar al-Assad et installer, en coopération avec les Turcs – eux aussi très liés aux Frères musulmans – et en concurrence avec les wahhabites d’Arabie Saoudite, un régime sunnite à Damas sous la forme d’un “Etat islamique”. Les Frères musulmans financent et arment les rebelles syriens (moins le Front al-Nosra, émanation wahhabite d’Al-Qaïda, qu’Ahrar al-Sham et la coalition du Front islamique, dominés par les Frères musulmans et parrainés par Doha et Ankara).

En 2012, alors que les Occidentaux pensent que le régime de Bachar al-Assad va tomber en quelques semaines, le ministre qatari des Affaires étrangères Hamed Ibn Jassem aurait déclaré à l’ambassadeur russe auprès des Nations Unies : « Je vous mets en garde contre toute utilisation du veto sur la crise en Syrie; la Russie doit approuver la résolution, sinon elle perdra tous les pays arabes ». Mais l’intéressé, Vitali Tchourkine, qui vient de décéder brutalement, aurait alors rétorqué au Qatari : « Si vous me reparliez sur ce ton de nouveau, il n’y aurait plus une chose qui s’appelle le Qatar » avant de lancer directement au Premier ministre du Qatar : « Vous êtes ici au Conseil de sécurité en tant qu’invité, respectez-vous et reprenez votre taille initiale, d’ailleurs je ne m’adresserai plus à vous, je parle au nom de la grande Russie, et qu’avec les Grands ». Ces propos peu diplomatiques ont été bien sûr démentis par la Fédération de Russie, mais ils illustrent bien les certitudes de l’époque : les puissances sunnites du Moyen-Orient, fortes de leurs soutiens occidentaux, pensent alors réellement pouvoir parvenir à leurs fins en profitant des « Printemps arabes » pour écarter le très gênant Assad tandis que les Russes, cherchant à rattraper l’humiliation endurée en Libye - où ils n’ont pu empêcher les Occidentaux d’outrepasser leur mandat initial pour provoquer la chute du régime libyen et la fin terrifiante du Colonel Kadhafi -, se promettent alors de ne plus rien céder aux Occidentaux ou à leurs alliés du Golfe, tant sur le terrain diplomatique, en dégainant leur veto au Conseil de Sécurité que sur le terrain militaire, en volant directement à la rescousse d’Al-Assad dans sa guerre contre-insurrectionnelle l’opposant aux « rebelles » syriens.

Sur fond de crise syrienne, mais aussi de guerre du pétrole et du gaz, il faut donc convenir qu’aujourd’hui, en concluant ces accords avec Moscou, le Qatar, à l’instar de la Turquie l’été dernier, prend acte de la domination stratégique russe sur la région et « va à Canossa », tandis que Moscou consolide son approche diplomatique éminemment pragmatique et basée sur du « win-win » consistant à parler à tous - même à ses adversaires voire à ses ennemis - et à trouver avec chacun des bases d'accord diversifiées permettant d’exercer un effet de levier sur d’autres partenaires-concurrents (en l’espèce sur Téhéran qui ne peut que s’inquiéter fortement de l’actuel rapprochement Moscou-Doha)

