Histoire 2 guerres

Partenaire de « Histoire 2 guerres », la bibliothèque municipale vous propose régulièrement des coups de cœur littéraires en rapport avec la seconde guerre mondiale : sur le blog « Vivre en temps de guerre », certes, mais aussi, et surtout (!) à la médiathèque Jacques Demy où des étagères entièrement dévolues à ce sujet vous attendent, vous, amis lecteurs !

En attendant de vous rendre à la bibliothèque, restez connectés ! Caroline vous conseille la lecture de : « Les femmes dans la Résistance », un ouvrage dirigé par Laurence Thibault... 

Pour le découvrir, un clic : http://enguerres.chateaunantes.fr/index.php/8-non-categorise/ouvrages/138-la-resistance-une-affaire-de-femme

A l’automne 1940, les nantais vivent au rythme des arrivages, le rationnement est instauré et continuera après-guerre. C’est l’heure de la débrouille… Chanceux sont ceux qui ont des proches à la campagne et qui peuvent se procurer plus facilement des produits frais.

Le lien : http://enguerres.chateaunantes.fr/index.php/11-non-categorise/objets/142-rationnement-et-solutions-de-debrouille

Maire socialiste de Saint-Nazaire depuis 1925, François Blancho démissionne de sa mandature municipale en mai 1941. Arrêté, il est incarcéré, et fait partie d’une liste secondaire de 50 otages, après le meurtre de Hotz ; menace que les autorités allemandes ne mette pas à exécution.

Les Archives Municipales de Saint-Nazaire vous invitent à découvrir la lettre de démission de François Blancho. Un dossier très complet sur François Blancho et  le contexte historique permet de bien comprendre la décision du maire socialiste et son enjeu.

Le lien : http://www.mairie-saintnazaire.fr/culture/patrimoine/archives-municipales/a-la-une/

Il y a quelques jours, rue d’Allonville, à Nantes, une bombe datée de la seconde guerre mondiale a été retrouvée.

Jean-Noël Bellavoine, chef du centre de déminage de Nantes, présente, en vidéo, les caractéristiques de celle-ci.

Le lien : http://www.ouest-france.fr/actu/actuDet_-Bombe-anglaise-a-Nantes-quels-sont-ses-secrets-_40815-2208976_actu.Htm#.UdaTdW-Fkfs.twitter

Le 28 juin 1944 près de 2000 soldats et miliciens attaquent les 330 maquisards réfugiés dans la forêt de Saffré. Treize d'entre eux seront tués au combat.

Les Archives départementales du Maine-et-Loire conservent un album de clichés pris par les Allemands suite au massacre.

En écho à l'exposition "En guerreS", le blog "Vivre en temps de guerre" présente deux de ces photographies.

http://enguerres.chateaunantes.fr/index.php/11-non-categorise/objets/132-l-attaque-du-maquis-de-saffre-28-juin-1944

La ville de Rezé a acquis en juillet 2012 un lot de 17 photographies prises par un soldat allemand en 1941. Ce dernier était affecté au séminaire des Naudières réquisitionné par les troupes d'occupation.

"Histoire 2 guerres" vous invite à découvrir l'intégralité de ces clichés mis en ligne sur le site des Archives municipales de Rezé.

Un lien : http://www.reze.fr/Decouvrir-Reze/Histoire/Reze-au-20e-siecle/Le-seminaire-des-Naudieres-occcupe-par-l-armee-allemande-durant-la-Seconde-guerre-mondiale

Les Allemands entrent dans Nantes le 19 juin 1940. Quand les officiers réquisitionnent les appartements les plus agréables, l’intendance allemande s’installe dans les hôtels du centre-ville, et la Feldkommandantur à l’hôtel d’Aulx, place Foch.

C’est dans cet hôtel que Marcel Jaunet, capitaine FFI, à la Libération, trouve un drapeau nazi.

Le blog « Vivre en temps de guerre » revient sur cet objet symbolique de l'Occupation allemande.

Le lien : http://enguerres.chateaunantes.fr/index.php/11-non-categorise/objets/131-drapeau-nazi-a-la-kommandantur-de-nantes

Le nom du paquebot Lancastria est associé à l’une des plus grandes catastrophes maritimes du 20e siècle. Et pourtant, celle-ci a été passée presque sous silence pendant de longues décennies après la Seconde Guerre mondiale.

Daniel Sicard, conservateur de l'écomusée de Saint-Nazaire revient sur cette tragédie.

Pour découvrir son texte (PDF en fin de page), un lien : http://www.saint-nazaire-tourisme.com/catastrophe-lancastria ;

En réaction à la multiplication des actes de sabotages, 45 résistants sont inculpés au procès dit « des 42 », le 15 janvier 1943,  au Palais de Justice de Nantes. 37 condamnations à mort sont exécutées le 29 janvier, le 13 février et le 7 mai 1943.

Parmi les 37 résistants fusillés, six ont donné leur nom à une rue nantaise : Eugène Le Parc, Gaston Turpin, Louis Le Paih, Claude Millot, Auguste Chauvin, Marcel Michel.

"Histoire 2 guerres" vous invite à découvrir ces traces mémorielles :

http://enguerres.chateaunantes.fr/index.php/12-non-categorise/cartenantes/129-la-memoire-du-proces-des-42-dans-les-rues-de-nantes

Le rationnement se met en place à Nantes durant l’automne 1940. Très vite, les denrées de première nécessité (beurre, le lait, œufs) deviennent rares. La familleTimonnier habite le quartier de l’hôpital Bellier à Nantes.

Le musée d’histoire de Nantes expose une remorque utilisée par une famille nantaise pour se ravitailler en denrées alimentaires, en dehors de Nantes.

