Certaines communes optent pour des filtres végétaux pour capturer les polluants des eaux et des sols. Ainsi, poudre de racine de menthe et de renouée font bien l’affaire pour dépolluer la cascade d’une commune abritant l’ancienne plus grande mine de zinc d’Europe. Des techniques « émergentes » mais déjà convaincantes.
Quel est le rôle des phytotechnologies pour des villes vraiment vertes ? Quels sont les freins et les solutions à leur développement ? Quel est l’état de la situation ? Voilà quelques-unes des questions que posait la Société québécoise de phytotechnologie (SQP) lors de son dernier colloque. Pour y répondre, des conférenciers de la France, de l’Ontario et du Québec ont partagé leurs connaissances et leurs réalisations.
Les phytotechnologies ? Il s’agit de l’usage des plantes pour régler des problèmes environnementaux, c’est-à-dire les îlots de chaleur, la gestion des eaux pluviales, la décontamination des sols, de l’air, de l’eau, etc.
Les phytotechnologies appliquées à la gestion des sites pollués regroupent un ensemble de techniques qui utilisent in situ des espèces végétales pour contenir, extraire ou dégrader des polluants inorganiques ou organiques du sol.
Incroyable mais vrai ! Certaines plantes stockent de telles quantités de métaux lourds qu’elles permettent de décontaminer les sols. D'autres, on peut extraire des matières premières telles que le cuivre, le zinc ou le nickel. Tour du monde des possibilités offertes par les plantes "hyperaccumulatrices".
L’assainissement se définit par la collecte, le transport et le traitement des eaux usées (eaux vannes des WC et eaux grises des eaux de lavage). En France près de 20% des installations d’assainissement ne sont pas collectives et donc possèdent des installations autonomes appelées ANC. Dans la plupart des cas il s’agit de petites communes rurales difficiles d’accès. Quels sont les différents types d’ANC en France ? Et le phyto-épuration dans tout ça ?
La phytoépuration ou lagunage est un système ou un jardin d’assainissement individuel des eaux usées par les plantes qui gagne à être connu. Facile d’entretien et moins cher qu’une fosse septique classique, le système d’assainissement par phytoépuration a déjà fait ses preuves dans certaines petites communes françaises depuis une vingtaine d’années. Inodore, le système se révèle non seulement efficace, mais aussi plutôt esthétique.
La phytoépuration ou lagunage est un système ou un jardin d’assainissement individuel des eaux usées par les plantes qui gagne à être connu ! Facile d’entretien et moins cher qu’une fosse septique classique, le système d’assainissement par phytoépuration a déjà fait ses preuves dans certaines petites communes françaises depuis une vingtaine d’années. Inodore, le système se révèle non seulement efficace, mais aussi plutôt esthétique.
A l’heure où les initiatives se multiplient pour tenter de juguler la pollution galopante des eaux, deux familles de Chalais sont pointées du doigt et mises à l’amende par la collectivité pour avoir installé une station d’épuration individuelle (par un système de phytofiltration) très écolo mais non agréé.
L'assainissement individuel est une problématique récurrente en milieu rural.
L'utilisation d'un filtre planté de roseaux comme alternative à la classique fosse sceptique reste pourtant peu utilisée. Clémence nous invite à découvrir ce type de filière en nous rendant chez une habitante de Vieille-Brioude.
Ci-dessus, le filtre vertical de notre système d'assainissement non collectif, mis en oeuvre par un terrassier, suivant le concept d'Aquatiris (filière à filtres plantés). Un trou, un cadre en bois autour, et trois couches successives ...
Benjamin Restif (au 1er plan) lors de la porte ouverte au jardin chez Philippe Gatel. Dans le parc, le public constat, grâce aux plantes de la phytoépuration, qu'il n'y a pas d'odeurs et de pollution.
S'il est vrai que les types de jardins se multiplient, le jardin d'assainissement interpelle. Il découle d'un système innovant d'assainissement fonctionnant sans fosse septique où les plantes jouent un rôle essentiel. (...)
Lorsque l’on vit en zone rurale et qu’il n’est pas possible d’être relié au réseau d’égout de notre commune, il existe alors deux solutions au traitement des eaux usées domestiques : La fosse sceptique ou la phytoépuration.
La phytoépuration est un système de traitement de l’eau par les plantes aquatiques ayant un pouvoir épurateur tels que le roseau ou le bambou.
Il existe plusieurs sortes d’installations, soit le prétraitement de l’eau se fait dans un premier lit vertical planté de roseaux soit dans une fosse toutes eaux. Ensuite, pour le traitement de l’eau, il faut un deuxième bassin avec des espèces végétales qui absorbent les éléments polluants tels que les nitrates ou les phosphates. (...)
L’association Alter’énergies propose aux particuliers privés de tout-à-l’égout des solutions pour traiter leurs eaux usées. Une formation se tient ce week-end.
A qui s'adresse ce stage ?
Yoann Bouard, chargé de mission à Alter'énergies : « Principalement aux particuliers qui envisagent l'achat ou la rénovation d'une maison privée de branchement au tout-à-l'égoût, ou située au cœur d'un éco-hameau. L'idée est de leur proposer une solution plus écologique que la fosse septique. »
Pour sensibiliser le grand public à la question de l’accès à l’eau potable, un étudiant au Royal College Art de Londres a créé un système de phytoépuration esthétique à installer dans votre salon.
L’assainissement autonome est une véritable préoccupation pour qui souhaite impacter au minimum son environnement en milieu rural, loin de tout raccordement au réseau. La phytoépuration est un procédé qui permet de traiter ses eaux usées de façon écologique à l’aide de plantes.
L’aménagement d’une station d’assainissement naturelle est une bonne alternative à l’installation d’une fosse sceptique dont le principal rôle est de faciliter le traitement des eaux usées grâce à des végétaux et des filtres naturels. La Bretagne est traversée par plusieurs cours d’eau, ce qui contribue à la prolifération des péniches. Mais celles-ci ne disposent pas de système d’assainissment écologique et quant à ceux mis à leur disposition, ils ne les utilisent pas, tout simplement. Les propriétaires de ces embarcations finissent par déverser les eaux usées dans le canal.
Découvrez qui est Aquatiris : le 1er réseau de phytoépuration (filtres plantés) en France. Qu'est-ce qu'un Jardin d'Assainissement ? Pourquoi choisir l'assainissement sans fosse septique ? Comment fonctionne le réseau ? L'essentiel d'Aquatiris...
C'est à l'occasion de la «fête de l'énergie», journée nationale consacrée aux nouveautés en matière d'économie d'énergie que Christophe Damay, conseiller info-énergie de Quercy énergie, et Mme Cailleret du CAUE du Lot avaient convié le public à la visite de deux maisons remarquables dans leur approche du développement durable.
Les deux filtres du deuxième bassin avec, en haut à droite, la chasse à auget. Le premier bassin (non visible ici) se trouve derrière le mur en pierres, un peu plus haut.
L’assainissement individuel, quand l’accès au tout-à-l’égout n’est pas disponible, ne passe pas forcément par l’installation d’une fosse septique. Une autre solution peut être employée, plus naturelle : la phytoépuration. Celle-ci assure le filtrage des eaux usées par les plantes.
La phytoépuration ou lagunage est un système d’assainissement individuel des eaux usées par les plantes qui gagne à être connu ! Facile d’entretien et moins cher qu’une fosse septique classique, le système d’assainissement par phytoépuration a déjà fait ses preuves dans certaines petites communes françaises depuis une vingtaine d’années. Inodore, le système se révèle non seulement efficace, mais aussi plutôt esthétique.
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