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Jean-Laurent Cassely, journaliste, s’est intéressé à décrypter les choix d’une minorité de jeunes surdiplômés en rupture avec les codes de l’entreprise et mus par l’envie de faire quelque chose de leurs mains et en dehors des open spaces. Un épiphénomène qui révèle le malaise d’une génération et dont il a tiré un livre, La Révolte des premiers de la classe. Entretien.
Le projet KRONOS part d’une prise de conscience que le système financier qui gouverne nos sociétés aujourd’hui ne correspond plus aux réalités humaines et sociétales.
Via Bernard BRUNET, Aurélien BADET
Il y a quatre ans, la communauté OuiShare se créait à Paris. Après de nombreuses réflexions portées sur le sujet de l’économie collaborative et des dizaines d’évènements organisés, dont la 3ème édition du OuiShare Fest (qui a eu lieu du 20 au 22 mai), OuiShare franchit un nouveau cap avec la rédaction d’un ouvrage par quelques uns de ses membres actifs. Neuf auteurs ont ainsi collaboré à la rédaction du livre intitulé « Société collaborative : la fin des hiérarchies » qui vient de paraître aux éditions Rue de l’Echiquier. Entretien avec Diana Filippova, écrivain, Connector OuiShare et responsable du programme du OuiShare Fest, qui a coordonné le livre.
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Aurélien BADET
February 5, 2015 12:26 PM
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La génération Z s’annonce comme une déferlante redoutable et redoutée par les entreprises, sur lesquelles les moins de 20 ans portent un regard très sévère. Explications.
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Aurélien BADET
from Innovation sociale
June 18, 2014 4:08 AM
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Penser notre humanité comme un patrimoine. Critique de la philosophie du contrat social. Comment gérer les conséquences de l’activité humaine sur le très long terme ? La question a une dimension éthique, appelant une logique de transmission patrimoniale des conditions concrètes de la vie afin de dépasser la logique d’un contrat entre les vivants. Elle est aussi politique et suppose de nouveaux modes de gouvernance, entre marché et État : des formes de coordination fondées sur le bien commun.
Via COMMON GOOD FORUM, Bernard BRUNET
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Aurélien BADET
from Libertés Numériques
May 26, 2014 8:17 AM
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Aurélien BADET
from Innovation sociale
April 16, 2014 4:10 AM
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La Fabrique Spinoza s’est créée sur le double constat d’une part que le bonheur est une aspiration fondamentale, et malgré tout un sujet fréquemment relégué au second rang comme enjeu explicite de notre société (politique, entreprise, medias, citoyens), et d’autre part, qu’une science du bonheur se développe et explore les mécanismes de l’épanouissement humain, individuel et collectif. Celle-ci met d’ores et déjà à disposition, sans dogmatisme, des données susceptibles d’avoir un impact sociétal positif.
Via Bernard BRUNET
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Aurélien BADET
February 10, 2014 5:40 AM
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Vivre de terre et de légèreté. C’est ce qu’ont voulu Nikos Kontonikas et Yiannis Papatheodorou. Tous deux nés dans des villes, ils ont choisi de tout quitter pour s’installer sur un terrain inhabité et cultiver la terre. Un projet qui s’est construit bien avant la crise et qui s’écarte fondamentalement de la société qui a amené celle-ci.
De nombreux domaines de notre patrimoine commun sont actuellement en état de siège : l’eau, la terre, les forêts, les pêcheries, les organismes vivants, mais aussi les œuvres créatives, l’information, les espaces publics, les cultures indigènes… Pour proposer une réponse aux multiples crises, économiques, sociales et environnementales, que connaît la notre société actuelle, David Bollier invite à revenir sur cette notion de « communs », un ensemble de pratiques sociales collectives que la modernité industrielle a fait progressivement disparaître. Aujourd’hui, les communs doivent être appréhendés non comme des ressources dont tout le monde aurait la libre jouissance, mais comme un système de coopération et de gouvernance permettant de préserver et de créer des formes de richesse partagée. L’auteur montre comment ils peuvent remédier à nos maux économiques en. Car Cette approche, mettant en avant une théorie plus riche de la valeur que l’économie conventionnelle, implique de nouveaux modèles de production, des formes plus ouvertes et responsables de participation des citoyens ainsi qu’une culture d’innovation sociale. C’est ce dont témoignent les actions et initiatives des différents mouvements des « commoneurs » à travers le monde, déterminés à construire des alternatives vivantes et fonctionnelles à l’étau des grandes technocraties publiques et privées.
Via association concert urbain, Bernard BRUNET, Aurélien BADET
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Aurélien BADET
from Innovation sociale
January 21, 2014 10:47 AM
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Un certain désenchantement se fait jour, en France, vis-à-vis des dispositifs de concertation mis en place par les pouvoirs publics pour inviter les citoyens à donner leur avis sur les projets qui les concernent. On aurait tort de croire, pourtant, que les critiques en cours signent la fin d’un certain idéal démocratique. L’attente de reconnaissance politique demeure élevée dans le pays, et l’activité citoyenne entre les élections n’a peut-être jamais été aussi fort. Mais elle prend souvent des formes protestataires ou conflictuelles, qui interrogent les cadres balisés de la concertation institutionnelle.
