Crowdsourcing, plateformes d’échanges, collecte des données : grâce au réseau internet se développent de nouvelles formes de contribution, qu’un nombre croissant d’acteurs de notre société assimilent au travail… Mais à quelles conditions ? Bien souvent il s’agit d’un travail invisible, non rémunéré et non encadré par le droit. Quelles sont les formes que ce « digital labor » assume, et quelles formes de conflictualité se développent en son sein ?




Via Aurélien BADET