La prophétie qatarie, partagée à l’époque par bien des analystes occidentaux – « vous allez voir, en protégeant Bachar al-Assad, les Russes vont se mettre à dos tous les pays de la région, particulièrement les puissances sunnites, et ils s’enliseront en Syrie comme les Soviétiques (ou les Américains…) en Afghanistan » – ne s’est pas révélée exacte. Contrairement à la France, qui, seule contre tous, semble encore vouloir pousser en Syrie les rebelles contre le régime – il faut lire la passionnante enquête de Georges Malbrunot du Figaro sur ce point –, les Qataris, comme les Turcs, ont pris acte de leur échec pour déstabiliser le régime de Bachar al-Assad et souhaitent désormais exercer leur influence autrement sur la région. Si le processus d’Astana n’a pas encore porté ses fruits politiques, il y a fort à parier que les Turcs, mais aussi les puissances du Golfe, font tout pour disposer en Syrie d’une zone d’influence qui comporte la région d’Idleb (aujourd’hui aux mains des rebelles, essentiellement djihadistes) mais aussi la région de l’extrême Nord du pays, symbolisée par la ville d’Al-Bab, récemment reprise à l’Etat islamique, où l’Armée turque aidée des rebelles syriens occupe, dans le cadre de l’opération « Bouclier de l’Euphrate », un espace stratégique et pourrait souhaiter s’étendre plus au sud vers Raqqa, moins au détriment du régime syrien (les Russes n’accepteraient pas) qu’au détriment des Kurdes du PYD, qui servent encore une fois, dans l’histoire du Levant, de variable d’ajustement régionale à l’usage des Russes comme des Américains... Une telle influence sunnite en Syrie ne gênerait d’ailleurs pas Moscou qui, contrairement à Damas ou Téhéran, ne souhaite pas un contrôle unitaire de l’ensemble de la Syrie. La Russie pourrait se satisfaire d’une solution fédérale avec une Syrie utile alaouite protégeant les intérêts stratégiques russes (base navale de Tartous et aérienne de Hmeimim).

Pour comprendre les raisonnements russe, turc et qatari, il faut s’intéresser aux enjeux gaziers et pétroliers. Non que la Syrie soit un producteur important d’hydrocarbures. Les réserves onshore au Nord et à l’Est du pays n’ont rien d’exceptionnel. Quant aux possibles réserves off-shore, elles se situent au large de Lattaquié, sous contrôle des Alaouites : les sociétés russes placent déjà leurs pions pour les exploiter ultérieurement. L’enjeu est moins dans la production d’hydrocarbures que dans le transport d’hydrocarbures des riches régions du Moyen-Orient (Iran, Qatar, Arabie Saoudite) vers l’Europe. Pour le dire en une phrase, les puissances sunnites, en s’alliant aux Occidentaux, pensaient pouvoir doubler les Russes dans l’approvisionnement en hydrocarbures du Sud de l’Europe avec la Turquie servant de « hub » énergétique à cette opération d’envergure. Une Syrie sous contrôle sunnite aurait facilité un tel projet… et introduit une sévère concurrence pour les Russes sur le marché européen des hydrocarbures. Mais ce rêve sunnite a vécu. Le 9 août dernier, le président turc Recep Erdogan qui, pour asseoir son pouvoir autocratique, a besoin de l’influence russe pour contrebalancer celle des Américains, est lui aussi « allé à Canossa » en rencontrant Poutine à Saint-Pétersbourg (cf. l’excellente analyse de Jean-François Colosimo dans une interview au Figaro). Le lendemain, Vladimir Poutine se rendait à Istanbul et les deux présidents relançaient le projet de gazoduc « Turkish Stream », qui permet aux Russes de passer par la Turquie (et de contourner l’Ukraine !) pour vendre du gaz à l’Europe via le sud du continent. En investissant dans Rosneft et dans Novatek, les Qataris comprennent à leur tour qu’ils ne peuvent avoir sérieusement accès au marché européen sans l’aval de Moscou. Une aubaine financière pour le président russe friant de l’argent qatari pour assainir ses finances publiques et réduire le déficit public du pays (même si la dette publique russe n’atteint que 20% du PIB quand la nôtre frôle les 100%...).