Via association concert urbain, Bernard BRUNET
L’activité économique est généralement appréciée par son apport au produit intérieur brut (PIB). Mais il faut prendre en compte d’autres critères : c’est ce que vient de montrer un rapport sur l’Economie sociale et solidaire (ESS).
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Aurélien BADET
November 5, 2013 10:48 AM
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Dans son ouvrage, qui vient de paraître aux éditions Glyphe, Louis Raffin (EF 80) aborde la thèse, développée par des économistes comme le Nobel Paul Krugman, selon laquelle les incessants progrès de l’automatisation et l’essor de l’informatique entraînent des disparitions d’emplois dans de nombreux secteurs d’activité, à un rythme que les créations de nouveaux métiers ne parviennent pas à compenser. Et ce avec des conséquences humaines et financières de plus en plus préoccupantes. L’auteur a donné à son ouvrage la forme d’un thriller à l’américaine, avec intrigue, scènes d’actions et rebondissements qui en rendent la lecture aussi facile que divertissante. S’il a fait ce choix, c’est, dit-il « pour toucher aussi des lecteurs qu’un essai économique aurait rebuté, mais qui n’en méritent pas moins d’être sensibilisés à cette problématique », qu’il développe ici avec clarté et pédagogie. Conservant jusqu’au bout le fil de sa démonstration en parallèle d’un récit mené à vive allure, il passe ainsi de l’exposé du problème à sa possible résolution…
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Aurélien BADET
August 31, 2013 9:10 AM
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Reasonable, open, and credible debate is missing across government, business, and civil society—how can we bring it back? We are drowning in a cacophony of conflicting opinion, aggressively expressed. And it's impossible to make sense of it. In the UK, a recent controversy is over the proposed plain cigarette packaging. The hypothesis is that replacing attractively branded cigarette packaging with plain packages that carry only health warnings and graphic images of damaged organs would make purchase less attractive, especially for those who have not yet taken up smoking. One would think it possible to have a reasoned debate over an issue that has widespread support. Nobody supports policies that might encourage youngsters to start smoking, and the use of plain packaging may help prevent that. In its submission to the UK government's consultation, the UK Faculty of Public Health stated, "The size of the impact of standardized tobacco packaging on the outcomes identified is unknown, as no administration has yet introduced this policy" while going on to say that, given the harm caused by smoking, the introduction of plain packaging may well be justified in spite of the current lack of hard evidence.
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La guerre des taxis contre la société Uber ne se résume pas au film des méchants archaïques contre les gentils «disrupteurs». Elle rappelle surtout qu'il est urgent de penser la société que nous voulons, puis d'agir pour la construire.
Via Bernard BRUNET, Aurélien BADET
Société collaborative, la fin des hiérarchies, paraît aux éditions Rue de l’Echiquier ce 21 mai. Dans ce livre écrit à 18 mains (Flore Berlingen, Marc-Arthur Gauthey, Arthur De Grave, Diana Filippova, Asmaa Guedira, Antonin Léonard, Edwin Mootoosamy, Benjamin Tincq et Maëva Tordo), nous proposons notre vision de la société collaborative. Alors, pourquoi un livre ?
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Aurélien BADET
from Libre de faire, Faire Libre
January 4, 2015 1:21 PM
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La révolution numérique et la diffusion massive d’internet permettent aujourd’hui aux citoyens du monde entier de s’informer, d’échanger, de s’exprimer plus facilement. Elles donnent à la société civile de nouvelles capacités d’agir et font naître ainsi de nouvelles pratiques sociales. Pour l’État, elles se traduisent par une nouvelle exigence d’ouverture.
Via Bruno Hour, Aurélien BADET
En Indonésie, depuis 850 après Jésus-Christ, la monnaie locale, le Rupiah, est complétée par une autre monnaie, le Narayan Banjar (qui signifie « travailler pour le bien de la communauté »). Cette monnaie se compte en temps et elle ne peut être gagnée qu’en proposant des spectacles culturels ou artistiques et elle ne peut être dépensée qu’en allant assister à un spectacle culturel ou artistique. Environ 50 à 500 familles participent à cette communauté utilisant le Banjar.
Un bloc de Banjar équivaut approximativement à 3 heures. Quand la communauté a besoin d'organiser un festival ou de construire une école par exemple, deux budgets sont prévus : un en devise nationale et l'autre en «monnaie temps». Les personnes les plus pauvres du village pourront alors investir plus de temps dans le projet et moins d'argent, alors que les membres les plus aisés du groupe injecteront plutôt de l'argent.
