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Ces 30 organisations sont en lice pour le prix d’excellence décerné chaque année par la Confédération Nationale des Junior-Entreprises (CNJE). Il récompense les Junior-entreprises qui ont «su le mieux incarner les valeurs et l’esprit du mouvement». Quelle sera la meilleure junior-entreprise de France? La Confédération Nationale des Junior-Entreprises (CNJE) a révélé samedi 14 mars les trente organisations qui pourront prétendre, au mois de mai prochain, à ce titre honorifique.

N7 Consulting, la Junior-Entreprise de l’INP-ENSEEIHT parmi les 30 Junior-entreprises.

25 m. C'est le record à battre pour les challengers français de l'édition 2015 du Red Bull Paper Wings, un championnat du monde de lancer d'avion en papier.

Il est détenu depuis jeudi par Edouard Clément, un étudiant toulousain de l’Ecole Nationale d’Aviation Civile (Enac), là où se déroulait la première étape de ce challenge ouvert à tous les étudiants.Grâce à une savante technique de pliage d'une feuille de papier A4, certainement héritée de ses connaissances en tant que futur ingénieur aéronautique, il pourra se confronter le 4 avril prochain au musée Aéroscopia de Blagnac (Haute-Garonne) aux meilleurs étudiants français de la discipline. Ces derniers vont se qualifier d'ici là au cours des six autres étapes régionales.
 A ses côtés, il retrouvera un étudiant de l’école toulousaine d'ingénieurs ENSEEIHT, dont le coucou en papier a réussi à tenir en l'air durant 8,1 secondes, et un de l'Enac qui a réussi les meilleures acrobaties. 

Pour départager ces as de la voltige parmi les 89 participants, un vrai aviateur, le pilote de voltige français, Mikaël Brageot, le prof de l'Enac Peter Schmollgruber, mais aussi le deuxième ligne international de rugby du Stade toulousain, Yoann Maestri. Il n’y a pas d'âge pour s'amuser.

Estelle s'est fait une spécialité de la chimie moléculaire et des nanosciences. Gilles est ingénieur d'études en électrotechnique. Tous deux ont tout plaqué pour devenir agriculteurs en Hautes-Pyrénées.

La référence au romancier ne doit rien au hasard. Gilles Senmartin a grandi à Arcizac-Adour, non loin du village où le chantre du positivisme littéraire occupait un moulin, jusqu'en 2010. Coelho se morfond d'avoir quitté la Bigorre ; Gilles est épanoui depuis qu'il y est retourné. Ses études d'ingénieur en électronique de puissance à l'ENSEEIHT de Toulouse l'avaient écarté de ce terroir. Jusqu'en 2007, année où il quitte son poste d'ingénieur d'études en électrotechnique. En 2008, il décroche son BPREA en polyculture élevage et, dès 2010, Gilles crée son atelier de transformation et sa marque, sur une exploitation de 5 ha.

Tout est là, en ordre dispersé : grands groupes, start-up prometteuses, écoles, chercheurs, structures d’aide… La French Tech les pousse à jouer collectif. Le centre de formation ? Il a aussi de l’allure : Toulouse dispose d’écoles d’ingénieurs de premier plan, comme l’Isae-Supaero, l’Insa Toulouse, l’INP Toulouse. Au sein de ce dernier, l’Enseeiht, surnommée N7, est un vivier reconnu de fondateurs de start-up : les pépites Devatics, CityMeo ou Unitag ont été fondées par des étudiants ou enseignants-chercheurs de l’école. « Toulouse dispose de structures de recherche de rang mondial, comme l’Institut de recherche en informatique de Toulouse (Irit), le Laas, l’Onera (aéronautique) ou le Cnes (spatial) », pointe Edouard Forzy, coprésident de La Mêlée, l’association du numérique toulousain.

Après Rennes, puis Lyon, la troisième édition régionale du salon ENOVA, le salon des technologies en électronique, mesure, vision et optique se tiendra les 11 et 12 mars au Parc des expositions de Toulouse.

ENOVA TOULOUSE dédié aux systèmes embarqués et objets connectés, enregistre un franc succès,avec une surface d'exposition de 1 600 m2 de stands, un nombre croissant de nouveaux exposants, 80 nouveautés présentées et un programme de conférences de qualité.

Enfin, Thierry Bosch, professeur à l’Institut national polytechnique de Toulouse et responsable du groupe Optoélectronique pour les systèmes embarqués au sein du laboratoire Laas-CNRS, s'attachera à expliquer comment les technologies des lasers vont s’inviter dans le futur au cœur des applications embarquées. [...] Le soutien des principaux institutionnels locaux – CCI de Toulouse, le GIPI, TOULOUSE METROPOLE, le pôle de compétitivité AEROSPACE VALLEY, les clusters AUTOMOTECH, DigitalPlace, les grandes écoles INSA, ICAM, INP TOULOUSE-ENSEEIHT, les laboratoires de recherche IETR, LAAS-CNRS, le Club des Affiliés du LASS-CNRS et aussi par CAP’TRONIC, ALPHA ROUTE DES LASERS et LCIE BUREAU VERITAS.

Multiposting stages, vient d’établir un palmarès des 40 écoles d’ingénieurs plébiscitées par les employeurs. Et les établissements les plus en vogue ne sont pas forcément ceux du haut des autres classements ! Ce classement a été établi en fonction des établissements choisis pour la diffusion des offres d’emploi et de stage par les entreprises. Surprenant : les écoles parisiennes ne sont pas sur le podium, c’est Lille la grande gagnante du palmarès ! L'INP-ENSEEIHT en 4ème position.

L'USINE NOUVELLE - 29/01/15

Pour financer sa start-up, l'entrepreneur devra compter avant tout sur la "love money" des proches. Il devra aussi le plus rapidement possible se rapprocher d'un incubateur pour disposer des meilleurs conseils.

Parfois, le capital nécessaire ne doit pas être très élevé Sébastien Le Roy, 23 ans, fondateur de Tipsy et ingénieur diplômé en novembre 2014, a démarré sa société avec un capital de 5 000 euros et 6 actionnaires.

Gabriel Guiral, 22 ans, étudiant ingénieur de l'INP-ENSEEIHT : " Les étudiants des écoles de commerce sont nombreux à avoir la fibre entrepreneuriale, mais peu son capables de concevoir leur prototype. Ils doivent donc s'associer avec des ingénieurs. Cela devient alors compliqué. Il n'est pas facile de mettre en lien toutes ces compétences.

A l'Institut national polytechnique de Toulouse, Monsieur Rouchon Jean-François est nommé directeur de l’école INP-ENSEEIHT