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La Croix du Midi - 2 septembre 2016

Aux côtés des universités de Toulouse, Montpellier, Perpignan, Nîmes et Champollion toutes les Grandes écoles françaises sont aujourd'hui présentes.

AEF Dépêche – n°536280 – 17 Mai 2016

Hélène Tap, professeur à l’INP-Enseeiht, au sein du Laas-CNRS, est élue vice-présidente du conseil de la formation et de la vie universitaire de l’INP Toulouse le 8 avril 2016. Elle succède à Maritxu Guiresse. En matière de formation, les trois axes prioritaires énoncés par Hélène Tap lors de son élection sont les pédagogies actives et le numérique ; l’internationalisation de la formation ; la réponse aux attentes des acteurs socio-économiques. Hélène Tap est membre de l’équipe d’Olivier Simonin, réélu président début avril. L’INP Toulouse est un EPSCP ayant le statut d’université et rassemble sept grandes écoles.

Les candidatures aux bourses de la Fondation Groupe Dépêche sont ouvertes. Ahlem Bouras, lauréate de la promotion 2012, nous livre sont expérience. Elle est aujourd'hui étudiante à Paul-Sabatier en DUT Mesures physiques.

Que faites-vous aujourd'hui ?

Après deux ans de médecine, je me suis rendu compte que les enseignements que je préférais étaient ceux qui portaient sur la chimie et la physique. Mon projet professionnel a donc évolué et je me suis orientée vers des études d'ingénieur physique. J'ai écrit une nouvelle lettre de motivation à la Fondation pour leur montrer que mon projet était réfléchi, et ils ont continué à me soutenir. Je suis aujourd'hui en deuxième année de DUT mesures physiques en alternance dans la branche dermo-cosmétique des laboratoires Pierre Fabre à Toulouse.

Quels sont vos projets ?

Je souhaiterais devenir ingénieur en aéronautique, en électronique ou en matériaux. J'ai déposé des candidatures pour des écoles d'ingénieurs en apprentissage : l'ENAC pour l'aéronautique, mon premier choix, l'ENSEEIHT en électronique et l'ENSIACET en matériaux. J'attends leur réponse.

 Fort de ses 20 ans, le think tank du numérique, Institut G9+, annonce sa nouvelle équipe et ses ambitions.

Intègrent le Comité Stratégique de l’Institut G9+ :
- Didier Carré - Secrétariat Général et responsable des relations avec les groupes régionaux et  internationaux – Ecole des Mines de Nancy
- Bruno Dumont – Responsable de la rencontre annuelle et des livres blancs – INSEAD
- Rodolphe Falzerana – Secrétariat Général suppléant et responsable des relations interclubs – Centrale Marseille
- Rémi Prunier – Responsable communication & marketing et du cycle Startups & Innovation - Supelec et Essec
- Isabelle Denervaud – Responsable du cycle Women & Digital et de la thématique des industries face au numérique  - Ecole des Ponts Paritech et Essec
- François Doux – co-Responsable du cycle Media et Numérique – HEC
- Matthieu Vetter – co-Responsable du cycle Media et Numérique - EDHEC Business School
- Claudine Schmuck – co-Responsable du cycle Média Numérique – Sciences Po Paris
- Jean-François Perret – co-Responsable partenaires – ENSEEIHT
- Christian Hindré – co-Responsable partenaires - ESCP Europe
- Nicolas Martinez Dubost – Responsable du cycle Prospective des Industries du Numérique en France - Ecole des Ponts Paristech
- Frédéric Lau – Responsable du cycle TIC & Ressources Humaines - Grenoble Management School
- Yvan Erard – Responsable du développement d’une verticale Santé et Banque-Assurance - Dauphine

Paris, le 12 avril 2016 - Le prix Bull-Joseph Fourier 2015 a été décerné à deux équipes pour leur importante contribution au progrès des connaissances dans la science et l'innovation ainsi qu'au développement des méthodes de simulation. Il a été remis le 12 avril par Catherine Rivière, Président - directeur général de GENCI et par Philippe Vannier, Directeur Exécutif, Big Data et Sécurité, Directeur de la Technologie du Groupe Atos, en présence de nombreux représentants de la communauté scientifique française.

