InMédias

Le spécialiste des systèmes électroniques à forte valeur ajoutée, destinés aux marchés de l’automotive, affiche ses ambitions en 2016. Actia Group, qui a enregistré fin 2015 un chiffre d’affaires de 381 millions d’euros, table cette année sur 400 millions d’euros. La raison ? L’accélération des cadences de production, avec la mise en place de la nouvelle ligne de grande série sur son site de Colomiers. Aujourd’hui 600.000 pièces sont fabriquées par an, 2 millions d’ici 2017.

Pour accompagner son développement, l’entreprise recrute 50 personnes pour sa branche automotive, dont 31 en CDI sur différents métiers, tels que des conducteurs de ligne automatisée, des opérateurs en électronique et des techniciens qualité et méthode. « Un diplôme en électronique, du CAP au Bac +2, est requis », précise Claire Brière, responsable emploi formation.

L’entreprise envisage également de recruter neuf ingénieurs, chefs de projets et ingénieurs commerciaux pour ses bureaux d’études situés à Pouvourville, près de Toulouse. « Nous demandons un diplôme d’une grande école, de type Insa ou Enseeiht (l’Ecole nationale supérieure électronique électrotechnique informatique hydraulique Toulouse, ndrl) et trois ans d’expérience », poursuit Claire Brière.

Le journal des Entreprises – 4 mars 2016

Régine Sutra-Ora,directrice du département aéronef plus électrique à l’IRT Saint-Exupéry, détachées par Zodiac Aerospace Pourquoi organiser un forum sur les nanotechnologies ? Organisé le 23 et 24 février à l’INP-Enseeiht, ce premier forum international sur la microélectrique à l’échelle nano a réuni une centaine de participants de sept pays. C’est une première pour l’IRT Saint-Exupéry. C’est notre groupe de recherche « robustesse électronique » qui en est à l’origine. Notre objectif est de maitriser la fiabilité et la robustesse des composants issus des secteurs grand public, pour les utiliser dans le spatial, l’aéronautique et l’automobile. […] Quelle suite donner à ce forum ? Nous souhaitons pérenniser ce rendez-vous sur un rythme annuel. A Toulouse, ou pourquoi pas à Bordeaux, où se situe l’IMS, un laboratoire de recherche universitaire avec lequel nous collaborons étroitement, comme avec le Laas à Toulouse.

«S'engager pour la réduction des inégalités et instaurer un climat scolaire favorable à la réussite sont deux axes essentiels du projet académique 2014-2017». C'est sur ce principe que le rectorat de l'académie de Toulouse a organisé, hier, une conférence en partenariat avec l'association ATD Quart-Monde de Toulouse dans les locaux de l'École nationale supérieure d'électrotechnique, d'électronique, d'informatique, d'hydraulique et des télécommunications (ENSEEIHT).

Air&Cosmos - N°2483 - 15 Janvier 2016

Des enseignants-chercheurs toulousains ont développé une "brique autonome tactique" qu'ils vont tester en vol sur un ULM.

Au cœur de ce projet, plusieurs enseignants-chercheurs de l'école d'ingénieurs toulousaine INP-ENSEEIHT, à l'origine de la société UIS  (Unmanned International Services) dont l'INP conserve d'ailleurs 20% de la propriété intellectuelle. Après cinq ans de développement, presque 1M€ investi en temps de travail, la petite équipe a mis au point une "brique autonome tactique", un système capable de transformer un avion en drone autonome.

Accompagnées par le bureau Asie-Pacifique (BAP) de l'Agence universitaire de la Francophonie (AUF), les formations francophones de niveau licence en génie électrique présentes actuellement au Laos et au Cambodge sont le fruit d'un partenariat entre l'Institut national polytechnique de Toulouse (INPT), l'Institut des technologies du Cambodge (ITC) et l'Université nationale du Laos (UNL) depuis de nombreuses années.

Alors que les établissements d’enseignement supérieur publics captent 3% seulement du marché de la formation continue, le Gouvernement veut voir leur rôle augmenter. Une opportunité pour ces établissements de faire évoluer leur modèle et de renforcer leur place dans la société. Le service commun de formation continue de l’INP Toulouse (avec ses trois écoles internes l’ENSAT, l’ENSEEIHT, l’ENSIACET et l’une de ses écoles associée l’ENI de Tarbes) et de l’INSA Toulouse, réuni sous la bannière unique Toulouse Tech Formation professionnelle (TTFP), vient d’être retenu aux côtés de 11 autres établissements publics pilotes pour développer et pour repenser la formation continue.

