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Livres & ressources de et autour de la photographie
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Le photographe Marc Riboud exposé à Lyon

Le photographe Marc Riboud exposé à Lyon | Livres photo | Scoop.it
Premiers déclics, une exposition proposée par la Région Rhône-Alpes et consacrée aux premières années de l'œuvre du photographe Marc Riboud.
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La France "Vue d'ici", le projet photographique de Mediapart

La France "Vue d'ici", le projet photographique de Mediapart | Livres photo | Scoop.it
Cette grande enquête photographique et documentaire pour regarder la France en face ne se fera pas sans vous. Soutenez le projet !
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Les photographies de Kati Horna, entre surréalisme et humanisme

Les photographies de Kati Horna, entre surréalisme et humanisme | Livres photo | Scoop.it
Le Jeu de Paume nous présente l'œuvre de Kati Horna, photographe mexicaine d'adoption, dont le travail est aujourd'hui peu connu. Jusqu'au 21 septembre.


via @marinfavre

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141 Galeries de 33 pays pour l'édition 2014 de Paris Photo

141 Galeries de 33 pays pour l'édition 2014 de Paris Photo | Livres photo | Scoop.it
La 18ème édition de Paris Photo aura lieu du 13 au 16 novembre 2014 au Grand Palais et exposera 141 Galeries dédiées exclusivement à la photographie d'art.

via @marinfavre

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García de Marina: Still Lifes

García de Marina: Still Lifes | Livres photo | Scoop.it
I appreciate when people see the world differently, and Spanish photographer García de Marina happens to see the world with humor and possibility.  His images celebrate "the greatness of the everyday" making us consider household objects in a whole new way. I appreciate the simplicity and humor in his images. García de Marina was born in Gijon…
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Baudelaire et la photographie

La photographie fait partie de ces « choses modernes » que Baudelaire déteste mais dont il ne peut pas se passer, comme la presse, comme le Boulevard.
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James Foley, l'humaniste courageux

James Foley, l'humaniste courageux | Livres photo | Scoop.it
James Foley était un journaliste courageux qui n'hésitait pas à se rendre dans les endroits les plus dangereux pour raconter les histoires de civils pris dans le chaos de la
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L’illusion du bonheur, une série de Mark Drew

L’illusion du bonheur, une série de Mark Drew | Livres photo | Scoop.it

Mark Drew, photographe new-yorkais, a parcouru cet été le sud des Etats-Unis. Il en revient avec deux séries photographiques inédites intitulées « The Fairgrounds » and « Values & Happiness »

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Parcourez en photo la petite ceinture, un chemin de fer parisien abandonné – Lense.fr

Parcourez en photo la petite ceinture, un chemin de fer parisien abandonné – Lense.fr | Livres photo | Scoop.it
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Jean Dieuzaide, Robert Doisneau | Doisneau / Dieuzaide, une amitié heureuse | Toulouse. Le Château d´eau

Jean Dieuzaide, Robert Doisneau | Doisneau / Dieuzaide, une amitié heureuse | Toulouse. Le Château d´eau | Livres photo | Scoop.it
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Les trouvailles de Man Ray et Lee Miller

Les trouvailles de Man Ray et Lee Miller | Livres photo | Scoop.it
Elle fut le modèle, l'élève et la compagne du photographe et portraitiste d'avant-garde. Elle permit à l'Américain de découvrir la...
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Exposition - Roman Vishniac. De Berlin à New York, 1920-1975

Rassemblant environ 220 œuvres, l'exposition « Roman Vishniac. De Berlin à New York, 1920-1975 » propose une réévaluation de l'intégralité de la production du photographe, depuis ses débuts à Berlin jusqu'à l'après-guerre aux États-Unis.
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Dennis Hopper : Acteur, réalisateur, bad boy … et photographe

Dennis Hopper : Acteur, réalisateur, bad boy … et photographe | Livres photo | Scoop.it
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Photographier les espaces publics urbains par le biais d'une pratique ordinaire: l'attente