Fruit de la collaboration entre Atos et GENCI, le Prix Bull-Joseph Fourier a pour objectif de contribuer à accélérer le développement de la simulation numérique en France et à développer un large écosystème associant centres de calcul, laboratoires de recherche et industriels européens.

Premier prix Bull-Joseph Fourier 2015 : sauver des vies humaines en accélérant le diagnostic des accidents vasculaires cérébraux (AVC)

Pour leur travaux innovants intégrant le calcul haute performance à l'imagerie médicale, le premier prix Bull-Joseph Fourier 2015 a été décerné à l'équipe composée de Frédéric Nataf, Directeur de recherche au CNRS, Frédéric Hecht, Professeur, et de Pierre-Henri Tournier Post doctorant du laboratoire J.-L. Lions de l'Université Pierre et Marie Curie, projet Alpines-INRIA ; de Victorita Dolean, Reader at Department of Mathematics and Statistics of University of Strathclyde (Glasgow, UK) et Laboratoire J.-A. Dieudonné de l'Université de Nice-Sophia Antipolis; de Pierre Jolivet, Chercheur CNRS de l'IRIT-ENSEEIHT de Toulouse.

Dépêche du Midi – 31 mars 2016

La première édition de la Semaine du Développement Durable de l’INP Toulouse se poursuit jusqu’au samedi 2 avril. Organisée par l’INP et ses trois écoles internes , elle a pour ambition de faire connaitre les différentes actions en matière de développement durable engagées par les acteurs de l’INP Toulouse. Cette première édition est destinée à apporter différents éclairages sur les dimensions environnementales, sociales et économiques du développement durable. Ainsi, étudiants, personnels et enseignants-chercheurs se sont mobilisés pour proposer des événements permettant de venir à la rencontre des acteurs du développement durable. Outre les deux marchés de producteurs locaux et d’artisans du monde qui se sont déroulés, des conférences-débats sont également au programme. Christian Couturieur, ingénieur interviendra sur le scénario négaWatt vendredi à l’INP-ENSEEIHT tandis que l’association Avenir Climatique animera une conférence sur le climat et l’énergie, ce samedi. Tous les événements sont gratuits, ouverts à tous mais obligatoirement sur inscription.

Spatial, statistique, déssalinisation, commerce en ligne et cornes de vache, l'incubateur Midi-Pyrénées a présenté cette semaine ses cinq nouvelles recrues. Ces startups bénéficieront d'un programme de développement pour mener à bien leur projet.

Dessaliniser moins cher avec Water Horizon

Très utiles dans les zones côtières arides, les dessalinisateurs ont le désavantage d'être très gourmands en énergie. Une caractéristique qui limite le nombre de marchés potentiels pour ce genre de machine. Pour pallier ce problème, Jean-Emmanuel Faure, diplômé de l'INP-Enseeiht, a mis au point un procédé permettant de récupérer l'énergie et de la réinjecter dans les systèmes de dessalinisation ou dans d'autres systèmes consommateurs d'énergie. Cette innovation permettrait de diviser par deux le coût de production. "Avec les systèmes actuels, le m3 coûte 80 centimes d'euros. Il coutera 40 centimes avec le mien", assure Jean-Emmanuel Faure.

Son innovation bénéficie d'un transfert technologique issu du laboratoire IMFT de Toulouse. Le jeune entrepreneur cherche un associé et des partenaires financiers pour faire décoller son projet, Water Horizon, et passer à l'étape industrielle. "Je souhaite travailler avec des grands groupes pour ouvrir des marchés en Inde, en Australie, en Amérique Latine et en Espagne", indique-t-il

La corne de vache française d'Authentic

Projet atypique, Authentic Material a pour ambition de reconstruire une filière française de récupération de cornes de vache. Matière première très demandée par les artisans d'art, elle est pourtant difficile à acquérir. En France, les cornes de vaches sont jetées au rebut et les artisans doivent importer avec des délais d'un an des cornes d'Inde, de Madagascar ou d'Afrique du Sud.