Pour Olivier SIMONIN, Président de l’INP Toulouse : « Toulouse Tech Formation professionnelle a été retenu parce que les 5 écoles d’ingénieurs qui le composent ont déjà une forte proximité avec les entreprises, ce qui leur donne une conscience aigüe des besoins de formation continue, notamment dans le secteur technologique qui créera les emplois de demain. Le gouvernement a probablement aussi souhaité souligner la dynamique en cours avec la création de TTFP en 2014, et les priorités stratégiques de nos établissements ».

Installée à Labège, la startup CityMeo a été créée en novembre 2012 par quatre jeunes ingénieurs qui venaient d'obtenir le diplôme de l'ENSEEIHT : Jocelyn Hermitte, David Kéribin, Antoine Lubineau et James Packer . « Nous avons créé l'entreprise quelques mois après la fin de nos études avec la conviction que nous pouvions concevoir une solution d'affichage dynamique innovante », explique David Kéribin, dirigeant de CityMeo.

Dans quelques semaines, Maxime et Cédric, étudiants à l'Enseeiht (Ecole Nationale Supérieure Electronique Electrotechnique Informatique Hydraulique) seront fin prêts pour affronter l'Espagne et le désert marocains en 4L. 

GEOCORAIL lève 2 millions d’euros auprès de TRUFFLE CAPITAL et renforce sa gouvernance pour accélérer son développement (Paris, le 1er décembre 2015).

GEOCORAIL, société innovante spécialisée dans la lutte contre l’érosion et la protection des ouvrages maritimes, annonce ce mardi 1er décembre 2015 l’approbation par l’assemblée générale de ses actionnaires d’une augmentation de capital de 2 millions d’euros ainsi que la nomination de Dominique MICHEL comme Président et de Philippe ANDREANI comme Directeur Général. [...] Dominique MICHEL, ancien président-directeur général de DORIS Engineering où il a effectué l’essentiel de sa carrière, travaille depuis 35 ans dans le domaine maritime. Son expertise couvre aussi bien le forage et la production offshore que le génie côtier, avec une prédilection particulière pour l’architecture navale, les opérations maritimes et la construction de ports et de digues. Il est président ou directeur général de cinq sociétés. Dominique MICHEL a reçu le prix scientifique Emile GIRARDEAU de l’Académie marine en 2002. Il est ingénieur ENSEEIHT, licencié ès Sciences et diplômé de l’Institut d’Administration des Entreprises.

On avait prévu d’aller voir le Capitole, on aura eu le bazar : la manifestation toulousaine consacrée au logiciel libre devait en effet se tenir le week-end du 21 novembre dans les locaux de l’ENSEEIHT (prononcez N7) pour sa cinquième édition. Malheureusement, le sort en a décidé autrement : suite aux attentats de Paris, l’INP Toulouse dont fait partie l’ENSEEIHT a décidé d’annuler la tenue de la manifestation, incapable de répondre aux exigences de sécurité. [...]

L’annulation est tombée lundi, avec les regrets de l’INP Toulouse, mais sans appel. Alors en l’espace de quatre jours, les militants de l’association Toulibre  se sont débrouillés pour organiser une nouvelle manifestation, sobrement baptisée le Bazar du Libre, dans une allusion revendiquée au livre fondateur du courant open source d’Eric Raymond "La Cathédrale et le Bazar". « Quand on a annoncé l’annulation de l’événement à l'ENSEEIHT pas mal de conférenciers nous on dit « De toute façon même s’il ne se passe rien, on a prévu de venir à Toulouse, les billets sont pris, alors on vient. » Donc on s’est dit : là, il faut qu’on tente quelque chose » nous explique Emannuelle Helly, membre de l’association Toulibre à l’origine de l’événement.

Les 21 et 22 novembre, l'association Toulibre organise la cinquième édition du Capitole du Libre à l'ENSEEIHT de Toulouse, un événement consacré aux logiciels libres et à la culture libre, orienté à la fois vers le grand public et le public spécialisé. Cette manifestation est l'occasion de découvrir comment libérer son ordinateur et reprendre la main sur sa vie privée numérique, au travers de conférences, d'ateliers et de démonstrations. L'an passé, plus de mille personnes ont découvert les nouveautés logicielles.

Petites questions à ... Vivian Born

Quelles sont tes qualités/défauts sur mais aussi en dehors du vélo?