Je prends la liberté de citer longuement le Général (2S) Jean-Bernard Pinatel qui résume parfaitement, dans Atlantico, la nouvelle donne géostratégique : « Trois pays – la Russie, l’Iran et le Qatar – possèdent 50% des réserves mondiales de gaz naturel. Les trois sont désormais alliés économiquement et stratégiquement, ce qui marque l’échec de la stratégie de l’Union européenne de diversification de ses sources d’approvisionnement de gaz naturel inspirée et voulue par les Etats-Unis et l’Otan. En effet, la Russie est déjà le premier fournisseur de l’Union européenne avec 40% des importations, qui représentent 20% de la consommation totale de gaz de l'Union européenne. Compte tenu de la hausse de la consommation dans l'Union européenne et de l'épuisement du gisement gazier en Mer du Nord, cette dépendance énergétique de l'UE vis-à-vis de la Russie devrait fortement s'accroître dans les prochaines années. La Commission européenne estimait en effet que, d'ici 2040, 70% des besoins énergétiques de l’UE devraient être assurés par les importations, contre 50% aujourd'hui. Cette dépendance était inacceptable pour les stratèges américains pour lesquels la création d’une Eurasie annoncerait la fin de leur suprématie mondiale et l’arrivée d’un troisième grand acteur sur la scène mondiale qui perturberait leur tête-à-tête d’adversaire-partenaire avec la Chine. Pour les stratèges américains et les atlantistes européens, le Qatar, avec 24300 milliards de m3 de réserves prouvées qui lui assurent 154 ans de production au rythme actuel, était la solution. A condition toutefois de construire un gazoduc, car la liquéfaction et le transport en bateau via le détroit d’Ormuz et le canal de Suez rendaient le gaz qatari non concurrentiel avec le gaz russe. Selon des informations du journal libanais Al-Akhbar publiées en 2012, les Qataris avaient établi un plan, approuvé par l’administration Obama et l’UE visant à construire un gazoduc vers l’Europe via la Syrie. Ce gazoduc terrestre aurait traversé l’Arabie Saoudite, puis la Jordanie, en évitant l’Irak pour arriver à Homs en Syrie, d’où il aurait bifurqué dans trois directions : Lattaquié sur la côte syrienne, Tripoli au nord du Liban, et une troisième branche via la Turquie vers l’Europe. Mais Bachar El-Assad refusait d’autoriser ce transit ».

J’avais moi-même publié un article dans la Revue des Affaires sur les enjeux énergétiques de la Guerre de Syrie. Ce que j’entrevoyais commence de se réaliser et nous voyons les prémisses d’une politique énergétique moyen-orientale directement pilotée par Moscou. Alors qu’avant 2011, deux projets de gazoducs entraient en concurrence – un “tracé chiite” permettant d’exporter le gaz iranien via la Syrie et un “gazoduc sunnite” permettant d’exporter le gaz qatari via la Turquie – la Russie a joué un jeu à la fois ferme (via ses Soukhoï...) et souple (en ne fermant pas la voie d’une influence sunnite dans une future Syrie fédérale) de sorte à devenir le pivot central et l’honest broker du Levant pour que le gaz tant iranien que qatari transite vers l’Europe sans déposséder Moscou via le futur gazoduc russo-turc Turkish Stream, la Syrie marquant dans ce périple gazier une étape essentielle.

La Russie, acteur régional et global de coordination et de médiation.

Quid de la suite ? Tandis que la Guerre de Syrie commence de se stabiliser avec une zone chiite formée par la Syrie utile et une percée vers l’Est à Deir Ezzor, une zone sunnite et une zone kurde servant de levier à l’influence croisée américano-russe, des compromis politiques pourraient être trouvés peu à peu à Astana où les véritables négociations de paix devraient supplanter celles de Genève sur le fond du dossier. Dans le même temps, une coordination des différents acteurs régionaux (Iran, Turquie, Qatar, Arabie Saoudite) se matérialise sous les auspices de la Russie qui, négocie parallèlement son action à un niveau supérieur de gouvernance avec les Etats-Unis, eux-mêmes désireux de conserver leur « leadership from behind » - en matière de non-interventionnisme, Trump pourrait paradoxalement agir en continuité avec la politique de B. Obama -, et avec la Chine qui, elle, devrait jouer à l’avenir un rôle essentiel au Moyen-Orient via son projet de « Nouvelle route de la Soie ». Un projet pharaonique qui constitue l’armature de ce que je nommerai le « pivot vers l’Ouest » chinois en miroir du « pivot vers l’Est » américain.

