Les scientifiques connaissaient déjà cette algue rouge, appelée Palmaria decipiens. Mais en Antarctique, une équipe de recherche greco-britannique a pu constater qu’elle poussait jusqu’à 100 mètres sous la surface, deux fois plus profond qu’on ne le savait jusqu’ici. Une découverte prometteuse en matière de connaissances sur la captation du gaz carbonique (CO₂) et de lutte contre l’acidification de l’océan.