Grâce à de multiples collaborations avec des laboratoires comme le Cemes, le Cirimat, le LCA et l'EI Purpan, Vincent Menny, le porteur de projet, a développé un nouveau procédé de valorisation et de reconditionnement qui améliore les caractéristiques de cette matière première.

Les coopérations s’intensifient, dans la recherche comme dans les enseignements. Pour les écoles, l’enjeu consiste à diversifier leurs financements. Des dirigeants d’entreprise aux commandes des programmes des écoles d’ingénieurs ? Cette perspective peut faire grincer des dents chez les enseignants. Pourtant, nombre d’écoles sont décidées à renforcer le poids des industriels dans la définition des cours dispensés aux futurs ingénieurs. En resserrant leurs liens avec le monde de l’entreprise, via l’enseignement et la recherche. En créant de nouveaux modes de coopération, notamment à travers le mécénat (financement de chaires, de bourses d’élèves, de rénovations de bâtiments ou de laboratoires…). En installant les entreprises à tous les niveaux de la gouvernance des écoles, y compris les comités de pilotage des filières de formation. [...] L’Enseeiht, l’une des sept écoles de l’INP Toulouse, réorganise les différentes filières du cycle ingénieur en les centrant sur les usages (transports, énergie…) plutôt que sur des disciplines scientifiques. « Les industriels qui participent à cette réforme nous poussent vers des thématiques transversales », remarque Olivier Simonin, le président d’INP Toulouse

La Mêlée Numérique organise sa 20e édition du 26 septembre au 1er octobre. Mais l'événement, dédié au numérique au sens large, change de formule cette année en se positionnant sur la grande région Occitanie. Une nouvelle formule "expérimentale", étalée sur 5 jours, et qui attend 5 000 visiteurs.

C'est une grande première à Toulouse et certainement même en France. Le 28 septembre prochain, des robots à roues, à pieds ou à pattes vont s'affronter dans plusieurs courses de vitesse sur les allées Jules Guesde. Pour l'instant, plus d'une dizaine d'équipes, en majorité toulousaines, sont inscrites à cette compétition inédite. Parmi eux, de nombreux étudiants, dont une équipe formée par l'ENSEEIHT.

Une nouvelle formation 100% open-source ouvre à l'INP/ENSEEIHT de Toulouse fin octobre : "Développeur d'Applications Full-Stack". L'école publique d'ingénieurs ENSEEIHT accueille la formation et offre un campus avec toutes les facilités en plein centre de Toulouse ; elle délivrera un diplôme bac+3. L'ensemble est structuré en 5 mois d'enseignement de novembre à mars suivis de 4 mois de stage en entreprise d'avril à juillet.

Le Journal des Entreprises – 06 Mai 2016

Et si notre région avait elle aussi sa place dans le marché du véhicule autonome ? Le Rhône-Alpes, l’Alsace (avec le pôle Véhicule du futur) et l’Ile-de-France sont les zones automobiles phares du pays, et cela reste incontestable.  Chez nous, pas de grands constructeurs de voitures osant côtoyer nos fiertés régionales aéronautiques. Pourtant, « tous les ingrédients sont là pour que notre région prenne le virage du véhicule autonome », considère Jean-Luc Maté, le président du cluster régional Automotech. […]« Ce n'est pas par hasard que nous avons choisi de nous installer à Toulouse, indique Xavier Salort », responsable commercial de cette joint venture entre Robosoft et Ligier. Il ajoute à cette liste, les formations sur plac e. 80 % de l'effectif de la jeune société est constitué d'ingénieurs et celui-ci passera de 40 à 50 cette année.