En-deça de de ce “grand jeu” stratégique, les yeux du tacticien Poutine se tournent vers la Libye où la Russie déploie discrètement son jeu diplomatique et là encore énergétique. Alors que le désormais Maréchal Haftar, maître de la Cyrénaïque et concurrent du soi-disant « gouvernement d’Union nationale » qui règne sur la Tripolitaine, a pu faire main-basse sur les installations pétrolières du Golfe de Syrte, on apprend que Rosneft passera un accord avec la National Oil Corporation libyenne dont le PDG, Mustafa Sanalla, a rencontré Igor Sechin, son homologue de Rosneft, à Londres lors de la Conférence internationale de l’énergie le 20 février dernier. Un “signal faible” intéressant dont je vous conterai les tenants et les aboutissants prévisibles d’ici peu…

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February 7, 2017 11:20 AM
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#Agriculture industrielle :produire à mort #DATAGUEULE 69 #démographie #énergie #finance #spéculation #agrochimie

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January 24, 2017 11:01 PM
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#MÉLENCHON - « IL FAUT SORTIR DU NUCLÉAIRE ET PASSER AU 100% RENOUVELABLE» (et #CarolineRoux à la rue )

#MÉLENCHON - « IL FAUT SORTIR DU NUCLÉAIRE ET PASSER AU 100% RENOUVELABLE» (et #CarolineRoux à la rue )

Le 24 janvier, Jean-Luc Mélenchon était l'invité des 4 vérités (http://www.france2.fr/emissions/telematin/actu/les-4-verites-jean-luc-melanchon_548695). I

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December 6, 2016 3:58 AM
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Audio 5 mn RTS : L' #Espagne touchée par la pauvreté énergétique #énergie #électricité #austérité

Audio 5 mn RTS : L' #Espagne touchée par la pauvreté énergétique #énergie #électricité #austérité | Infos en français | Scoop.it

Audio 5 mn RTS : L' #Espagne touchée par la pauvreté énergétique #énergie #électricité #austérité

Les moments les plus durs de la crise économique sont passés en Espagne, mais le pays doit toujours faire face à des drames sociaux, comme celui de la pauvreté énergétique. Moins visible que celui du chômage, ce phénomène est tout aussi préoccupant.

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May 16, 2016 4:42 PM
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#FortMcMurray, le paradis de l’individualisme et de la bêtise #Canada #énergie #environnement

#FortMcMurray, le paradis de l’individualisme et de la bêtise #Canada #énergie #environnement

16 mai 2016 / Jean-François Hotte pour Reporterre.net

L’auteur a travaillé à Fort McMurray, attiré par les possibilités d’enrichissement rapide. L’incendie qui a ravagé la forêt boréale de cet eldorado des sables bitumeux lui a inspiré ce texte. Il y décrit un « paradis de l’individualisme et de la bêtise » qu’il n’est pas nécessaire de reconstruire.

"

Je m’excuse à l’avance, il est possible que la poussière ne soit pas encore retombée.

Avant de lire ces quelques lignes, il faut mettre de côté la sensibilité et la compassion pour les gens qui ont perdu leur maison. Sans cœur, aussi immonde que ça puisse paraître, il faut faire abstraction de ces vies chamboulées. Il y a parfois des événements ironiques dans la vie. Des situations qui nous permettent de penser autrement, en perspective, à quelque chose de plus grand.

J’ai déménagé à Fort McMurray en 2009. Comme plusieurs autres canadiens, je cherchais un moyen facile de faire de l’argent. Un salaire de 100.000 $ canadiens [environ 68.000 euros] par année, c’était attrayant pour un jeune de 19 ans tout juste gradué du Cégep. « Je vais placer de l’argent de côté, payer mes dettes d’études, et je reviendrai au Québec avec un gros char. » C’est la même pensée qui traverse l’esprit de milliers de jeunes canadiens chaque année. Il n’en fallait pas plus pour nous attirer ! Mon ami et moi étions déjà en route pour le trou du cul du monde : Fort McMurray.

Jamais auparavant je n’avais vu autant de pick-up ! Que ce soit dans les rues, les entrées de maisons ou le stationnement du Walmart, il y en avait partout. À Fort McMurray, il y a plus de concessionnaires que d’organismes communautaires, de bibliothèques et d’écoles mis ensemble.

On se le répétait, bientôt, nous allions être riches ! Quelques nuits difficiles à dormir dans notre vieille caravane, le temps de trouver un emploi… et le tour est joué !

En investissant dans cette ville éloignée, le Canada participe au génocide intellectuel d’une nation 

Quelques jours plus tard, nous avions trouvé une chambre à louer chez une famille de Québécois. Le visage de Fort McMurray, c’était cette famille de la Beauce. Ils avaient déclaré faillite, ils étaient sans ressource et sans moyen. Pour eux, avec leurs deux adolescents, « Le Mac », c’était leur dernier espoir.

