"Jean-Noël Guérini aurait sans doute préféré que cela ne se sache pas, ou pas tout de suite. Déjà très isolé politiquement et humainement, le président socialiste du conseil général des Bouches-du-Rhône a découvert récemment dans un procès-verbal que son directeur de cabinet le lâchait, n’en pouvait plus de travailler avec lui, et lui prédisait de nouveaux ennuis judiciaires."