L’économie sociale et solidaire et les créations de coopératives sont en nette augmentation (2 165 à la fin 2013), même si cette forme d’entreprise reste confidentielle. Est-il si difficile de fabriquer de la coopération ? Comment transformer davantage d’entreprises en coopératives de travail ? Une démocratie se construit, lentement. Une coopérative aussi. Oxalis et Coopaname, coopératives ouvrières emblématiques du mouvement des coopératives d’activités, ont en partage une même façon de faire et d’être : une méthode, un regard sur le monde, un projet politique visant à établir une pédagogie coopérative. Cette « méthode », qui a pour but de mettre en relation des collectifs de travail, accompagne à présent massivement la construction d’initiatives coopératives. Et, dans une logique d’éducation populaire, les acteurs et actrices seront à tour à tour accompagné-es et accompagnant-es. Et si nous imaginions alors de construire un réseau auto-alimenté d’apprentissage et d’accompagnement mutuel entre anciens, nouveaux et futurs coopérateurs et coopératrices ? C’est là l’objectif poursuivi par la Manufacture coopérative. Mais l’évolution vers la coopération implique l’émergence d’une culture spécifique qui fonderait une capacité collective à penser le rapport au pouvoir dans l’entreprise, le rapport au travail et la relation aux autres. Cet ouvrage collectif s’adresse à tous celles et ceux qui souhaitent travailler de manière radicalement différente, qui rêvent de se rassembler autour d’un projet commun qui a du sens. Bref, œuvrer ensemble pour faire société.
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Aurélien BADET
March 3, 2014 8:40 AM
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When I quit my job as a corporate strategist in 2004 to pursue a new life based on sharing and collaboration, it was not the result of any external observation. It was something I felt in my bones — long hours, strained relationships, loss of a sense of place, and cutthroat competition were not making me happy, and I suspected neither were they contributing to a healthier world. As I embarked on a new life of building relationships, cultivating a sharing economy and ultimately launching Shareable, I didn’t have a road map. But, by opening up my life to a new way of being, things just started happening — resources appeared, and new, more collaborative, effective, and fulfilling ways of doing things emerged. I began to see that others were thinking along the same lines, and that other ways of doing business, from car sharing to open source software, were emerging all around me, much of it enabled by network technology.
La crise est présente, et à travers elle le modèle économique dominant est remis en question par certains. Face aux menaces qu’elle fait peser, un certain consensus se dessine en faveur d’une croissance durable qui permettrait de réduire l’empreinte écologique et les disparités dues aux emballements récents de la machine économique.
Rassemblant plusieurs milliers de personnes, laCoopérative intégrale catalane (CIC) est sans conteste l’une des réalités espagnoles – qu’elles soient économiques, politiques ou sociales – les plus extraordinaires et intéressantes actuellement : de par sa nature, son expansion et son ampleur… Ce qui explique que, s’inspirant d’elle, d’autres coopératives intégrales aient vu le jour dans plusieurs autres régions d’Espagne (Andalousie, Madrid, Pays basque, Valence…) ou soient en voie de création, en France à Toulouse ou avec l’ÉcoRéseau du Pays Nantais.
Via ADecroissance, Bernard BRUNET, Aurélien BADET
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Aurélien BADET
from Innovation sociale
January 7, 2014 11:10 AM
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Il y a une vingtaine d’années, quelques prophètes annonçaient un nouvel âge d’or de la démocratie porté par ces étranges « autoroutes de l’information ». Cet émerveillement n’a pas disparu. Le Monde a publié il y a quelques jours un long article sur ces « élites débordées par le numérique ». Une vingtaine de témoignage dressent le portrait d’un monde qui change, et à grande vitesse : « Dans leur grande majorité, les élites tombent de l’armoire numérique et ne soupçonnent pas la lame de fond sociétale qui se forme. L’“ homo numericus ” avance à toute vitesse. Bien plus vite que les gouvernants, institutions et intellectuels, souvent dépassés. »
Via Michel Briand, Bernard BRUNET
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Aurélien BADET
November 6, 2013 4:43 AM
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Datarmine, le nouvel acteur de l'entrepreneuriat social à suivre de prêt, a besoin de vous ! Datarmine, Quésako ? Une solution digitale à portée sociale : Faire gagner argent et visibilité aux associations, le nouveau cheval de bataille de Willy Lafran, fondateur de Datarmine... Vous faites partie de ceux qui trouvent que Facebook a un discours ambigü sur la conservation des données personnelles ? Vous avez peur de ne pas maitriser ou de mal maitriser la diffusion de vos données sur internet ? Vous serez sans doute séduit par datarmine, notre nouveau partenaire digital ! Surtout si vous êtes une association ! Toute jeune arrivée sur la toile, sur la vague du social business, Datarmine est la nouvelle solution de protection de la vie privée sur les réseaux sociaux. Le principe ? Cloisonner les échanges entre utilisateurs afin de cibler le contenu divulgué, et de soustraire les données des entreprises gestionnaires des réseaux sociaux de façon à garantir durablement le droit à l’oubli numérique de l'utilisateur.
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Aurélien BADET
August 31, 2013 9:12 AM
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Instantanéité, immédiateté, mobilité, vitesse d’exécution, sont devenues les moteur de la culture d’un nombre croissant d’entreprises lesquelles subissent de plein fouet les effets de l’accélération sociale et sociétale qui caractérise notre époque au plan de l’innovation industrielle, scientifique, technologique, ainsi que des rythmes de vie et de travail.
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