 Sur le vélo ma plus grande qualité est ma capacité à accélérer dès que la route s'élève, je suis léger et j'adore monter par à-coups avec des attaques en vélocité. Je suis également bon en endurance, plus c'est long plus c'est bon ! Mon défaut est mon manque de force sur le plat et ma faible pointe de vitesse au sprint. Un grimpeur dur au mal mais pas explosif !
En dehors du vélo, j'ai toujours le mot pour rire. Je sais faire le job et déconner quand il le faut, ce qui est un peu l'esprit de l'équipe je pense. En défaut je pense que je suis très tête en l'air et pas assez rigoureux, sauf pour ce qui est de l'entraînement où j'aime bien tout calculer.

Pourquoi la Team Payname ?
Sortant de 2 ans de prépa maths, je n'ai pas eu l'occasion de m'entraîner sérieusement dans mes années juniors. Depuis un an j'ai enfin la possibilité de rouler grâce à mon école d'ingénieurs (ENSEEIHT) qui m'aménage les études. Grâce à cet aménagement horaire, j'ai beaucoup progressé et j'étais donc motivé pour intégrer une DN route en 2016 afin de continuer à progresser pour mon année d'espoir 2. Ce que j'aime chez Payname c'est l'ambiance, on est entre jeunes, et je pense que le staff sait trouver le juste milieu entre plaisir et performance. Nous sommes entre toulousains, je vais retrouver dans l'équipe des coéquipiers qui me suivent à l'entraînement et en course depuis mes débuts. Que de la bonne ambiance ! La Team me laisse également continuer le VTT cette année car je vais participer aux 5 Coupes de France VTT en catégorie Elite. Je les en remercie car je voulais essayer une année au plus haut niveau en VTT.

Laurent Bacca est un ancien élève de l'INP ENSEEIHT.

L'entreprise toulousaine Fullsave possède le plus important data center du bassin toulousain, baptisé TLS00 dans lequel elle vient d'ouvrir une deuxième salle de serveurs, doublant sa capacité.

Dans un entrepôt discret du nord de Toulouse, le data center de Fullsave est à l'abri des regards. L'entreprise toulousaine, qui propose également des services de télécommunications et hébergement web, tient à la discrétion «pour des raisons de sécurité», insiste son P.-D.G. Laurent Bacca. Construit en 2014, le data center comprend trois salles informatiques, dont une en activité et la deuxième prête à accueillir ses serveurs, ces machines où sont stockées les données et informations, et où passent les réseaux internes des entreprises ou des collectivités et auxquelles accèdent les internautes. Un data center regroupe des serveurs, mais est également une infrastructure, nécessitant un refroidissement permanent à cause de la chaleur dégagée par les serveurs, une connexion à Internet très rapide et une alimentation électrique puissante.

Depuis deux jours, l'équipage composée des deux jeunes étudiants toulousains, Maxime Boussonière, 23 ans, et Elina Cros, 22 ans, est prêt pour le grand départ du 4L Trophy, aujourd'hui jeudi, à 12 heures, depuis Biarritz, en présence de Thierry Grailhe, qui représentera le lycée Jean-Baylet.

Durant trois années, le lycée valencien a répondu à l'appel des jeunes Valenciens. Cette année, pas de volontaire, mais grâce au partenariat avec l'école d'ingénieurs toulousaine (ENSEEIHT), une 4L valencienne, une habituée de cette belle aventure, préparée et bichonnée par les élèves du lycée professionnel et par leur professeur Thierry Grailhe, va prendre le départ avec les deux Toulousains, ravis de se lancer dans cette belle aventure comme ils nous l'ont précisé. «Oui, pour nous, c'est un vrai moment de bonheur. Nous allons vivre sûrement des moments forts qui resteront inoubliables. Au-delà de l'aventure, c'est un projet humanitaire, nous allons emmener dans nos bagages des fournitures scolaires et des équipements sportifs que nous distribuerons tout au long du parcours.»

On parle beaucoup des expérimentations de véhicules autonomes menées dans la Silicon Valley par Google, et aussi des voitures haut de gamme Tesla qui sont désormais dotées d’une fonction « Autopilot » très efficace. Mais il me semble important de rappeler que la France est en pointe sur le marché des véhicules électriques autonomes, notamment pour le transport collectif. Navya Technology a su concevoir et produire un véhicule intelligent, parfaitement en adéquation avec le marché visé.[...]Par ailleurs, je tiens à préciser que j'ai une relation de longue date avec Christophe Sapet et Bruno Bonnell, tous deux impliqués dans le projet Navya. En effet, quand je suis sorti il y a presque 30 ans d'une école d'informatique, l'ENSEEIHT, ce sont les deux fondateurs d'Infogrames qui m'ont recruté, pour intégrer une équipe chargée de développer un logiciel serveur télématique fonctionnant sous Unix. Ce fut une aventure professionnelle absolument passionnante, puisque moins de 5 ans après être partis d'une feuille blanche nous avions équipé en logiciels pour serveurs Minitel des clients aussi prestigieux que la BNP, le Ministère de l'Éducation Nationale, le Ministère des Finances... et une grande partie des éditeurs de services Minitel grand public 3615. Une telle histoire n'aurait pas été possible sans Christophe Sapet et Bruno Bonnell, je leur en suis reconnaissant.