Photographier les espaces publics urbains par le biais d'une pratique ordinaire: l'attente | Livres photo | Scoop.it
*Article publié en partenariat avec la revue Urbanités.
Le projet photographique de Gérard Monnier auquel nous donne accès ce livre bilingue français/anglais, dont la forme s’adapte à la prise de vue panoramique, témoigne d’un travail conséquent mené sur une période de près de dix années. En 2003, cet historien de l’art et de l’architecture a un « déclic » qui lui fait prendre conscience du fait que l’attente dans les espaces publics urbains constitue un sujet qui se prête merveilleusement bien à une approche par la photographie. Partout dans le monde, seuls ou à plusieurs, les êtres humains attendent, en diverses occasions et en divers lieux.
La spécificité et l’intérêt des espaces publics urbains en la matière résident dans le fait qu’ils font se côtoyer des étrangers, temporairement co-présents en un espace et en un temps donnés. Les photos rassemblées ici ont été exposées à plusieurs reprises (notamment à Paris, à Vienne et dans l’État du Minas Gerais, au Brésil), et ce livre, qui vaut le détour pour lui-même, permet à un public plus large de parcourir du regard ces scènes d’attente auxquelles nous assistons et participons au quotidien, le plus souvent indifférents à ce qui se passe sous nos yeux. Quatre (très) courts textes introductifs, autant de commentaires sur le travail photographique réalisé, précèdent près d’une centaine de prises de vues. Outre l’auteur, un anthropologue, un historien de la photographie et un écrivain se sont prêtés à cet exercice qui éclaire le lecteur tout en le laissant libre dans ses interprétations.
Au gré de ses déplacements, Gérard Monnier a photographié cette « pratique urbaine ordinaire » à travers le monde. Même si le décor change, les ressemblances entre les images prises, notamment à Paris, Bruxelles, Genève, Prague, Agadir, Rio de Janeiro, Beijing ou Tokyo, sautent aux yeux. L’auteur cherche systématiquement à ne pas se faire remarquer, à ne pas troubler « l’étrange sérénité de ces moments », pour immortaliser l’instant de ce qui, parfois, lui évoque une « scène de théâtre de rue » (p. 190). Comme le dit si bien Dominique Noguez, « Photographier, c’est vouloir pérenniser le regard, la surprise ou l’enchantement d’un instant » (p. 12). Les lieux d’attente observés sont divers et variés : à l’arrêt de bus (à la campagne comme à la ville), devant un passage piéton, à la gare (de trains, de bus ou de taxis), à l’aéroport, au marché (qu’on y attende son tour ou des clients), devant une école, un site touristique ou une salle d’exposition, etc. Certains lieux sont plus inattendus : à l’hippodrome, sur la ligne de départ d’une course, devant la mairie avant et après un mariage, un magasin à l’ouverture des soldes, mais aussi devant le bureau pour l’emploi ou le service des étrangers. Les situations d’attente sont elles aussi nombreuses et variées : en file ou de façon plus diffuse, spontanément ou contraint, que ce soit par la foule, lors d’une grève des transports en commun, ou par des dispositifs qui tentent d’organiser l’attente (cf. la photo du musée d’Orsay), sous la pluie, à l’abri ou non, caché sous un parapluie ou un capuchon, ou en plein soleil, lors d’une simple halte ou d’une pause plus longue, pour se reposer, et ainsi de suite. Les photos montrent aussi comment les individus utilisent l’environnement pour rendre l’attente plus supportable, en s’appuyant contre un arbre ou en s’asseyant sur un muret ou un monument.
L’expérience de l’attente pourra s’avérer très différente selon que l’on soit en pleine forme, épuisé ou malade, familier du lieu ou étranger à celui-ci, conscient de ce qui se passe autour de soi, attentif, ou replié dans sa bulle, plongé dans ses pensées. Une attente routinière sur le chemin du travail ne revêtira pas le même sens que l’attente qui précède le départ en vacances. Attendre longuement et seul sera probablement plus désagréable qu’attendre un temps (très) bref, en compagnie d’amis, ce qui est de nature à changer la signification qui est attribuée à l’attente.
L’ouvrage donne aussi à voir les regards et le rite de l’évitement sur lesquels Erving Goffman (1973, 1974) a tant écrit, ainsi que le jeu délicat par lequel on cherche à se maintenir à une distance suffisante des autres, la proxémie chère à Edward T. Hall (1971). Les situations mises en avant offrent à voir une multitude de détails, y compris en arrière-plan, qui attirent l’attention, parfois dans un deuxième temps. De nombreux contrastes sont mis en avant, parfois accentués par l’auteur qui place côte à côte deux photos prises au même endroit mais à des moments différents. Certains personnages, marquants de par leur singularité, ressortent du paysage, comme cet homme entièrement vêtu de blanc dont on ne saurait dire pourquoi il se trouve ainsi vêtu dans la rue, peut-être sort-il d’un abattoir, ou d’un hôpital…
Attendre ensemble : les formes et les lieux d’une pratique urbaine ordinaire est donc un ouvrage qui s’intéresse à la ville au travers de ceux qui s’y déplacent et y vivent et, souvent aussi, y attendent. Il constitue une nouvelle preuve de l’intérêt que présente la photographie pour appréhender la ville et ce qui s’y passe, que ce soit avec un regard socio-anthropologique ou géographique (Achutti, 2004 ; Conord, 2007 ; Garrett, 2014). Dans une telle entreprise, les images ne sont plus de simples illustrations ; elles forment le récit, conjointement avec le photographe, au travers de ses choix et de sa « propre confrontation avec l’espace urbain » (Jarrigeon, 2012 : 7). Et c’est un tel récit, tout en images que nous offre Gérard Monnier, pour se pencher sur ce phénomène de l’attente, au gré des nombreuses situations qu’il a choisi de photographier, puis de nous présenter#nf#
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Gilles Caron, Le conflit intérieur (Tours)

