Les indépendants ne s’intéresseraient pas suffisamment aux aides et services qui leur sont proposés à différents niveaux, dans le public, le privé ou l’associatif. Il en va surtout des aides administratives et financières. C’est en tout cas ce que révèle une étude menée de concert par l’Université de Gand, le prestataire de services Securex et le Syndicat neutre pour Indépendants (SNI) auprès de 2.462 indépendants.
Ainsi, les relations avec les organismes de subvention, les banques, les investisseurs ou les pouvoirs publics figurent dans le top 5 des facteurs de réussite jugés les moins importants par les répondants (sur une douzaine de facteurs).