Et si les éoliennes avaient besoin d’un coup de pouce pour mieux sentir d’où vient le vent, et optimiser leur rendement ? YawAdvisor est la tête chercheuse, qui se place sur le toit de la nacelle, il mesure la direction du vent, et renvoie les données à l’opérateur du parc. « Notre système émet un faisceau laser dans l’atmosphère et récupère le signal des particules naturellement présentes dans l’air. C’est un anémomètre laser installé sur nacelle afin d’optimiser l’orientation des éoliennes par rapport au vent. Il mesure la vitesse du vent et rajoute des données plus précises que celles déjà présentes dans l’éolienne. Nous intervenons une fois l’éolienne installée », explique Christophe Lepaysan, président d’Epsiline. Yaw Advisor a pour mission de booster la performance des éoliennes de 5%, en palliant des faiblesses de précisions avec des gains de production énergétique qui dépendent de la taille du parc.

Rémi garde la tête dans les étoiles - On avait quitté Rémi Gourdon la tête dans les étoiles. Mi-août, le jeune Choletais de 22 ans revenait des États-Unis. De l'Ohio, pour être précis. L'étudiant en électronique à l'ENSEEIHT de Toulouse sortait tout juste de neuf semaines passées au Space Studies Program, mis en place par l'International Space University et soutenu par le centre de recherches de la NASA. Ils n'étaient qu'une centaine comme lui, venus du monde entier et triés sur le volet, à y participer. L'occasion de rencontrer les grands pontes de l'espace : astronautes, experts... Et de mettre en route des projets, toujours en court.

La Tribune-Objectif News organise le 16 décembre prochain Biznext 2015 : 150 minutes pour décoder l’économie 4.0. Un événement placé sous le signe de la nouvelle économie, qui sera l’occasion de récompenser sept entreprises pour leur capacité à innover, à se déployer à l’export, à mener leur transformation digitale… Le prix de manageur de l’année sera également décerné. Présentation des 21 nominés.

Catégorie Jeune talent de moins de 40 ans:

David Kéribin, 27 ans, a créé CityMéo à la sortie de son école d'ingénieur, l'ENSEEIHT. Il s'agit d'une solution d'affichage dynamique reliée à une plateforme web qui permet la diffusion et la gestion de contenus multimédia. Les principaux clients de CityMéo sont les grands comptes et les régies commerciales. La startup a intégré la saison 2 du camping à Toulouse, puis l'accélérateur parisien Microsoft Venture en mars dernier. L'export est la prochaine étape pour CityMéo grâce à une levée de fonds envisagée en 2016.

Depuis le 1er novembre, Frédéric Corrégé a pris la tête du groupement d’exploitation hydraulique des vallées du Lot et de la Truyère. Il succède à Benoit Desaint, nommé responsable du projet concessions hydroélectriques Dordogne-Truyère. Ingénieur diplômé de l’École nationale supérieure d’électrotechnique, d’électronique, d’informatique, d’hydraulique et des télécommunications (Enseeiht), titulaire d’un doctorat en électronique-hyperfréquences, Frédéric Corrégé a intégré le groupe EDF en 1991.

Toulouse ingénierie rassemble 14 écoles d’ingénieurs, membres de l’université fédérale Toulouse Midi Pyrénées, dont l’ENAC, Mines Albi, ICAM, ISIS, l’INP Toulouse, au titre des écoles d’ingénieur INP-EI Purpan, INP-ENSEEIHT, INP-ENSIACET, INP-ENSAT, INP- ENIT, INP-ENM, l’INSA Toulouse, ISAE SupAéro, et Toulouse III - Paul Sabatier, au titre de l’école d’ingénieur UPSSITECH.  Engagées sur plusieurs projets et de collaborations, le consortium met en place une passerelle Paces-TI : « Préparation aux formations d’ingénieurs de Toulouse Ingénierie ».