Gilles Caron, Le conflit intérieur (Tours) | Livres photo | Scoop.it

Mémoire visuelle d’une époque, Gilles Caron (1939-1970) a relaté par l’image la chronique des grands conflits contemporains (guerre des Six Jours, du Viêtnam, au Biafra et en Irlande du Nord, Mai 68, répression du Printemps de Prague…). Il finira par payer cet engagement de sa vie, lors d’un reportage au Cambodge.
Mobilisé comme parachutiste lors de la guerre d’Algérie, témoin des brutalités infligées aux civils, il
a cherché, en se lançant dans le photojournalisme, à passer de l’autre côté de la barrière pour faire
comprendre la situation de populations prises dans l’engrenage de la guerre. Une expérience dont il ne
ressortira pas apaisé moralement. Parti avec une vision héroïque de la photographie de guerre, Gilles Caron finira par s’interroger sur la finalité de son métier : peut-on se contenter d’un rôle de témoin, de spectateur ? Il est l’un des premiers dans la profession à présenter les symptômes d’un conflit intérieur, d’une crise morale. L’un des premiers à pratiquer une forme d’introspection désillusionnée qui mène le reporter à retourner progressivement la caméra vers lui-même, devenir l’objet du récit photographique.

Pendant la guerre des Six Jours et au Viêtnam, au début de sa carrière, son intérêt se porte sur des figures inactives — militaires ou prisonniers — absorbées dans leurs pensées, en train de lire, d’écrire ou de méditer. Pendant la guerre du Biafra, Caron se révèle très sensible à la condition des enfants et autres victimes. Lors de Mai 68 et en Irlande du Nord, il accorde beaucoup d’attention à ces acteurs emblématiques que sont les lanceurs de pavés ou de cocktails Molotov, incarnations de la guérilla urbaine. Son inventivité n’apparaît jamais mieux qu’à l’occasion des reportages réalisés dans les combats de rue, où son objectif transforme les manifestations en véritables chorégraphies.

Reporter de guerre, régulièrement confronté à des situations extrêmes, Caron n’est pas pour autant
indifférent au spectacle des sixties, à la Nouvelle Vague et à la jeune scène musicale. Il lui arrive de
travailler comme photographe sur les plateaux de Godard ou de Truffaut et même comme photographe de mode. Ce détour par le cinéma et la mode peut sembler très différent du reste de son travail. Il n’est cependant pas sans laisser de traces dans son langage formel, comme en témoignent ses reportages des manifestations au Quartier latin ou en Ulster. L’exposition s’achève sur un portrait anti-héroïque du photoreporter. Cette conclusion, capitale pour l’histoire du photojournalisme, démontre que la conscience de Caron et d’autres photoreporters devient à la fin des années 1960 une conscience malheureuse. Culpabilité, narcissisme, parodie ou ironie… on ne sait plus vraiment quelle image ils se font finalement d’eux-mêmes.

Regroupant 150 images et documents d’archives provenant de la Fondation Gilles Caron, de la collection du Musée de l'Elysée et de collections privées, l’exposition propose un parcours en six temps permettant de redécouvrir l’un des plus importants photoreporters du XXe siècle.