L'INP-Enseeiht, le Cesi et l'université Paul Sabatier font partie des écoles appréciées par les équipes de R & D locales axées sur le véhicule du futur, comme LDL Technology à Ramonville, qui conçoit des systèmes de freinage connectés.

L’INP-ENSAT a organisé le « Euorpean Coordinators Meeting of Life Science Universities » réunissant les coordinateurs académiques et les responsables des Relations Internationales des universités partenaires européennes. Cette réunion avait pour objectif de renforcer la mobilité des élèves et des enseignants dans le cadre du programme ERASMUS+.

L’évènement, organisé sur 3 jours, a permis de découvrir les dernières innovations en matière de formation, de montrer la transversalité de programmes au sein des trois écoles fondatrices de l’INP Toulouse (l’ENSEEIHT, l’ENSIACET et l’ENSAT) et de faire émerger de nouvelles idées en termes de mobilité académique et de recherches. À l’occasion d’un Forum International, les élèves ont pu discuter avec les coordinateurs des universités partenaires afin de préparer leur semestre académique dans les universités européennes. Tout cela était accompagné de représentations artistiques, proposées par les associations d’élèves de l’INP-ENSAT, avec des performances musicales et de danse par les groupes des Bandes et des Poms-Poms.

Cinq écoles d’ingénieurs se lancent dans une phase d’expérimentation. Objectifs : renouveler l’offre

Comment développer la formation continue dans l’enseignement supérieur ? Quels dispositifs mettre en œuvre ? Quelles pistes d’évolution ? Le ministère de l’enseignement supérieur et de la recherche a désigné en janvier douze universités ou regroupement d’établissements pilotes à cet égard. Parmi ceux-ci, Toulouse Tech formation professionnelle, service commun de l’Institut national des sciences appliquées (INSA) et de l’Institut national polytechnique (INP) de Toulouse, qui chapeaute lui-même trois écoles, l’École nationale supérieure agronomique de Toulouse (Ensat), l’École nationale supérieur électronique, électrotechnique, informatique, hydraulique de Toulouse (Enseeiht) et l’École national d’ingénieurs de Tarbes. Toulouse est le seul représentant des écoles d’ingénieurs retenu pour cette phase d’expérimentation, qui devrait durer jusqu’à la fin de l’année. « L’enjeu dépasse de loin la question des ressources que la formation continue permettrait d’apporter, souligne Olivier Simonin, directeur de l’INP Toulouse. En réalité, il s’agit de faire de la formation continue une de nos missions principales – même si l’idée n’est pas de gagner beaucoup d’argent »

Organisée par l'INP et ses trois écoles internes (Enseeiht, Ensiacet et Ensat), la première Semaine du développement durable permettra de faire connaître à tous différentes actions environnementales, sociales et économiques en matière de développement durable engagées par les acteurs de l'INP Toulouse.

La grande finale de la 5e édition du Campus Comedy Tour (CCT) se tient vendredi 1er avril à 20h30 à La Cigale (Paris).

Le CCT, c’est le premier festival d’humour dans les Grandes Écoles, lancé par l’ESC Dijon en 2010. Pendant 4 mois, des artistes de la nouvelle scène de l’humour vont sur les campus pour proposer des spectacles, et des étudiants font leur première partie. En 5 ans, le CCT et notamment sa finale est devenu un événement incontournable de la vie étudiante, au même titre que le 4L Trophy ou la course croisière EDHEC.

Quelques chiffres sur la Tournée de cette 5e édition, qui s’est déroulée du 20 octobre 2015 au 23 février 2016 :
► 15 écoles (+ 5 annulées à cause des attentats)
► 44 étudiants en premières parties
► 5.500 étudiants dans les amphithéâtres
► 72.000 étudiants touchés
► 5 nouvelles écoles (HEC, ENSEEIHT, ICES, UCO et Arts et Métiers)
► 20 artistes (Pierre Croce, Maxime Gasteuil, Kyan Khojandi, Paul Séré, Antoine Schoumsky, Arnaud Cosson, Dédo, Kevin Razy, Bun Hay Mean, etc.)