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Emmanuel Macron a attaqué jeudi cet "islam politique" qui voudrait "faire sécession" avec la République, et a promis de "réaffirmer" la loi de 1905 sur la laïcité. La révision de cette loi pour mieux encadrer l'islam est en réalité un chantier déjà ouvert par l'exécutif, mais qui a été repoussé pour la fin de l'année 2019.
A 13h, dans “La France bouge”, Raphaëlle Duchemin et la rédaction d’Europe 1 font le tour de France des initiatives positives et novatrices. Travail, éducation, santé… ils œuvrent aux quatre coins du pays pour faire bouger les lignes et casser les codes : qui sont ces citoyens, ces entreprises, ces collectivités qui s’engagent et inventent le monde de demain ? Des portraits et des témoignages inspirants.
Ce mardi 26 février, une polémique nourrie par des responsables politiques de La République en marche et du parti Les Républicains ont amené Decathlon à renoncer à commercialiser un « hijab de running ». Loin d’être anecdotique, cet événement en dit long sur la névrose d’une frange de la société française autour de l’islam et du voile. Edito.
Les responsables des cultes, à l'exception des responsables juifs, se réunissaient mardi et s'inquiètent des pistes envisagées par l'exécutif pour modifier la loi de séparation des Églises et de l'État.
Le ministre de l'Education nationale, Jean-Michel Blanquer, a rejeté la préconisation de l'Observatoire de la laïcité d'autoriser les jeunes appelés au service national universel à porter des signes religieux, contrairement à ce qui se fait à l'école.
En affirmant que le grand débat devait "renforcer les principes" de la laïcité, Emmanuel Macron a fait naître la crainte de discussions "peu sereines" alors que l'exécutif a déjà commencé ses consultations pour réviser la loi de 1905 de séparation des Églises et de l’État.
L’Observatoire de la laïcité propose une étude à propos de l’application du principe de laïcité et sa promotion dans le cadre du futur service national universel (SNU). L’étude publiée le 2 janvier 2019 rappelle les objectifs du SNU, le cadre juridique du port de signes religieux ainsi que les possibilités de restriction à la manifestation du religieux.
Une modification de la loi de 1905 « n’est pas un tabou » mais un projet de loi « n’est pas programmé à ce stade », affirme le ministre de l’Intérieur Christophe Castaner dans un entretien publié sur le site du Point aujourd’hui."
Selon l’Observatoire du fait religieux en entreprise, les managers qui rencontrent des situations conflictuelles sont de plus en plus nombreux.
Depuis quelques années, les chartes et guides pratiques de la laïcité se multiplient au sein des services publics, parmi les collectivités territoriales et les grandes entreprises, avec chaque fois l’intention de clarifier les réponses à apporter à des situations qui plongent des collectifs de travail dans l’embarras. Toutes ces mesures, et il y en a d’autres, suscitent la controverse et un débat important : pour les uns, elles vont à l’encontre de la liberté d’expression et traduisent un durcissement dans l’application de la laïcité, voire un dévoiement de cette dernière. Pour les autres, elles sont nécessaires parce qu’on ne peut pas se contenter d’énoncer des principes, il faut préciser comment ils s’appliquent à la diversité des situations. Quoi qu’on en pense, on peut reconnaître à ce type de mesures le mérite d’aller dans le sens de la clarification, et de rendre plus facile à caractériser la discrimination d’un côté, ou l’entorse à la laïcité de l’autre, quand le phénomène se produit.
La cour administrative d'appel de Lyon a rendu son jugement ce mardi 23 octobre. Elle a invalidé l'arrêté municipal de Chalon-sur-Saône, estimant que les menus de substitution au porc dans les cantines scolaires "ne portent pas atteinte à la laïcité". La décision du maire LR de la ville, en 2015, avait engendré une vaste polémique.
Les recommandations du comité des droits de l’homme des Nations unies, qui n’est pas une juridiction, n’ont aucune valeur contraignante ou obligatoire.
C’est le deuxième canton suisse à se doter d’une telle loi. Les Suisses se prononceront de nouveau sur le sujet à l’occasion d’un référendum national.
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Sans méconnaître le principe de laïcité, une commune peut louer un bien de son domaine privé à une association religieuse pour y exercer un culte. Même de manière exclusive et pérenne.
Pour renforcer la transparence du financement des cultes, l’exécutif pourrait finalement s’appuyer sur les codes pénal et des impôts.
Parmi les thèmes retenus pour le grand débat national, il en est un qui a une résonance particulière en Alsace-Moselle : celui de la laïcité. Le gouvernement envisage de réformer la loi de 1905 sur la laïcité et devrait livrer quelques premiers éléments courant février.
Mais seul un sur cinq juge qu'elle est bien appliquée, selon un sondage Viavoice pour l'Observatoire de la laïcité.
Le maire Julien Bachard (LR) avait demandé à l’exposante qui tenait un stand de pâtisserie de quitter les lieux.
À l’heure où notre société tend à se fracturer, où la haine se développe, et où « tout l’édifice » pourrait crouler, la laïcité n’est-elle pas, plus que jamais, d’actualité ?
Renforcer la transparence du financement des cultes, garantir le respect de l’ordre public, responsabiliser les dirigeants des associations cultuelles: tels sont les axes de réforme de la loi de 1905 proposés jeudi par Emmanuel Macron.
Le tribunal administratif de Lyon a donné raison, vendredi 23 novembre, au président de la région Auvergne-Rhône-Alpes, dans l'affaire des crèches de Noël installées dans l’espèce public en décembre 2017. Selon les juges lyonnais, les crèches sont conformes au principe de neutralité en raison de leur « caractère culturel ».
Le Comité interministériel de prévention de la délinquance et de la radicalisation a publié le 13 novembre un guide pratique intitulé "Laïcité et prévention de la radicalisation". Adressé aux enseignants, travailleurs sociaux et décideurs politiques locaux, il a pour objectif de les aider à mieux détecter et à prévenir les cas de radicalisation chez les jeunes.
Une réflexion est en cours pour « réduire l’influence étrangère » et prévenir les dérives intégristes.
INVITÉ RTL - Le ministre de l'Éducation nationale réagit après avoir présenté un premier bilan des atteintes au principe de laïcité à l'école. Un phénomène qui reste difficilement quantifiable.
Iannis Roder, professeur en éducation prioritaire renforcée et Nicolas Cadène, rapporteur général de l'Observatoire de la Laïcité, s'accordent sur une extension de la pratique religieuse à l'école et pointent du doigt le manque de mixité sociale dans les établissements.
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