Ces Beaucerons n’avaient aucune éducation, toute la famille était obèse, à chaque soir ils commandaient du poulet frit ou de la pizza. Les caisses de Coca Cola et de Molson Canadian faisaient partie intégrante de la décoration. Bref, une famille colonisée, des truckers de Fort Mc.(...)

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May 2, 2016 2:47 PM
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Prendre conscience que 50% du #pétrole mondial est négocié à #Genève ..  yc celui de #Daesh #EI - #Suisse #finance #terrorisme

Prendre conscience que 50% du #pétrole mondial est négocié à #Genève ..  yc celui de #Daesh #EI - #Suisse #finance #terrorisme | Infos en français | Scoop.it

Prendre conscience que 50% du #pétrole mondial est négocié à #Genève ..  y compris celui de #Daesh #EI - #Suisse #finance (et qu'il y a un clair manque de volonté politique en Suisse pour mettre de l'ordre dans ce négoce, le pétrole (aussi d'autres matières premières comme le blé)  qui contribue à notre prospérité mais qui finance ce terrorisme là )

 

interview 21 mn de Frédéric Esposito, directeur Observatoire universitaire de la sécurité, UNIGE

Barak Obama annonçait il y a tout juste 5 ans, le 2 mai 2011, la mort d'Oussama Ben Laden, tué par un commando américain à Abottabad, au Pakistan. Le chef d'al-Qaïda était considéré comme l'ennemi public numéro 1 aux Etats-Unis, depuis les attentats du 11 septembre 2001. Aujourd'hui, la menace terroriste a pris d'autres visages. Frédéric Esposito, politologue, analyse cette mutation.

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April 15, 2016 8:40 AM
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Les grandes compagnies pétrolières sous pression de leurs actionnaires 15.4.16 - rts #Pétrole #Oil #Energie #Environnement

Les grandes compagnies pétrolières sous pression de leurs actionnaires 15.4.16 - rts #Pétrole #Oil #Energie #Environnement | Infos en français | Scoop.it

Les grandes compagnies pétrolières sous pression de leurs actionnaires 15.4.16 - rts #Pétrole #Oil #Energie #Environnement

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March 7, 2016 6:22 PM
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Conférence de presse de l'Etat et la Ville de #Genève sur la centrale #nucléaire du #Bugey en #France - 36 mn #environnement #danger #CorinneLepage

Conférence de presse de l'Etat et la Ville de #Genève sur la centrale #nucléaire du #Bugey en #France - 36 mn #environnement #danger #CorinneLepage

Centrale nucléaire du Bugey (France): l'Etat et la Ville de Genève déposent plainte pénale Lundi 7 mars 2016 Plus d'informations sur www.ville-geneve.ch

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July 14, 2012 10:33 PM
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Carbonisés: l'extraction de pétrole par les multinationales.

Je vous souhaite une belle ballade dominicale en voiture...

 

"Lorsque l'on extrait du pétrole, une immense quantité de gaz naturel est acheminée vers la surface du globe. Or, au lieu de l'utiliser à bon escient, les compagnies pétrolières brûlent cette précieuse matière première, considérée aujourd'hui comme une ressource énergétique primordiale pour l'avenir. Ce processus dit de "torchage" fait disparaître chaque année l'équivalent du tiers des besoins européens en gaz naturel, tandis que 400 millions de tonnes de gaz à effet de serre sont relâchées dans l'atmosphère. Il semble toutefois que ce phénomène n'inquiète pas outre mesure les compagnies pétrolières, dont l'unique but reste de puiser dans les réserves d'or noir, au plus vite.
Si ce sont surtout les populations de pays africains comme le Nigeria qui pâtissent de l'exploitation pétrolière, la Russie, plus gros fournisseur de pétrole de l'Europe, est championne du monde en matière de gaspillage de gaz naturel. Pourquoi les compagnies pétrolières du monde entier brûlent-elles sans vergogne ces précieuses ressources ? Et surtout, pourquoi personne ne semble-t-il s'en soucier ?"

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