Commissaires
Michel Poivert, historien de la photographie, professeur, université Paris 1 Panthéon-Sorbonne ; Jean-Christophe Blaser, ex-conservateur, Musée de l’Elysée, Lausanne.

Château de Tours
25 avenue André Malraux37000 Tours
Tél. : 02 47 21 61 95
Horaires : du mardi au vendredide 14H à 18H,
samedi et dimanche 14H15 à 18H.
Entrée gratuite
Visites commentées destinées aux visiteurs individuels le samedi à 15 heures. Visites couplées avec l’exposition du CCC – Centre de création contemporaine de Tours, le premier samedi du mois à 16h30.
Visites commentées pour les groupes adultes, associations, scolaires et publics jeunes. Accueil gratuit des groupes, du lundi au samedi, sur rendez-vous : information et réservation au 02.47.70.88.46 / de@ville-tours.fr

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Martin Elkort

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Today’s post is a celebration of photographer Martin Elkort, who has spent a lifetime documenting America capturing communities from Coney Island to Los Angeles.
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L’appareil photo le plus rapide au monde peut capturer 4400 milliards d’images à la seconde

En prenant près de 4400 milliards d’images à la seconde, cet appareil photo est en mesure d’immortaliser des moments invisibles à l’œil nu, comme par exemple des réactions chimiques, offrant de cette manière de toutes nouvelles perspectives aux...
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Tomas van Houtryve: A Sky Full of Cameras

Tomas van Houtryve: A Sky Full of Cameras | Livres photo | Scoop.it
National Geographic Photo Blog
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Antonioni und die Geschichte der Fotografie: Eine Ausstellung in Wien

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Michelangelo Antonionis Film Blow Up gilt als Dokument einer Epoche. Er begründete den Weltruhm des deutschen Models Veruschka von Lehndorff, dem Herbie Hancock seinen Hammond-Groover im Soundtrack widmete, und spricht wie nur wenige andere Filme die Bildsprache der “Swingng Sixties”: Sex, Musik, Drogen, Design und Gegenkultur. Eine atmosphärische Momentaufnahme vom London des Jahres 1966, der “aufregendsten Stadt der Welt”, wie im selben Jahr das amerikanische Magazin Timejubelte. Dass Antonioni sein Porträt der Swinging Sixties weniger als impressionistische Erzählung erfunden als vielmehr sorgfältig recherchiert hatte, enthüllt nun eine Ausstellung, die noch bis Mitte August 2014 in der Wiener Albertina zu sehen ist.

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Pierre de Vallombreuse : chroniques d’un aventurier engagé - Le Monde de la Photo

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À la manière d'un ethnologue, Pierre de Vallombreuse mène un travail de fond sur les peuples autochtones à travers le monde depuis plus de vingt-cinq (...)
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Close and Far: Russian Photography Now — Calvert 22 Gallery

Close and Far: Russian Photography Now — Calvert 22 Gallery | Livres photo | Scoop.it

Olya Ivanova, Anna Alexeevna, Kich-Gorodok, 2010.

 

A new generation of photographers explore identity and place in early 21st century Russia alongside the rediscovered works of Sergei Prokudin-Gorsk.

 

Close and Far showcases the work of Sergei Prokudin-Gorsky, Alexander Gronsky, Dimitri Venkov, Taus Makhacheva, Olya Ivanova and Max Sher.

 

Calvert 22 Gallery, London.


Via Caroline Claeys, Thomas-Penette Michel
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Rebecca Litchfield : Orphans of Time

Rebecca Litchfield  : Orphans of Time | Livres photo | Scoop.it
Rebecca Litchfield | Fine Art Photography
Florence Trocmé's insight:

Un peu plus d'informations sur cette photographe et sur ces fascinants lieux abandonnés. 


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Photoreview V2 : un accès direct à l'actualité photo

Photoreview V2 : un accès direct à l'actualité photo | Livres photo | Scoop.it
Voilà bientôt quatre mois que nous travaillons à distance, entre Paris et Boston, pour pouvoir aujourd'hui vous proposer la version 2 de Photoreview.
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EXPO | Les parcours photographiques de Françoise Huguier et Marie-Paule Nègre à la MEP

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Jusqu'au 31 août 2014, la Maison européenne de la Photographie expose les œuvres des photographes Françoise Huguier et Marie-Paule Nègre. Deux grands noms
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