Pour en savoir plus :

Un lien : http://enguerres.chateaunantes.fr/index.php/11-non-categorise/objets/142-rationnement-et-solutions-de-debrouille

 En 1918,  la famille Gouïn, qui dirige la Société de construction des Batignolles, choisit Nantes pour développer ses activités. De son alliance avec la Compagnie des Forges de Châtillon-Commentry et Neuves-Maison naît la société LCB (Locomotives Batignolles-Châtillon).

Dans les années 1920-1930, les Batignolles sont un bastion rouge. Pendant la Seconde Guerre mondiale, la Résistance y est active à la fois au sein de l’usine et au cœur des cités ouvrières.

Partenaire du portail "Histoire 2 guerres", le Centre d'histoire du travail de Nantes vous raconte cette histoire. Un seul  clic : 

http://www.cht-nantes.org/batignolles-une-usine-r%C3%A9sistants

Du 14 juin 1940 au 7 mai 1945, Mgr Villepelet rédige des notes sur trois carnets. Aujourd’hui conservés par les Archives diocésaines de Nantes, ils sont mieux connus du grand public depuis leur publication, en 2006.

« Histoire 2 guerres » vous invite à découvrir ce fonds et aussi une critique de l’ouvrage de Marcel Launay, par l’historien Didier Guyvarc’h.

Le lien : http://nantes.cef.fr/mini-sites/archives-diocesaines/exposition-dune-guerre-a-lautre/ (article "Le diocèse de Nantes sous l’Occupation : les carnets de guerre de Mgr Villepelet")  

http://revue-placepublique.fr/Archives/Archives/Archives/histoire.html

Le 15 juillet 1942, à la veille de la grande rafle du Vélodrome d’Hiver à Paris, une rafle est réalisée dans le département de Loire-Inférieure. Au total, 98 personnes sont arrêtées : 28 dans l’arrondissement de Nantes, 4 dans celui de Châteaubriant et 66 dans l’arrondissement de Saint-Nazaire.

Le 8 mai 2012, à la Baule, une plaque commémorative en la mémoire des 27 juifs baulois déportés à Auschwitz a été posée au jardin de la Victoire.

Le lien : http://www.ouest-france.fr/actu/actuLocale_-Une-plaque-pour-les-deportes-juifs-baulois-au-jardin-de-la-Victoire_40800-2075113------44055-aud_actu.Htm

Après les bombes retrouvées aujourd’hui, ici et là, à Nantes; « Histoire 2 guerres » poursuit la thématique des bombardements.

Loïc Bonnet, historien et membre de l’association « Treillières au fil du Temps » nous invite à découvrir l’histoire d’un crash d’un bombardier, à Treillières, un 15 juin 1944…

Le lien : http://treillieresaufildutemps.blogspot.fr/2013/07/15-juin-1944-un-bombardier-allie.html

Depuis l’été 1943, un maquis est organisé dans une ferme sur la commune des Touches près de Nort-sur-Erdre, au lieu dit la Maison Rouge. Le Maquis de la maison rouge est  le premier maquis du département de Loire-Atlantique. Dans la nuit du 16 et 17 juin, les maquisards quitteront ce site pour rejoindre la forêt de Saffré.

Le Journal de la Mée, partenaire de "Histoire 2 guerres" a mis en ligne son ouvrage "Telles furent nos jeunes années. Le Pays Castelbriantais sous l'Occupation". Retrouvez-y l'histoire du Maquis de Saffré.

Le lien : http://www.chateaubriant.org/540-Livre-Ceux-des-Maquis-Teillay

L'exposition "En guerreS" du Musée d'histoire de Nantes s’appuie sur de nombreux objets collectés auprès des particuliers.

Commissaire de l'exposition, Krystel Gualdé, revient sur ces dons dans le blog "Vivre en temps de guerres".

http://enguerres.chateaunantes.fr/index.php/14-non-categorise/questions-expos/128-des-collections-enrichies-par-vos-dons

 A Nantes, outre l’attribution d’un boulevard à son nom, une statue lui est consacrée sur l’esplanade des Cinq communes « Compagnon de la Libération », depuis le 18 juin 2010.

Irène Gillardot (Direction du Patrimoine et de l'archéologie de la Ville de Nantes) revient sur ces deux lieux de mémoire dans le blog « Vivre en temps de guerre ».

Retrouvez-les sur la carte virtuelle « La résistance dans les rues de Nantes » : http://enguerres.chateaunantes.fr/index.php/bddegaulle

Et

http://enguerres.chateaunantes.fr/index.php/esplanade5communes

Chaque année, le Musée de la Résistance de Châteaubriant accompagne le thème annuel du Concours national de la résistance et de la déportation (CNRD), organisé par le Ministère de l’éducation nationale, par une exposition temporaire sur le même sujet. 

Cette année, le thème étant « Communiquer c’est résister | 1940-1945 », le musée de Châteaubriant traite cette question en s'intéressant plus particulièrement aux actes de résistance dans le département de Loire-Atlantique pour finir l'exposition par Robert Doisneau et sa période photographique des imprimeries clandestines.

Très pédagogique, cette exposition gratuite, s'accompagne d'un livret très bien conçu; disponible sur place, il est aussi téléchargeable sur le site internet du musée ! Sur ce dernier, vous trouverez d'ailleurs, d'autres précieuses ressources, telle que la transcription d'une conférence de Guy Kryvopissko, conservateur du musée,  lors de son intervention auprès des professeurs dans le cadre de la présentation du CNRD.

Pour en savoir plus, un lien : http://www.musee-resistance-chateaubriant.fr/spip.php?article25